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Michelson-Morley, Bradley, Fizeau et *Aspin Bubbles*
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Astroclick Index du Forum » Les théories scientifiques » Michelson-Morley, Bradley, Fizeau et *Aspin Bubbles*
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Yoël Lana-Renault
Chroniqueur


Inscrit le: 21 Jan 2007
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 Message Posté le: Dim 21 Jan 2007 2:47 pm    Sujet du message: Michelson-Morley, Bradley, Fizeau et *Aspin Bubbles*
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Il y a certains jours, un de vos modérateurs m'a invité à prendre part à votre forum. J'ai vu que vous êtes des personnes sérieuses et très préparées scientifiquement. Je souhaite que ma théorie vous plaise et que nous passions de bons instants. Merci.

Ce qui vient ensuite est seulement un échantillon de de ce que j'ai obtenu. Disons que ce principe de "Aspin Bubbles" est le "squelette" d'une possible théorie et que j'ai besoin d'aide : bien pour me démontrer que mon modèle est incorrect ou bien, pour progresser dans le développement de celui-ci.

Merci pour votre attention


Michelson-Morley, Bradley, Fizeau, Airy et "Aspin Bubbles". Conséquences.


La Terre du modèle "Aspin Bubbles" perturbe et forme les propriétés physiques de son éther environnant. La vitesse de la lumière est constante dans sa surface. Il s'ensuit que les résultats de l'expérience de Michelson-Morley soient corrects.


La Terre se déplace librement dans l'éther du modèle "Aspin Bubbles". L'éther "Aspin Bubbles" ne se déplace pas, il est toujours calme. Il s'ensuit que l'aberration stellaire (Bradley) est correcte.


L'éther perturbé et polarisé par l'eau en mouvement dans le modèle "Aspin Bubbles" modifie la vitesse de la lumière. Il s'ensuit que les résultats des expériences de Fizeau et de Airy (avec le télescope plein d'eau) soient corrects.



Abstract de mon article:


Unification mécanique des forces de base de la nature: "Aspin bubbles"


Un modèle mécanique pour l'unification des forces de base de la nature avec seulement une interaction onde-particule. La théorie se base sur l'hypothèse que les derniers composants de la matière sont deux particules vibratoires asymétriques (bulles). L'interaction entre ces particules submergés dans un fluide continu (éther) reproduit toutes les forces de la nature: électrique, nucléaire, gravité, magnétique, atomique, van der Waals, Casimir, etc.. La théorie présente aussi la structure interne de l'atome ainsi que les particules fondamentales connues. C'est un nouveau concept de la physique, capable d'aborder complètement nos connaissances actuelles et de nouveaux problèmes.


Autres caractéristiques et conséquences du modèle "Aspin Bubbles"


L'éther "Aspin Bubbles" n'est pas entraîné par la Terre. L'éther ne se déplace pas, il est toujours calme. Et la Terre se déplace librement à travers l'éther.

La matière modifie les propriétés physiques de l'éther. L'éther est perturbé et configuré constantement par les ondes anharmoniques qui émettent les tons (bulles pulsantes) et ces tons, ils sont les seuls composants de la matière. Suite à cela, toute matière avec vitesse (la Terre), transporte avec elle son champ d'ondes anharmoniques (champ de gravité) que produisent ses tons.

La vitesse de la lumière augmente ou diminue en fonction de l'éther configuré qu'elle traverse.

Les ondes électromagnétiques voyagent toujours dans l'éther. La réfraction de la lumière se produit dans l'éther étant donné sa différente configuration produite par la matière (les tons).

L'éther environnant le Soleil courbe la trajectoire de la lumière.

"Aspin Bubbles" est publié à Online Journal: APEIRON, studies in infinite nature.


Vous retrouverez mon travail sur sa web:

http://www.redshift.vif.com/journal_archives.htm

Vol 13, Number 3 (July 2006)

Si vous le désirez, vous pouvez le connaître directement sur ma web:

http://www.yoel-lana-renault.es


Pour une meilleure compréhension et une vérification de mon travail, j'ai ajouté dans ma page Web quelques calculs effectués avec le programme MATHEMATICA (nb), où vous pourrez changer des données d'entrée, ainsi comme travailler avec davantage de digits si c'est nécessaire.


Si le modèle vous paraît plausible, aidez moi à le diffuser. Merci

Yoël Lana-Renault
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Yoël Lana- Renault, Docteur en Physique Théorique

"Aspin Bubbles" publié à APEIRON, Vol 13, Number 3 (July 2006)
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glevesque
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 Message Posté le: Lun 22 Jan 2007 1:29 am    Sujet du message:
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Salut

Cela me semble intéressant, mais je ne suis pas trop alaise avec l'anglais, aurais-tu une référence sur une traduction française !

Merci

Gilles
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André
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 Message Posté le: Lun 22 Jan 2007 12:11 pm    Sujet du message:
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Salut a tous

En effet , l'idee est interessante, mais l'ether a causer bien des mots tete a einstein??

Reste a savoir, comment definir cette chose ??

amicalement
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Etrange époque où il est plus facile de désintégrer l' atome que de vaincre un préjugé.

Einstein, Albert,
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Yoël Lana-Renault
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 Message Posté le: Mar 23 Jan 2007 3:28 pm    Sujet du message: Pour Glevesque
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Bonjour Gilles.

Merci pour ton intérêt. Malheureusement l'article est seulement en anglais. J'ai préparé un projet en espagnol et de là je l'ai traduit directement à l'anglais avec de l'aide. Je ne suis pas non plus un expert en anglais.

De toutes manières, nous pouvons développer la théorie peu à peu en français en fonction de ce que tu comprends de l'anglais. Je t'aiderai.

Salutations, Yoël
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Yoël Lana- Renault, Docteur en Physique Théorique

"Aspin Bubbles" publié à APEIRON, Vol 13, Number 3 (July 2006)
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Yoël Lana-Renault
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 Message Posté le: Mar 23 Jan 2007 3:33 pm    Sujet du message: Pour Albert Einstein
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Bonjour Albert.

Je suis d'accord avec toi, l'éther a causé beaucoup de problèmes à Einstein et à la physique en général, de telle sorte que comme il gênait pour les nouvelles théories, les physiciens ont nié son existence. Je suis conscient que retourner à lui est une témérité. De toutes manières, mon modèle en général est une témérité totale. Toutefois, si tu travailles le modèle, tu verras qu'il est très simple et que j'essaye à tout moment qu'il soit réaliste, en partant exclusivement de la mécanique de Newton. Dans mon modèle, les forces à distance n'existent pas. Toutes les forces que j'obtiens sont exclusivement mécaniques.

Pourquoi le modèle a besoin de l'existence d'un éther ?

1º) je pars de l'hypothèse que toute onde a besoin d'un support (éther) pour être propagé.

2º) l'interaction onde- ton que je postule, génératrice de toutes les autres forces, a besoin d'un éther pour son interprétation mécanique correcte.

Et comment est-il cet éther ?

je ne le sais pas, nous ne l'avons jamais détecté. Pour l'instant, je puis seulement le définir avec les propriétés physiques suivantes.

- Il n'a pas de masse, il n'a pas de l'énergie, extension infinie, il n'a pas de frottement. Il n'est bouge pas. Il est isotrope. Le temps n'intervient pas.

- Il acquiert des propriétés physiques au pas des ondes.

- Il est élastique, c'est-à-dire, il est élastiquement déformé localement au pas des ondes.

- Il est polarisé en fonction du type d'onde anharmonique produite par le positón ou le negatón.

