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glevesque Chroniqueur
Inscrit le: 13 Jan 2007 Messages: 2242 Localisation: Longueuil, Québec
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Posté le: Mer 09 Avr 2008 12:43 pm Sujet du message: Contestation des résultats des Expériances biologique Viking |
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Salut
Je cherche des liens et des informations suplémentaire sur ce sujet !
"Contestation des résultats des Expériances biologique Viking"
Car ayant moi-même vérifier un peut plus en détailles ses expériances, et bien je peut dire que les résusltats ne pouvait pas être très très concluant non plus pour confirmer ou infirmer la présence ou non de molécules organisque. De par surtout le manques de précision des chromatographes (temps de parcours trop petit pour réellement trié les masse de manière efficase) à phase gazeuse et les spectromètre de masse (mars n'a pas de champs magnétique et a une gravité 3 fois moindre, cela a t-il été pris en considération ???), sans compter que le champs magnitique induit par l'appareil n'était pas vraiment puissant pour dévier efficassement les ions et les particules chargé.
En plus le sol de mars est très oxyder (avec une forte concentration de fer), ce qui indique dès au départ qu'il sera plus actif sous la chaleurs et il est normal que le sol est absorbé le carbonne radioactif de l'atmosphère qui a été simuler par les expériances (par injection de co2).
Alors avis aux intéressé ! (et aussi sens faire attension aux archéobactérie extrèmes !!!!)
Voici un liens généraliste, mais qui résume très bien les trois type d'expériance des Vikings :
http://www.nirgal.net/life.html
http://www.nirgal.net/life_seek.html
Gilles _________________ Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
------> Les Panoramiques Martiens <------ |
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glevesque Chroniqueur
Inscrit le: 13 Jan 2007 Messages: 2242 Localisation: Longueuil, Québec
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Posté le: Mer 09 Avr 2008 10:32 pm Sujet du message: |
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Salut
Voici ma conclusion partielle !
Il avait également au menu, trois petites expériences qui étaient réservés à la recherche d'éventuelle trace de vie à la surface de mars (Pyrolytic Release, Gas Exchange, Labeled Release). Ces expériances ont été effectués à plusieurs reprises et selon des durées d’incubations très différentes. Un chromatographe à phase gazeuse (servant a identifier les gaz émis) couplé à un spectromètre de masse (GC-MS), qui mesure la radioativité par la différence de masse entre le C12 naturel et le C14 radioactif, fut grandement utilisés dans ces expériances. Dans les lignes qui vont suivres, je vais vous résumer le plus brièvement possible, les différents étapes de ces expériances. Car les conclusions et la validité réelle des résultats obtenues entre 1976 et 1977 par les lander Vikings, sont de plus en plus contester et remis en cause pour plusieurs raisons. Mais avant d’expliquer les causes et les raisons de cette contestation, voyons d’un peut plus près à quoi consistait exactement ces expériances de microbiologie.
Les Expériences de Microbiologique des Vikings :
Pyrolytic Release : Des échantillons du sol martien, sont placés dans une chambre de culture, qui est par la suite remplie de gaz carbonique radioactifs (CO2 + CO radioactif contenant du carbone 14). L'échantillon est ensuite éclairé par une lampe électrique au xénon durant une période d’incubation variable (de quelques jours à quelques mois). Ce procéder sert à imiter les effets de la lumière solaire, tout en atténuant les effets des rayons ultraviolets que subit le sol martien en temps normal, et qui détruit toute forme de vie se trouvant immédiatement en surface. Si des organismes vivant sont enfouis à quelques millimètres ou centimètres dans le sol martiens, et qu’ils sont capables d’extraire le carbone contenu dans le CO2 de l’atmosphère, pour fabriquer leurs propre composée organique. Soit par photosynthèse directe (organisme autotrophe), étant capable d’utiliser directement l’énergie solaire, ou soit de manière indirecte via d’autre vois de métabolisation qui nous sont encore inconnu (comme certaines métabolisme d’archéobactérie extrémophiles pouvant combiné métabolisme autotrophe et chimiolithotrophe, il faut que je retrouve l’exemple des fausse hydrothermale ici !). Alors il est permit de pensée que ces micro organismes vont assimiler le carbone radioactif qui est contenu dans la chambre, et l’intégrer dans la synthèse métabolique de leurs propres composées organiques (sucre, protéines et autre). Après un certain temps d’incubation, on retire toute l’atmosphère de la chambre, et on chauffe très fortement l’échantillon dans un four porté à plus de 625° C (pyrolyse). La température du four était ajustable, selon le type d’expérience désirée. Dans ces conditions de température extrême, les molécules organiques passent directement de l’état solide à l’état gazeux par sublimation. La chaleur intense du four, va tuer et vaporise tous les micro organismes que pouvait contenir la chambre. Les vapeurs produites sont ensuite acheminé vers un spectromètre de masse, qui mesure les différente concentration de CO2 radioactif (le C14 étant plus lourd que le C12 naturelle, il sera moins dévier par le champs magnétique du spectromètre de masse).