- Les ondes anharmoniques configurent l'éther et produisent ce que nous connaissons comme champ électrique, champ de gravité, champ magnétique, etc..

- La vitesse et la trajectoire des ondes électromagnétiques (la lumière....) dépendent de la configuration de l'éther qu'elles traversent. La superposition d'ondes, son plus grande ampleur (près des sources) et sa plus grande fréquence produisent que la vitesse de la lumière diminue. Une configuration non homogène produit la réfraction.

Je m'excuse, si je vous ne réponds pas rapidement. Mes élèves me donnent beaucoup de travail.

Salutations, Yoël
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Yoël Lana- Renault, Docteur en Physique Théorique

"Aspin Bubbles" publié à APEIRON, Vol 13, Number 3 (July 2006)
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glevesque
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 Message Posté le: Jeu 25 Jan 2007 11:37 pm    Sujet du message: Re: Pour Glevesque
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Salut

Yoël Lana-Renault a écrit:
Bonjour Gilles.

Merci pour ton intérêt. Malheureusement l'article est seulement en anglais. J'ai préparé un projet en espagnol et de là je l'ai traduit directement à l'anglais avec de l'aide. Je ne suis pas non plus un expert en anglais.

De toutes manières, nous pouvons développer la théorie peu à peu en français en fonction de ce que tu comprends de l'anglais. Je t'aiderai.

Salutations, Yoël
Alors, peux-tu m'en faire un petit résumer de quelque dizaines de lignes ! (pour faire un liens d'index avec une discussion qui regroupe et résume les différentes théories)

Merci

Gilles
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André
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 Message Posté le: Dim 28 Jan 2007 12:17 am    Sujet du message:
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SAlut a tous

Je crois que gilles a raison, Ca serait plus simple de tout regrouper Wink

amicalement
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Einstein, Albert,
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Yoël Lana-Renault
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 Message Posté le: Dim 28 Jan 2007 9:26 pm    Sujet du message: Résumé de "Aspin Bubbles"
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Bonjour Gilles et Albert

Voilá un petit résumé de mon modèle:

- La théorie se base sur l'hypothèse que les derniers composants de la matière sont deux particules vibratoires asymétriques (bulles pulsantes). Je les appelle "tons"

- La membrane de ces particules vibrent anharmoniquement selon l'équation (1) de mon article

r = (ro + Ao · sin [wt])^x

où ro, Ao et x sont des paramètres à déterminer. r est le rayon de la membrane, w est la fréquence angulaire de la pulsation et t le temps. Cette équation est la solution précise du Potentiel (2) avec énergie zéro.

- Ces particules émettent des ondes anharmoniques dans un espace baigné d'éther, lequel est son support. Équations (12) et (13) de mon article. Voir aussi figure 2.

- Les tons ont une masse passive M. C'est une masse qui n'a pas de'énergie, par conséquent nous ne pouvons pas la mesurer. Toutefois, elle est en rapport avec la masse mesurable m selon (21) : m = 2M

- Les interactions mécaniques onde- ton sont génératrices de toutes les forces que nous connaissons. Équation (34). L'interprétation mécanique de cette seule force existante entre deux tons est basée sur les équations 14, 15, 16 et 17. Voir aussi figures 3 et 4.

- La détermination des paramètres ro, Ao et x d'un ton sont obtenus par la résolution d'un système de de trois équations, 24, 25 et 26. Équation (24) qui nous fournit le point d'équilibre de la membrane. (25), imposition de la valeur de la force électrique entre 2 tons. (26) c'est le rayon moyen du ton.

. - Si 0 < x < 1, l'accélération totale (somme des deux accélérations moyennes) de la membrane (9,.10 et 11) est positive, le ton est générateur d'ondes anharmoniques A (fig 2), à ce ton nous l'appelons "positon", et il est comparable à à ce que nous connaissons comme positrón ou d'autres particules avec une charge positive (+e).

- Si x > 1, l'accélération totale de la membrane (9,.10 et 11) est négative, le ton est générateur d'ondes anharmoniques B (fig 2), à ce ton nous l'appelons "negaton", et il est comparable à ce que nous connaissons comme électron ou d'autres particules avec une charge négative (-e).

- La fréquence angulaire du ton est directement obtenue de l'équation traditionnelle 22, E = mc^2

- L'énergie interne du ton est l'énergie cinétique de la membrane (22 et 23). De là, le résultat que la vitesse maximale de la membrane est 2c.

- L'asymétrie des forces électriques est obtenue par le concept d'Aspin, formule 31, qui est introduite dans l'équation du rayon moyen, en nous donnant la (30). Ceci implique que negatons et positons avec la même masse, ils se caractérisent parce que la différence entre ses rayons moyens est une valeur infinitésimale (voir 41)

- Ce modèle est complètement mécanique. Dans ce modèle il n'existe pas le concept de forces à distance. Tout se base en calculer les interactions onde- ton (34) existantes entre les tons, seuls composants de la matière, en nous donnant tout le forces connues (électrique, nucléaire, gravité, magnétique, atomique, van der Waals, Casimir, etc.....)

- Par exemple, le résultat de la force de la gravité entre deux matières neutres M et M' est la somme de toutes les interactions mécaniques onde- ton existantes entre tous les composants (tons) de ces matières (36 et 37)

- Les interactions onde-ton entre tons (forces électriques) ont une différence très petite (infinitésimale) dans leur valeur (voir équation 35)

- Le résultat de que les forces nucléaires soient très fortes est du à que la valeur du dénominateur d^2 - R^2 à l'interaction onde- ton (34) est très petite.

- Les forces de Casimir sont la conséquence de la valeur obtenue à (43), dû à l' addition des interactions onde- ton entre les tons de deux atomes à des distances très courtes.

- Dans ce modèle, l'image visible (constitution) des atomes et les molécules est celle qui est traditionnelle. Seulement change la constitution des noyaux. Dans les noyaux, il n'y a pas de neutrons ni de protons. Le noyau est comme un système planétaire très petit constitué par 2z-1 positons et z-1 negatons. z negatons (électrons) orbitent et précessent autour du noyau.

- Dans les réactions nucléaires on conserve le nombre de tons. La radioactivité est interprétée comme le choc probabiliste d'un neutrino contre une particule ou un noyau avec des liens (interactions onde-ton) très faibles entre les composants (tons).

- Avec ce modèle nous pouvons mécaniquement construire (mécanique de Newton) la configuration de tous les noyaux, ainsi que les particules fondamentales neutron et proton (Figure 5). C'est un travail qui est commencé mais qui reste beaucoup pour terminer.

- Le modèle prédit l'expansion accélérée de l'Univers.

- Il explique la courbure de la lumière et la deflexión de la gravité suite à la superposition de toutes les ondes anharmoniques qui produisent la totalité des composants (tons) des astres. Les ondes anharmoniques forment les propriétés physiques de l'éther environnant de ces astres. C'est notre champ de gravité. Nous pouvons parler d'indice de réfraction de l'éther et de réfraction de la lumière dans cet éther. La courbure espace- temps de la Relativité n'est pas nécessaire dans ce modèle. La lumière est réfractée en fonction des champs de gravité qu'elle traverse.

Le modèle doit être perfectionné peu à peu et aussi, il doit être capable de donner des solutions à toute la phénoménologie physique que nous connaissons. Ceci portera beaucoup d'années de recherche.

Le modèle est dans ses débuts. Le modèle est complètement mécanique. Par conséquent, il est très compréhensible.

Salutations, Yoël
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Yoël Lana- Renault, Docteur en Physique Théorique

"Aspin Bubbles" publié à APEIRON, Vol 13, Number 3 (July 2006)
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glevesque
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 Message Posté le: Dim 28 Jan 2007 11:19 pm    Sujet du message:
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Salut

Pour commencer, j'auraient quelque petite questions !

- Une même origine pour tout les forces de la nature, mais exprimer de manière fractale selon les échelles, acquiérant des propriétés à effets différentes selon ces même dimensions d'échelles !

- Les bulles pulsantes "tons" (positif ou négatif) sont-elles fait à partire du tissus d'éther (forme de repliment), ou s'agit-il de autre chose ou substances ?

- Qu'est-ce qu'une onde anharmonique ?

- Si j'ai bien compris, sait l'interaction entre les ondes d'ondulation du tissus de l'éther sur les membrane des bulles, qui est en fait la source des interactions ? (et ce dernier ne découle pas d'une géométrie à courbure topométrique d'espace-temps, mais bien d'une géométrie découlant des densité d'ondulations de l'éther, qui est composé de autre choses que l'espace-temps comme subbstance physique objective ou naturelle)

Citation:
Il acquiert (l"éther) des propriétés physiques au pas des ondes.
Alors l'oscillation fait en sorte de matérialiser l'énergie cinétique ! Peut-on associé cela aux fluctuation quantique du vide d'éther par exemple !

Citation:
- Il est élastique, c'est-à-dire, il est élastiquement déformé localement au pas des ondes.
Forme t-il des zones de pressions et de dépression selon les phases et les interférences des ondes ?

Citation:
- Il est polarisé en fonction du type d'onde anharmonique produite par le positón ou le negatón.
Comment ?

Gilles
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Yoël Lana-Renault
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 Message Posté le: Ven 02 Fév 2007 6:06 pm    Sujet du message: Pour Gilles
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l
Salut Gilles.

Pardon pour te répondre si tard. J'ai eu beaucoup de travail. Tu me disais:

<< Qu'est-ce qu'une onde anharmonique? >>

Une onde anharmonique c'est une onde qui n'est pas harmonique. Celles-ci sont très spéciales. Elles sont produites par les bulles pulsantes (les tons). La membrane de ces tons vibrent anharmoniquement selon l'équation (1) de mon article

r = (ro + Ao · sin [wt])^x

Ces particules (tons) émettent des ondes anharmoniques dans l'espace baigné d'éther, lequel est son support. Équations (12) de mon article. Voir aussi figure 2.

Si le ton pulsant est un positon (0 < x < 1), l'amplitude positive de l'onde est toujors plus grande que la négative (Anharmonic wave A, figure 2).

Si le ton pulsant est un negaton, l'amplitude positive de l'onde est toujors plus petite que la négative (Anharmonic wave B, figure 2).

Ces ondes périodiques sont très spéciales. Ces ondes n'accomplissent pas le théorème de Fourier, c'est-à-dire: "Toute onde périodique de fréquence Nu, pourra être exprimée comme combinaison d'ondes harmoniques dont les fréquences sont multiples entiérs de la fréquence Nu".

Ces ondes-ci n'accomplissent pas l'assertion de Fourier.

<< Une même origine pour tout les forces de la nature, mais exprimer de manière fractale selon les échelles, acquiérant des propriétés à effets différentes selon ces même dimensions d'échelles! >>

Si j'ai bien compris, c'est oui. Maintenant on peut travailler avec plus de 100 chiffres significatifs et on peut constater mathématiquement que toutes les forces peuvent avoir une même origine. Au moins, "Aspin Bubbles" a réussi à le faire.

<< Les bulles pulsantes "tons" (positif ou négatif) sont-elles fait à partire du tissus d'éther (forme de repliment), ou s'agit-il de autre chose ou substances? >>

L'éther a seulement de la masse passive, c'est une masse qui n'est pas énergétique et qu'on n'est peut pas mesurer. L'éther est "quelque chose" que nous ne connaissons pas. La quantité Delta (15) de mon article est un petit morceau de masse passive d'éther. La masse énergétique que j'appelle "masse active" seulement l'ont les tons. C'est celle que nous pouvons détecter et mesurer, et elle est équivalente à ce que nous connaissons comme masse inerte ou de la gravité. Et dans un ton, on accomplit toujours que 2 fois la masse passive (M) de sa membrane est égale à sa masse active (m) (formule 21 de mon article).

La question que maintenant nous nous devrions faire serait : Peut-être la substance qui compose la membrane d'un ton est la même que celle de l'éther?

Je crois qu'une confirmation indirecte de cette question est la "production de paires" dans le laboratoire. C'est-à-dire, le processus d'une collision d'un rayon gamma avec une énergie suffisante (plus grande que 1.02 MeV) contre un noyau, en nous donnant une paire electron-positron. Vu depuis "Aspin Bubbles", nous aurions la création d'un negaton (électron) et un positon (positron) à partir d'un éther très perturbé (énergétique) apporté par la radiation gamma. Ceci confirmerait que la substance "éther" est transformée en deux membranes énergétiques, celle du positron et celle de l'électron.

Est-il ceci possible? Je m'aimerais savoir ton avis.

<< Si j'ai bien compris, sait l'interaction entre les ondes d'ondulation du tissus de l'éther sur les membrane des bulles, qui est en fait la source des interactions ? (et ce dernier ne découle pas d'une géométrie à courbure topométrique d'espace-temps, mais bien d'une géométrie découlant des densité d'ondulations de l'éther, qui est composé de autre choses que l'espace-temps comme subbstance physique objective ou naturelle) >>

Je crois que tu as bien compris.

Citation:

Il acquiert (l"éther) des propriétés physiques au pas des ondes.

<< Alors l'oscillation fait en sorte de matérialiser l'énergie cinétique ! Peut-on associé cela aux fluctuation quantique du vide d'éther par exemple! >>

Oui à la première question. Quant à la seconde question, je ne sais pas.

Citation:

Il est élastique, c'est-à-dire, il est élastiquement déformé localement au pas des ondes.

<< Forme t-il des zones de pressions et de dépression selon les phases et les interférences des ondes >>

Oui, c'est une possible interprétation.

Citation:

Il est polarisé en fonction du type d'onde anharmonique produite par le positón ou le negatón.

<< Comment? >>


Pour moi, l'éther est un continu qui se contracte et se dilate au pas des ondes. Par conséquent, c'est réellement la déformation de l'éther celle qui conforme l'onde et que nous détectons. L'oscillation de la membrane d'un ton comprime et dilate son éther environnant, et ce début d'onde longitudinale est transmise par tout l'éther à la vitesse de la lumière qui est la vitesse moyenne de la membrane. Le rôle de l'éther est simplement de transmettre mécaniquement jusqu'à l'infini l'oscillation de cette membrane, et sans perte de l'énergie acquise. À cet effet, l'éther doit être complètement élastique, c'est-à-dire, est un moyen (support) non absorbant. Un moyen est non absorbant (élastique) quand après l'avoir soumis à une perturbation (la membrane le perturbe) il récupérera sa manière et taille sans dissipation d'énergie, en propageant en lui l'onde sans souffrir une absorption de l'énergie qu'il transporte. En résumant : il existe un transport d'énergie mais non d'éther.