L'expérience est ensuite répétée de nombreuses fois avec la lampe allumée ou éteinte, des temps d’incubations, de chauffage et de température différente. Les résultats de ces expériences, fur bien partager et non concluante. Le sol semblait toujours dégager, d’une manière ou d’une autre, une certaine quantité de carbone radioactif. Le sol de mars était donc belle et bien actif, et était capable d’assimilé du carbone, mais ne semblait pas dépendre directement d’organisme vivant autotrophe, ou uniquement dépendant de la lumière solaire. Le sol de mars avait des propriétés chimiques différentes et nouvelles (relié probablement à sa forte teneur en oxyde), et capable de jouer le rôle de réducteurs (comme le fer 2+/3+ contenu dans les hépatites ou les pyrites) dans la chimie minérale du sol, interagissant très fortement avec les oxydes du milieu à charge plus négative (absorption du CO2 à la surface des minerais du sol, suivi de sa libération lors du chauffage après leur oxydation) !
Dans cette expérience, les propriétés chimiques du sol martiens, relié de toute vraisemblance à sa forte teneur en oxyde (oxyde de fer et autre). Semble bien avoir pris le dessus, ce qui invalide tout les autres testes possibilités associées au dégage de composé organique provenant d’un organisme vivant. L’expérience aurait en fait masqué tous autre formes de dégazage de moins grande envergure, que celles qui étaient relié directement aux propriétés chimiques du sol martien (sol très oxydé). Ici même si l’échantillon avait contenu quelque micro organismes, il n’aurait de tout façon pas été détecté, car noyé dans le flot d’activité chimique intense des minerais oxydé composant le sable martiens. L’expérience était donc invalide, et pas assez précise pour effectuer la détection de molécules organique, pouvant être associé à une origine biologique !
Gas Exchange : Dans cette expérience, les échantillons sont placés en présence d’une atmosphère qui simule les principales caractéristiques de l’atmosphère martienne (CO2, hélium, krypton). L’expérience présentait deux options, soit l’échantillons était présenté directement à une solution de culture nutritive, ou soit les échantillons était tout simplement humidifié, sans solution de culture nutritive. Le gaz sont ensuite prélevé et analysé à différentes reprises, par un chromatographe (radioactif mesure et vérifier les liens sur les courbe de mesures du JPL), pour identifier les gaz émis (H2, N2, CO2, O2, CH4) et après la pyrolyse. Cette expérience servait à tester les organismes à métabolisme de type hétérotrophes (qui vive de composé organique déjà présent dans le milieu). Des échantillons on également été stérilisé par chauffage, avant leur introduction dans la chambre d’incubation, il servait d’échantillon témoins.
Les résultats obtenus, semble démontrer un fort taux de dégagement d'oxygène, et des taux plus faibles de dégagement pour le CO2 et l'azote. La réaction s’arrête complètement après quelque temps, et ne dépend pas de la lumière. Même l’échantillon témoins stérilisé, présente ce même aspect de dégazage rapide. Un sol riche en oxyde et réagissant très fortement sous l'effet des UV, peut expliquer l'important de ce dégazage rapide jusqu’à saturation. Ici les propriétés réactives du sol aurait été trop intense tout simplement, pour laisser transparaître le moindre spectres d’activité biologique réelle (si celle-ci en plus était de très faible concentration) ! Le teste devient ici inapproprié comme pour la précédante expériance !
Labeled Release : Cette dernière expérience est un peut différente des deux précédentes. Le carbone radioactif est contenu dans la matière organique de la solution nutritive, qui est présenté à l’échantillon. Contrairement à l’expérience de Pyrolytic Release, qui combine radioactivité et CO de l’atmosphère, et de Gas Exchange qui combine solution nutritive sans utiliser de matière radioactive. Dans cette expérience, un échantillon de sol martien est humidifié par un bouillon nutritif dans la chambre de culture, dont les atomes de carbone sont rendus radioactifs. Un détecteur (spectromètre de masse) cherche ensuite à identifier la teneur de CO2 radioactif après la pyrolyse. Les durées d’incubation sont très varier, allant de quelques jours à quelque mois.