Les contractions et les dilatations de l'éther en extension sont différentes, du au fait que la membrane oscille anharmoniquement. Quand x est > 1 (negaton) dans l'équation (1) du mouvement de la membrane, l'accélération totale de la membrane est négative et le module de (Rayon maximale - Rayon position d'équilibre de la membrane (R1)) est plus grand que le module de (Rayon minimale - R1). Pour le positón (0<x<1), nous avons le contraire: l'accélération totale de la membrane est positive et le module de (Rayon maximale - R1)) est plus petit que le module de (Rayon minimale - R1). Ce mouvement de la membrane est intégralement transmis à l'éther, et si celui-ci est élastique, nous avons une onde anharmonique "négative" ou "positive" se propageant dans l'éther. Il s'ensuit que nous pouvons parler d'un champ électrique polarisé négativement ou positivement respectivement.

Amicalement, Yoël
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Yoël Lana- Renault, Docteur en Physique Théorique

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glevesque
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 Message Posté le: Ven 02 Fév 2007 6:46 pm    Sujet du message:
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Salut

Citation:
Je crois qu'une confirmation indirecte de cette question est la "production de paires" dans le laboratoire. C'est-à-dire, le processus d'une collision d'un rayon gamma avec une énergie suffisante (plus grande que 1.02 MeV) contre un noyau, en nous donnant une paire electron-positron. Vu depuis "Aspin Bubbles", nous aurions la création d'un negaton (électron) et un positon (positron) à partir d'un éther très perturbé (énergétique) apporté par la radiation gamma. Ceci confirmerait que la substance "éther" est transformée en deux membranes énergétiques, celle du positron et celle de l'électron.

Est-il ceci possible? Je m'aimerais savoir ton avis.
D'après moi, si tu applique un champs magnétique suffisament fort pour séparer les couple positron-électron avant leur annihilation entre eux ou d'avec la matière qui les entoure (donc encinte sous vide), mais la théorie quantique prévois aussi cela a partire des nivaux d'énergie E=MC2 et la création de paire de plusieurs particule de Dirac (particul-antiparticule), avec aussi interaction du vide quantique (fluctuation) !

Peut-être en faisant l'expérience a partir ou a l'intérieurs des lame de Cassimir (pour faire resortir de l'énergie du vide) ! Il faudrait dans ce cas, vérifier les grandeur d'ondes. Je suppose beaucoup bien sur, n'étant pas réellement spécialisme du formalisme quantique !

Pour ton modèle, le transfère des polarisation électrique et magnétique devienderait une caractéristique provenent seulement des particules cibles, dont les photons (partie interactionnelle (réduction de la fonction d'onde) de l'onde) ne transporterais finalement que l'énergie cinétique et rien d'autre ?

Si tu remplace les mouvements d'éther par une multitude de grains de micros membrane (une sorte de jauce des membrane des électron-positrons) ou dislocation par micro résonnance et envois de résidut (dimension très petite de l'ordre de planck). Il me semblerait que les comportement serait du même type que celui des ondes, et le tout serait déterminisme a partir de leurs trajectoire individuelle (l'ensemble formerait le comportement (formalisme) ondulatoire) !

Comme ça plus besoin d'éther, mais là je ne sait plus car je ne fait que te posée une question !

Gilles
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vinety
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 Message Posté le: Sam 03 Fév 2007 1:37 pm    Sujet du message: Re: Pour Gilles
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Salut Yoël Lana Renault

J'ai pris la liberté de traduire ton introduction d'Aspin bubbles que j'ai traduit par " Bulles tourbillonnantes

Projet mécanique sur l’unification des forces de la nature.
Par Yoël Lana Renault

Ce texte décrit une théorie mécanique qui fait l’unification des forces de la matière avec une seule réaction onde particule.
La théorie est basée sur l’hypothèse que les composantes ultimes de la matière sont seulement deux sortes de particules pulsatives.
La réaction entre ces particules immergées dans un milieu semblable à un fluide, l’éther, produisent toutes les forces de la nature : Electrique, nucléaire, gravitationnel, magnétique, van der Waals, Casimir, etc.
La théorie décrit aussi la structure interne de l’atome et des particules fondamentales couramment connues. Ainsi, un nouveau concept de physique est introduit capable de s’attaquer à l’émergence de nouveaux problèmes.

Les mots clefs : Unification des forces, Interaction non linéaire.

INTRODUCTION

La théorie présentée ici est compatible avec les points de vues existants sur la nature de la matière et démontre que les propriétés essentielles d’une particule peuvent être décrites dans le cadre de la physique classique avec certaines hypothèses sur la nature de l’espace physique qui est traditionnellement appelée l’éther.
Cette théorie est une synthèse d’idées utilisées par Newton, Faraday, Maxwell et Einstein.
Dans le passé, l’hypothèse d’un éther imaginé tel qu’un fluide, a été décisive pour la création de la théorie des champs électromagnétiques. L’image d’anneaux tourbillonnants a été utilisée pour construire un modèle de l’atome, quand l’existence des particules élémentaires n’était pas connue.

Dans le temps, l’utilisation du modèle tourbillonnant associé aux particules élémentaires semblait raisonnable. Cependant, la présente théorie introduit une alternative aux particules élémentaires, que j’appelle « tons », avec une rotation gauche et droite, pour définir un modèle de particules et d’anti-particules.

L’interaction entre ces « tons » est utilisée pour représenter la charge électrique des particules, le signe de la charge étant défini par l’accélération interne du mouvement des « tons ».
Les équations de Maxwell sont utilisées ici comme base pour la description cinématique de l’éther comme la dynamique de l’éther. Les calculs démontrent que la masse Newtonienne d’une particule dépend sur l’asymétrie dans la grandeur de ses tons. L’éther est considéré ici, comme ayant un comportement inertiel non linéaire.

Historiquement, il y a un désaccord sur l’interaction physique entre les particules élémentaires. Pourtant, la réponse semble simple quand on observe une collision entre deux corps tangibles. Ils réagissent entre eux parce qu’ils se touchent. La vérité est que les atomes dont est constitué la matière ne se touchent pas, parce que ce phénomène échappe à nos observations et à nos sens. Au début de l’histoire de la physique, le besoin pour une hypothèse dans le champ d’observation de l’interaction des atomes entre eux n’était pas nécessaire.
Quand notre attention a été concentrée sur le phénomène de l’interaction des atomes dans la matière sans possibilité de l’observer visuellement, il a été nécessaire d’assumer qu’il y avait un mécanisme caché à nos sens, sur l’interaction spatiale des atomes de la matière ou simplement accepter que ce phénomène agissait à distance. La quantification de ces forces était tout ce que nous devions connaître. En un certain sens, cela devenait un concept philosophique plutôt que physique. Historiquement, ce concept de forces agissant à distance a été accepté d’emblé, parce que les résultats des calculs étaient cohérents avec la réalité observable.

Il y a aussi une tradition pour essayer de comprendre plus profondément les phénomènes observables, qui permet de théoriser sur le processus physique de la matière. L’omniprésence de l’éther laissait croire qu’il était un milieu propice pour l’interaction physique. Cette approche a été utilisée par Michael Faraday pour expliquer l’électrodynamique en démontrant à des gens très pragmatiques, qu’un savoir réel peut être acquis par des hypothèses bien étayer sur des phénomènes inobservables.

Un modèle satisfaisant de l’éther doit être inventé. Pour expliquer différents phénomènes, différents modèles sont utilisés : les fluides, les solides, les gaz…
En comparaison, l’éther ne semble pas aussi attirant, pour être utilisé dans une théorie consistante. Mais c’est uniquement dû au fait, que nous considérons l’éther dans un cadre de substance que nous connaissons. Pour développer une théorie de l’éther, on doit être libre d’imaginer un milieu dont les propriétés ne correspondent en aucun point à celles connues de la mécanique classique.

Notre but est de comprendre la nature de la matière et des champs de forces qui les interpellent, même si nous devons attribuer des propriétés peu communes à l’espace ou à la substance emplissant l’espace. Le but ultime de cet exposé est réduire toutes les interactions physiques en des interactions purement mécaniques.
À la fin du 19 ième siècle, il y avait une autre interprétation du concept de l’éther, qui disait que tous ce que nous observions dans le ciel pouvaient interagir entre elles grâce à l’éther, et étaient aussi l’éther. Cette interprétation était la base de la représentation de William Thompson sur l’idée que (lord Kelvein) entretenait sur les atomes comme étant un anneau tourbillonnant. Cette idée a été plus tard développée par J.J Thomson. Sous cette vision, les corps physiques sont une sorte de pagaille dans la substance qui emplie l’espace.
En 1887, après l’expérience de Michelson et Morley, le concept de l’éther comme milieu à été rapidement abandonnée. L’ironie de cette expérience, n’est pas qu’elle a sonné le glas de l’hypothèse de l’éther mais qu’elle n’a pas réellement endommagée l’hypothèse, alors universellement acceptée de l’éther.

Ce document décrit une seule interaction spécifique d’une onde-particule, capable de reproduire toutes les forces de la Nature. Cette interaction guide un nouveau concept de l’atome et mène à d’autres développements ultérieurs. Comme le but visé de ce document est de répandre les idées admises, dans une théorie plus large et plus générale. Strictement des concepts et des conséquences fondamentales sans mathématiques enchevêtrées, sont ici présentés

Depuis la naissance de la physique fondamentale, l’origine de l’électricité, la gravité et les forces nucléaires, ont croupis dans un discours vide de sens conceptuel pour les esprits scientifiques.
Les phénomènes reliés aux forces ont étés mis de coté : Seulement le développement des mathématiques ont atteint un certain prestige et une fascination, avant même que ce formalisme soit vérifier par des expérimentations en laboratoire. En conclusion, des théories embrouillées se sont singularisées par l’apport des théories sur la mécanique quantique et la relativité générale, pour expliquer les phénomènes observés à différentes échelles du même univers. La solution proposée par ce document est la conclusion d’une recherche de dix ans, sur la réforme des théories physiques capables d’expliquer le tandem concept et développement technologiques.

P.S. Toutes les formules mathématiques et les textes explictatifs ont étés omis à cause des difficultés à taper les symboles que tu utilises. Si tu crois que certaines traductions sint incorrectes, je serai content que tu le mentionnes et que tu écris le bon mot à utiliser.

Amicalement

Yves Vinet
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Yoël Lana-Renault
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 Message Posté le: Dim 04 Fév 2007 2:29 pm    Sujet du message: Pour VANETY, excellent
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Cher Yves.

Ça me paraît superbe l'initiative de traduire l'Introduction de mon travail. Je ne sais pas comment te remercier. La vérité c'est que j'ai été agréablement surpris. Et, tu l'as fait en outre très bien. On remarque que tu domines parfaitement le français et l'anglais. Je ne l'aurais pas fait mieux.

Ça me console trouver des personnes comme toi dans le réseau. Le monde ira mieux maintenant.

Comme va t'il l'Exocet ? J'ai vu dans ta web deux travaux précieux. Félicitations!

Une salutation très affectueuse.

Yoël
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 Message Posté le: Dim 04 Fév 2007 3:40 pm    Sujet du message: Pour Glevesque: Paire electron-positron
Répondre en citant

Bonjour Gilles. Tu disais:

<< Pour ton modèle, le transfère des polarisation électrique et magnétique devienderait une caractéristique provenent seulement des particules cibles, dont les photons (partie interactionnelle (réduction de la fonction d'onde) de l'onde) ne transporterais finalement que l'énergie cinétique et rien d'autre? >>

Oui, c'est ainsi. La radiation gamma (photon) transporte l'énergie cinétique nécessaire pour qu'on forme la paire electron-positron. Dans mon modèle il serait accompli, selon les équations 22 et 23, que:

h·Nu = 2· (Mv^2)/2 = 2· (mc^2)

où:

h·Nu = Énergie du photon (radiation gamma)

2· (Mv^2)/2 = Énergie cinétique maximale des membranes de les deux tons (électron + positron)

2·(mc^2) = Énergie interne de les deux tons

en étant M, la masse passive de la membrane de chaque ton et m, la masse mesurable de chaque ton.

Par conséquent, un morceau de masse passive 2M d'éther, est transformé, grâce à l'énergie qui apporte le photon (h·Nu), en deux tons d'énergie interne mc^2, dont les membranes oscillent avec une énergie cinétique maximale de (Mv^2)/2.

<< Si tu remplace les mouvements d'éther par une multitude de grains de micros membrane (une sorte de jauce des membrane des électron-positrons) ou dislocation par micro résonnance et envois de résidut (dimension très petite de l'ordre de planck). Il me semblerait que les comportement serait du même type que celui des ondes, et le tout serait déterminisme a partir de leurs trajectoire individuelle (l'ensemble formerait le comportement (formalisme) ondulatoire)!

Comme ça plus besoin d'éther, mais là je ne sait plus car je ne fait que te posée une question! >>


Je crois que c'est compliquer l'affaire. Et il ne faut pas oublier que j'ai besoin de l'éther pour la réussite de l'interaction mécanique onde-ton (Voir 14, 15, 16 et 17 de mon article)

Amicalement, Yoël
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glevesque
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 Message Posté le: Ven 15 Juin 2007 4:55 pm    Sujet du message:
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Salut

Citation:
que j’appelle « tons », avec une rotation gauche et droite, pour définir un modèle de particules et d’anti-particules.
Que pense tu de l'asymétrie matière et anti-matière découverte par BaBar !

Surtout concernant la désintégration des Kaon en 2 ou trois pion, cela présuppose la non ponctualité des particules fondamentales !

D'ailleur je me demande si des étude sur les énergie utiliser ne pourrait pas expliquer une sorte de dynamique interne sur l'ajustement des quark et les interaction faible via le courant neutre !

Est-ce que le courant neutre pourrait représenté la création (mécanisme de !!!) des paire d'electron-positron ! (constituant les quark par exemple !)

Voir la conférence vidéo sur BaBar via ma signature en Mécanique Quantique et physique des particules !

Gilles
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 Message Posté le: Sam 17 Nov 2007 4:06 pm    Sujet du message: spectre électromagnétique naturel
Répondre en citant

"Aspin Bubbles" prédit que tout le spectre électromagnétique naturel est conséquence exclusive d'un courant de photons et non d'ondes électromagnétiques.

J'ai trouvé cette prédiction et je crois qu'elle est importante, mais avant, permettez-moi de vous transcrire quelques paragraphes sur la double personnalité de la lumière qui ont écrit Yuval Néeman et Yoram Kirsh dans son livre de divulgation "les chasseurs de particules" publié par Gedisa (Espagne) durant l'année 1988:

Pendant les dernières 250 années les physiciens ont donné diverses réponses à la question : "Qu'est-ce que c’est la lumière?" En 1704 Newton, dans son livre Optics, il a décrit la lumière comme un courant de particules ou corpuscules. Plus ou moins en même temps, le scientifique néerlandais Christiaan Huygens a suggéré que la lumière était une onde, mais l'incontestée autorité de Newton a fait que cette idée fût rejetée par la théorie corpusculaire de la lumière.