Résultat (extrait du site de référence): On note d'abord un fort dégagement de CO2 radioactif, puis celui ci diminue par la suite. On observe aussi, comme dans l'expérience GEX, une fixation partielle des gaz par l'échantillon. Mais le plus important, c'est que le dégagement n'est pas observable avec les témoins (les échantillons de sol stérilisés), qui sont donc négatifs. Il est très réduit également avec des échantillons chauffés à 45°-50°c et n'apparaît pas avec ceux conservés pendant plusieurs mois dans les cales des atterrisseurs ! Clairement, c'est un résultat positif pour les biologistes partisans d'une vie martienne.
Conclusion : Appareil de mesure trop imprécis et mal adapter à la situation chimique du sol martien (présentant des niveau d’oxydation très élevé), pour seulement pensée a donner du crédit a ces trois expériances des Vikings. Il va falloir de tout évidence, aller fouiller plus loins et beaucoup plus en profondeurs ! Mais la présence d’extrémophile en surface, n’est pas a exclure à la lumière des expériances des Vikinks (surtout pour la troisième), au contraire elles ne permetes d’absolument de rien conclure, sauf celui de dire que le sol de mars est très réactif a cause de sa forte teneur en oxyde de toute sorte (sol très oxydant !). Ce n'est pas la chimie des organismes vivants que ces expériance ont tester (les 2 première expériances), mais bien celle de la chimie minérales du sol martiens !!!!!!!!! Alors nuance !
Remarque venant du site plus haut : Le spectromètre de masse des atterrisseurs Viking tenait dans un cube de 30 centimètres de côtés. Il faut savoir que les spectromètres de masse des grands laboratoire, occupent en général une pièce entière. On a donc une petite idée de la prouesse technique réalisée par les ingénieurs sur le spectromètre de masse des Viking. D'un autre côté, chaque médaille ayant son revers, l'appareil des sondes Viking n'a rien à voir en terme de précision et de sensibilité avec les spectromètres de masse de laboratoire.
Comment la pression de la chambre de culture, a t-elle été balancer pour reproduire la pression martienne ?
Je rejoint donc parfaitement la conclusion de cette auteur :
Les expériences des Vikings sur les composés organiques contenu dans le sol Martien, n’ont pas été très concluante et son encore très controversé et très fortement discutable sur leurs validité réelle en ce qui concernes la recherche de molécules organique. La forte teneurs en oxyde de Fer (Fe2O3) et la présence d’oxydant très corrosif, pourrait expliquer en partie, certaines de ces réactions oxydantes qui ont été observées (qui détruit les molécules organiques). Cependant plusieurs réserves ont été bien formulées, concernant la qualité réelle sur les limites d’interprétations des données fournis par les spectromètres de masse des Vikings. ( http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/sciences/espace/20070109.OBS6209/quelle_vie_fautil_chercher_sur_mars.html )
Voici d'autre article a ce sujet :
De la vie cachée sur Mars?
L'élément corrosif du sol martien enfin identifié ?
La vie martienne aurait pu échapper aux sondes Viking.
De la vie sur Mars ? C'est toujours possible ! (extrémophile halophile et méthanogène)
Gilles _________________ Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
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glevesque Chroniqueur
Inscrit le: 13 Jan 2007 Messages: 2242 Localisation: Longueuil, Québec
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glevesque Chroniqueur
Inscrit le: 13 Jan 2007 Messages: 2242 Localisation: Longueuil, Québec
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Posté le: Jeu 10 Avr 2008 12:41 am Sujet du message: |
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Salut
Je cherche une traduction francaise de l'article référencier dans le dernier liens du poste précédant !
Pour Mars, il y a aussi les barophile qui vive dans les grandes profondeurs dans le sous sol de la la terre !
Merci !
Gilles _________________ Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
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glevesque Chroniqueur
Inscrit le: 13 Jan 2007 Messages: 2242 Localisation: Longueuil, Québec
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georges Chroniqueur
Inscrit le: 24 Déc 2007 Messages: 410 Localisation: mtl
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Posté le: Mar 22 Avr 2008 11:53 am Sujet du message: |
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Allo
Merçi pour ton lien gilles levesques
je vais voir ça sur le champ..... _________________ tous pour un et un pour tous |
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