À la fin du siècle passé le scientifique écossais James Clerk Maxwell démontrait que si une charge électrique oscillait elle créerait des ondes qui en réalité étaient des oscillations des champs électrique et magnétique qui entouraient la charge. Ces ondes transmettaient de l'énergie, laquelle devait être décelable. En 1888 Heinrich Herz, en Allemagne, a réussi produire ces ondes électromagnétiques et les détecter avec un récepteur à une certaine distance, ce qui a fourni une confirmation expérimentale de la théorie de Maxwell.

Il paraissait que l'énigme de la lumière avait été par fin résolue. Toutefois quelques phénomènes - qui à première vue paraissaient triviaux - suivaient sans explication. Un de d'eux était la radiation thermique ou du "corps noir", c'est-à-dire, la radiation émise par des corps quand ils sont chauffés.

Ç'a été le physicien allemand Plank qui a résolu le mystère, en 1900. Supposons, il a dit Plank, que la lumière est émise et elle est absorbée par la matière seulement dans des quantités discrètes définies, que Planck a appelées quanta. Un corps ne peut pas émettre ou absorber énergie lumineuse à toute quantité arbitraire, mais seulement comme multiples complets de la quantité de base, ou quanto.

Albert Einstein a été le premier à démontrer que l'hypothèse formulée par Planck était capable d'expliquer aussi d'autres phénomènes incompréhensibles. En 1905, dans un article apparu au journal allemand Annalen der Physic, Einstein a expliqué l'effet photo-électrique avec l'aide du concept des “quanto”.

Einstein est allé plus loin que Planck et a conjecturé que dans un faisceau de lumière existe naturellement des quanto d'énergie, non seulement pendant le processus d’émission et absorption. Un faisceau de lumière, par conséquent, est un courant de particules - que Einstein a appelé photons - exempts de masse mais dotés d'une énergie de h·Nu par photon.

En conséquence, l'effet photo-électrique peut être expliqué en supposant que la lumière est un courant de particules, mais dans ce cas: qu’est qui arrive avec l’expérience de Young et beaucoup d'autres expériences démonstratives, plus là de tout doute, que la lumière est une onde? Peu à peu il a pénétré dans la physique la pensée que la lumière a les propriétés tant des ondes comme des particules. Dans certaines conditions la lumière révèle sa nature d'onde, et dans autres sa nature de particule.

Bien sûr, la question qui retournait maintes et maintes fois était la suivante: c’est bien, mais: quel est la "véritable" nature de la lumière: particule ou onde? La réponse paraît consister à que les images mentales disponibles et auxquelles nous sommes habitués, qui commencent dans notre expérience avec des corps "grands" ou macroscópiques, elles sont incapables de nous offrir une image concrète de la lumière universellement applicable à toutes les circonstances. Pour le moment nous nous trouvons obligés, par conséquent, de nous satisfaire avec deux modèles, chacun des quels convient à certaines circonstances.

Durant des années postérieures on a accumulé de nouveaux essais sur la nature double de la lumière et on a vérifié que celle-ci est une vertu non seulement de la lumière visible mais de tout le spectre électromagnétique. Une importante manifestation de cette dualité a été découverte en 1922 par le physicien américain A. H. Compton. Compton a vérifié qu'en irradiant avec des rayons X un bloc de paraffine une partie des rayons dispersés émergeait avec des longueurs d'onde plus grandes que celle qui est originale. Cet effet ne pouvait pas être expliqué par la représentation d'onde de la radiation électromagnétique. Toutefois, Compton a vérifié qu'il pouvait l’expliquer selon le modèle du photon si on supposait que les photons entraient en collision avec des électrons du matériel et ils leur transmettaient de l'énergie, précisement de la même façon que s’il se produirait une collision de boules de billard.
_________________________________________________________

Donc, devant cette dualité onde-particule sans résoudre, je vous propose, humblement, que probablement “Aspin Bubbles” a la solution.

Après plusieurs mois d'étude dans mes heures libres je suis arrivé à la conclusion que le photon possiblement c'est un ton harmonique et que tout le spectre électromagnétique naturel est la conséquence exclusive d'un courant de photons et non d'ondes électromagnétiques. Voyons pourquoi:

Le potentiel anharmonique (2) a en outre une solution particulière harmonique quand l'exposant x est égal à l'unité. Avec x = 1, le potentiel anharmonique de la membrane est transformé au potentiel harmonique de Hooke:

V(r) = (½)M·w^2·[(r – ro)^2 – Ao^2]

et pour énergie total zéro, le mouvement oscillatoire de la membrane de ce ton est l'expression rayon r = ro + Ao sen (wt). Appelons-le pour l'instant "ton harmonique i".

Sa position d'équilibre (5) est R1 = ro = rayon moyen Ri

Tel que V(R1) = V(ro) = V(Ri) = - (½)M·w^2·Ao^2

Et en appliquant la condition de point d'équilibre (24) nous obtenons que son ampleur est Ao = 2·(h barre)/mc

Et comme dans mon article j'ai défini que le rayon moyen d'un ton quelconque est: Ri = 2n·(h barre)·Aspín]/mc, nous obtenons, en remplaçant, que l'expression du rayon de la membrane est:

r = [2(h barra)/mc][n·Aspín + sen(wt)]

Selon (22), j'ai assumé que l'énergie interne d'un ton était E = mc^2 = h·Nu = (h barre)·w. Et en tenant compte du fait que Lambda·Nu = c, nous obtenons que:

r = [Lambda/Pi][n·Aspín + sen(wt)]

(Lambda = Longueur d’onde, Nu est sa frequence et Pi est le numero pi)

L'accélération moyenne a de la membrane sera zéro comme nous savons bien. Par conséquence, le ton harmonique i ne vas pas s’autopropulser dans un éther configuré par des ondes anharmoniques j provenantes d’autres tons, et alors, l'interaction mécanique (14) sera zéro, Fji (d) = 0.

Ce ton a comme tous les tons, une masse passive M non décelable que constitue sa membrane, mais sa masse active m (masse newtonienne), celle qu’on peux mesurer, est zéro parce que comme nous venons de dire, ce ton n'interactionne pas.

A conséquence de cela, la valeur de son Aspin est 1 (voir 31 et 32) et l'expression définitive du rayon de la membrane du ton harmonique est:

r = [Lambda/Pi][n + sen(wt)]

Pensez maintenant au processus d'annihilation d’un positron et d'un électron, en se heurtant tous les deux, où les deux particules disparaissent et elles sont transformés à un certain nombre de photons.

Ne sera pas qu'un photon est un ton harmonique?

Ce ton pulsative harmoniquement pourrait remplir toutes les propriétés du photon: c’est une particule avec masse m zéro, charge zéro, probablement spin 1, moment magnétique zéro et son énergie interne est Ei = h·Nu, où Nu est la fréquence de pulsation de la membrane. Et ce ton harmonique ou photon voyage à travers l'éther à la vitesse de la lumière c.

Allons un peu plus loin;

Si le ton harmonique (sphère pulsative, bulle pulsative) est á son état de base (n = 1) nous obtenons que:

Rayon maximum = 2·Lambda/Pi

et rayon minimum = 0

Note: ce rayon minimal est zéro théoriquement, mais dans la réalité nous devons l'interpréter comme un point infinitésimal.

Donc, imaginez vous maintenant que ces bulles pulsatives qui voyagent avec la vitesse c de la lumière heurtent avec la matière. Soyons plus explicites.

Soit un rayon de lumière avec une longueur d'onde de 589 nm (émise par une lampe de sodium) qui heurte une lame d'or. L'or cristallise en une structure cube compacte. On sait que le rayon atomique de l'or est de 144 pm, et que la distance entre les atomes situés aux sommets des cellules cubiques est de l'ordre de 407 pm = 4,07·10^-10 m

Le diamètre maximal de la bulle pulsante sera 4·(Lambda/pi) = 750 nm = 7,5·10^-7 m,

1843 fois la distance interatomique!

Si le photon (ou bulle pulsante) prend contact avec la surface de la lame d'or au moment où il a sa taille maximale, celui-ci heurtera avec une paroi de plus de 2.6 millions d'atomes! Par conséquent, il est logique de penser qu'un choc élastique se produira où la bulle reculera en accomplissant la loi de la réflexion.

Si le photon prend contact avec la lame d'or au moment où sa taille est minimale (point infinitésimal), celui-ci pénétrera dans la structure de la lame et il sera rapidement absorbé par un certain atome d'or.

Comme il est logique, les bulles pulsantes ou pulsatives peuvent avoir n'importe quel diamètre au moment de prendre contact avec la surface de la lame d'or (il dépendra de sa phase), en consequence, nous aurons réflexion ou absorption en fonction de sa grandeur, son angle d'incidence et des séparations interatomiques.

Maintenant c'est facile de comprendre l'expérience de Young de la double fente. Les bandes claires correspondent aux bulles pulsantes ou photons qui arrivent en phase et qui souffrent une réflexion, tandis que celles qui sont foncées correspondent aux bulles pulsantes en phase qui souffrent une absorption.

Presque de la même manière nous pourrions expliquer la diffraction d'électrons par une double fente. Les détecteurs recueillent les électrons (negatons) qui sont en phase et avec petite grandeur (absorption). Quand ils sont en phase mais leur taille est grand, ceux-ci se dispersent et ne sont pas décelables. Tenez vous en compte que les électrons (negatons) sont aussi des sphères pulsantes où sa membrane oscille anharmoniquement (puisque l'exposant x est différent de 1) entre un rayon maximal de 1,5·10^-12 m et un rayon minimal de 6·10^-16 m pour son état quantique ou de base n = 1.

Si nous pensons que les rayons X sont réellement des tons harmoniques, l'effet Compton est réduit à un simple choc élastique entre deux particules (photon et électron).

Un milieu refractante (verre, eau, gaz...) a les distances intermoléculaires (et/ou interatomiques) beaucoup plus grandes que celles de la lame d'or, en consequence, c'est logique penser que presque toutes les bulles pulsantes ou photons qui heurtent contre ce milieu pénètrent à son intérieur en souffrant de la réfraction dans l'éther configuré par les tons des atomes (et/ou les molécules) de ce milieu.

Que pensez-vous de tout ceci? J'attends vos commentaires. Une salutation très affectueuse à vous tous, Yoël
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glevesque
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 Message Posté le: Sam 17 Nov 2007 6:14 pm    Sujet du message:
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Salut

Citation:
Maintenant c'est facile de comprendre l'expérience de Young de la double fente. Les bandes claires correspondent aux bulles pulsantes ou photons qui arrivent en phase et qui souffrent une réflexion, tandis que celles qui sont foncées correspondent aux bulles pulsantes en phase qui souffrent une absorption.

Presque de la même manière nous pourrions expliquer la diffraction d'électrons par une double fente. Les détecteurs recueillent les électrons (negatons) qui sont en phase et avec petite grandeur (absorption). Quand ils sont en phase mais leur taille est grand, ceux-ci se dispersent et ne sont pas décelables.
Je suis d'accord, et je crois que tu peux même extrapoler ceci aux expériance d'intrication (versus leurs indice de corrélation).

Mais cela implique un aspect corpusculaire, qui prenderait alors un comportement ondulatoire par rapport unique au différentiels des grandeurs (échelle structurelle) entre le photon (et selon son énergie) d'avec les structure atomique beaucoup plus grandes ! Dans ces condition, et tout comme les vagues sur l'eau, les photon matériel de dimension très petite aurait effectivement un comportement d'onde.

D'ailleur qui nous dit que la gravitation ne serait pas justement le fruit d'un t'elle type de phénomène relié aux densité variable d'énergie-matière (interprété sous forme de la métrique), sous forme de micro particule fondamentale de style photonique mais de propriété et de dimension (radiatif) différentes !

Et aussi on sait que les propriété électrique et magnétique d'un photon ne sont pas des propriété interne de ce dernier, mais bien découlant seulement lors d'un interaction qui l'implique ! Les composantes électrique et magnétique émerge du phénomène interactif (relation entre particule et échange d'énergie cinétique), c'est donc des propriété relié au mécanisme interactionnelle et non aux particule en soi !

Je suis d'accord avec se principe !

PS : Que veux-tu représenté par le mot membrane du photon ? (limite d'onde superficiel de type tension superficiel !)

PS 2 : Ici C en rapport avec ces données reliés aux densité différentiel (métrique) de matière-énergie, ne serait plus une vitesse limite, mais bien l'expression d'une célérité différentiel relié a la densité métrique (matière-énergie et non plus a la courbure de l'espace-temps comme trame de fond au continuum, mais interprété de manière équivalente sous forme densitométrique, ainsi le formalisme relativiste reste valide et inchangé mais plus d'éther sauf sous forme de boul de photon ou autre pouvant trouver ou corresponde comme trame de fond !) !

Gilles
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Dernière édition par glevesque le Sam 17 Nov 2007 6:26 pm; édité 1 fois
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glevesque
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 Message Posté le: Sam 17 Nov 2007 6:21 pm    Sujet du message:
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Salut

Citation:
Si nous pensons que les rayons X sont réellement des tons harmoniques, l'effet Compton est réduit à un simple choc élastique entre deux particules (photon et électron).
En fait une interaction entre champs quantique d'énergie est toujours la manifestation de la matérialisation de sa composante matériel, puise-ce que la matière découle de sela et vice-versa !

Gilles
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 Message Posté le: Dim 18 Nov 2007 2:09 am    Sujet du message:
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Bonjour

Citation:
En fait une interaction entre champs quantique d'énergie est toujours la manifestation de la matérialisation de sa composante matériel, puise-ce que la matière découle de sela et vice-versa !


Merçi gilles pour ces explications Wink

Tres bon texte yoel Wink

aurevoir
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Yoël Lana-Renault
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 Message Posté le: Lun 19 Nov 2007 3:26 pm    Sujet du message:
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Gilles demande:

<<PS : Que veux-tu représenté par le mot membrane du photon ? (limite d'onde superficiel de type tension superficiel !) >>

Non, le photon est simplement pour moi un ton harmonique, et tu sais bien qu’un ton est une bulle pulsante, alors, la membrane du photon est la membrane de la bulle.

Salut, Yoël
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 Message Posté le: Lun 19 Nov 2007 3:52 pm    Sujet du message:
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Salut

Citation:
Non, le photon est simplement pour moi un ton harmonique, et tu sais bien qu’un ton est une bulle pulsante, alors, la membrane du photon est la membrane de la bulle.
Dynamique d'onde ou de corpuscule ?

Gilles
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 Message Posté le: Lun 19 Nov 2007 4:51 pm    Sujet du message: onde ou corpuscule
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Salut Gilles

Les deux choses à la fois, car le ton harmonique est une bulle (corpuscule) pulsante qui émet des ondes longitudinales sphériques harmoniques à travers l’ether. L’ether est son support. Et l’energie de ces ondes est h·Nu.

Yoël
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 Message Posté le: Lun 19 Nov 2007 5:02 pm    Sujet du message:
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Salut

Mais ici le mode de vibration du ton harmonique par rapport a sa membrane, peut découler d'un aspect d'inharmonie ! Dont d'écoulerait l'aspect corpusculaire (mécanisme qui cherche a rétablire la cohérence des ondes) !

Il ne faut pas oublier qu'ici onde, ne fait qu'immager notre limite de conception relié a l'aspect causale des choses ! Et c'est pour cela que l'on conceptualisme en MQ par des champs de probabilité en énergie cinétique potenciel et manifestable !

Mais en premier lieu cette énergie découle de la dynamique de ces ondes (superposition, phase, déphase et autre) et dont les partie qui dévoile leurs mode d'excitation peut ce manifester comme mode découlant et projetant une recherche constante d'équilibre.

Et ce mode vibratoire pourrait expliquer le semblant corpusculaire de la membrane, qui par transition d'échelle (de Plancks aux atomes) donnerait tout simplement l'aspect de consitance et de dureté a la matière. La matière n'étant en fait que les différents mode d'excitation de ces champs d'énergie cinétique (action-réaction) relié au principe causale (relié aux ondes en eux-même) et intervenant seulement a travers les processus interactionnelle symboliser par nos 4 lois fondamentale de la nature ! La membrane étant le résultat de surface de tout cette dynamique !

Les mode d'excitation (un certains type ou trame de ces mode) aurait tout simplement la propriété croissante de ce dévoilé a travers l'objetivité de la nature !

Enfin, je ne sais pas si cela est bien claire, mais vois-tu ou je veut en venir !

Gilles
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Yoël Lana-Renault
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 Message Posté le: Mer 21 Nov 2007 3:45 pm    Sujet du message:
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Gilles a écrit:

<< Et ce mode vibratoire pourrait expliquer le semblant corpusculaire de la membrane, qui par transition d'échelle (de Plancks aux atomes) donnerait tout simplement l'aspect de consitance et de dureté a la matière. La matière n'étant en fait que les différents mode d'excitation de ces champs d'énergie cinétique (action-réaction) relié au principe causale (relié aux ondes en eux-même) et intervenant seulement a travers les processus interactionnelle symboliser par nos 4 lois fondamentale de la nature ! La membrane étant le résultat de surface de tout cette dynamique !

Les mode d'excitation (un certains type ou trame de ces mode) aurait tout simplement la propriété croissante de ce dévoilé a travers l'objetivité de la nature !

Enfin, je ne sais pas si cela est bien claire, mais vois-tu ou je veut en venir !>>


Je ne sais pas et pardonne moi. j’ai lu plusieurs fois ton message et je crois que je n’arrive pas à comprendre tout. Possiblement c’est dû à que je ne suis pas un expert en mécanique quantique et à que je suis une personne très simple, comme on dit où j’habite: al pan, pan y al vino, vino. Traduction: Le pain est pain et le vin est vin, et pas une autre chose.

Je comprends par ta phrase: et intervenant seulement a travers les processus interactionnelle symboliser par nos 4 lois fondamentale de la nature! que les 4 lois fondamentales de la nature sont seulement une representation symbolique de la verité et que surement il y a un origine commum.

Si c’est ça, je suis d’accord, car “Aspin bubbles” essaye seulement de donner une explication newtonnienne à ces 4 lois fondamentales.

Saluts, Yoël
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Yoël Lana- Renault, Docteur en Physique Théorique

"Aspin Bubbles" publié à APEIRON, Vol 13, Number 3 (July 2006)
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glevesque
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 Message Posté le: Mer 21 Nov 2007 4:41 pm    Sujet du message:
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Salut

Oui c'est çâ !

En gros je voulais exprimer le concepte d'onde (superposition et etc...) par un type de comportement (parmis d'autre plus vaste) qui par le processus interactif (échange d'énergie cinétique) encadrer a travers nos 4 lois physique actuelle, expliquerait le monde matérielle. La matière étant ici qu'un phénomène relié au type de processus interactif ou d'une sorte de mécanisme d'onde relié a différents mode d'excitation de champs d'énergie encapsuler par la mécanique quantique ! Une action (action-réaction du principe causale qui nous est inconnue encore en science) et qui via le processus interactif aurait la capacité de faire apparaitre les différentes caractéristique de la manifestation de la matière (partit visible de l'univers) par les différents mécanisme d'interaction catégorisant une sorte de mode vibratoire des champs d'énergie entrant alors dans un certain mode d'excitation de champs, relié au processus d'interaction qui dévoilerait les caractéristique de la matérialité des choses (consitance, dureté, extenssibilité et etc...) !

Une sorte de processus d'excitation d'onde ou de champs, mais situé ou caractérisant sa surface, et qui surviendrait uniquement lors d'un processus d'interaction (échange d'énergie cinétique) entre particule fondamentales (onde de champs de matière de forme stationnaire ou onde de matière de De Broglie).

En fait ici la schémantique de champs d'énergie en elle-même, et relié aux conceptes d'onde, formulerait tout simplement cela et via la méthodologie des probabilités statistique en MQ, limite actuelle de notre connaissence en science fondamentale ! Ici les ondes symbolise tout simplement notre inconnut et notre incompréhension de ce qui supporte en réalité (substance ou essence ou autres !!!) la phénoménologie naturelles aux plus petites échelles allant vers les plus haute !

Le concepte des ondes de probabilité relié aux différents champs d'énergie cinétique et leurs relation. N'est en fait qu'une approximation déductive et rien de plus de l'objectivité réelle du fond de la nature. Une conception virtuelle des choses nous permetant d'approximiser un aspect causale incompris dans ses prémisses même et ses raison d'être ! Le tout vut a travers un symbolisme mathématique virtuelle (faisant intervenir le hasard en essence pure (interprétation de Copehague), ce qui est bien idiot si on y pense un peut et vut que l'univers est belle et bien structuré et organiser par la compréhension observationnelles et aidés par l'interprétation de nos lois physique actuelle) !

Le réductionnisme s'appuis seulement sur cette prémisses ! (l'objet de la science n'est que les processus interactifs)

Mais la dynamique des ondes, aux identité virtuelle et symbolique, peut très bien être représenter sous forme d'action de probabilité. Cette action découlerait d'une forme de dynamique d'onde (mode d'excitation, vibration, d'osciation, de phase et anti-phase, de supperposition, de froissement, de compression-dilatation et etc...), dont une partie ce manifesterait par certains mode d'interaction entre ces dernière (lors des processus d'échange d'énergie cinétique). La cause devenant ainsi, non plus ce qu'est une onde ou un potenciel de champs d'énergie cinétique qui ce manifeste, mais bien du pourquoi il existe une dynamique entre les choses (l'interaction venant de l'effet de cette dynamique et qui en deviens ainsi la cause initiale), car seul le processus interactif (au moment de l'action) se manifeste dans le monde de matière, et seul ce processus est mesurable via les outils de la science actuelle !

Ainsi on connait et interprète le comportement ondulatoire de la matière sous forme d'onde de probabilité stastistique, mais on ne c'est pas comment s'effectut le transport de l'information dans l'espace et a vitesse C, de ces mêmes ondes de champs qui ce manifeste alors par de l'échange d'énergie cinétique lors d'une interaction par exemple (trajectoire/orientation d'impulsion). C'est aspect nous est encore inconnut, de là leurs interprétation sous forme d'onde (réduction du paquet d'onde, supperposition d'état quantique, indétermination d'heizengerg et etc....) !

Mais le tout peut très bien être sous forme corpusculaire, au dépend de l'interprétation dualisme (quanton) actuelle (onde/corpuscule) de la MQ.

Gilles
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