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Démystification de la MQ
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glevesque
Chroniqueur


Inscrit le: 13 Jan 2007
Messages: 2242
Localisation: Longueuil, Québec

 Message Posté le: Dim 15 Juin 2008 5:47 pm    Sujet du message: Démystification de la MQ
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Salut

Je crois avoir enfin trouver une manière de bien représenter les limites conceptuelles de la MQ, et par le fait même de ce quel encardre réellement comme modèle d'effectivité déductive (objectivité en science mathématique) et non comme véritable objectivité des choses de la nature ou leurs en soi propre !

Entre et dans tout modèle, il y a l'interface qui relit les objets de pure science (mesures expérimentale) relié a sa méthode (véritable essence de la science sur le plan épistémologique) et les encapsulations déductives (subjectivation et encapsulation des données fournis par la méthode scientifique vers leurs interprétation conceptuelles ou théorisation). Il y a donc objectivité réelle de la nature auquel nous avons accès que par les objets de la méthode scientifique (méthode/protocole expérimentale) et l'objectivation réelle des choses dans leurs en soi (la véritable nature des choses et de l'Univers en quelque sortes). Le tout est réunit via l'interace qui relit réalité et objet de science théorisée, d'ou va découler des tentatives d'explications rationnelle, via des conceptes théoriques qui cherche a rende cohérent l'ensemble des données fournis par la méthode scientifique et la collectes des données !

L'homme interprète donc la nature via cette interface qui relit science méthodique (objectivation subjective par interprétation) et recherche de la compréhension des comment fonctionnes la nature (théorisation) ! Lois et phénomène reproductive favorisant l'encapsulation des intersubjectivité de l'être étant (celui qui cherche a comprendre la chose étudié !), via des prémisses de reproductabilité comportementale. (ensemble de lois) !

Mais la chose que nous mesurons, à aussi un étant propre comme objet de la nature (la véritable objectivité de la choses non interprété), et l'approche scientifique chercher donc l'objectivité déduite a partire des comportement et non de la chose en soi ! Objectivité déduite à travers cette interface des réelle des objets dans leurs étant propres et des réelle interprété (sour forme de compotement déduit a partire des relations entre les données fournis sur le plan expérimentale) !

Que nous dit la MQ sur ce sujet ?

Le modèle de l'électron de Bohr va nous aider a mieu comprendre la réelle nature du modèle quantique. A cette époque (1913) l'atome était illustré comme étant l'association d'électrons gravitant autoure du noyau, tout comme pour l'orbite de la terre autoure du Soleil ! Mais de quel nature était cette électron et ces orbites réellement, et pourquoi avait-il des orbite de type mécaniciel autoure des noyaux. Un élection face a la ponctualité irréductible ou face a des champs sur certaines étandut !

Mais cela est devenut faut en MQ, pour plusieur raison, dont celle qui sont associé à Heizenberg, Strodinger, De Broglie, de Diracte et bien d'autre. En fait en MQ on parle plutôt de nuage composé d'indices de probabilité, qui finalement ce représente sous forme de champs d'énergie potenciel ! Pourquoi faire un atome, un objets mathématique abstrait remplit de statistique et de probabilité, et bien pour satisfaire les données expérimentale sur la dualité onde-particule (ou plutôt quanton, car il s'agit d'une fause dualité si on lui intègre la supperposition d'état de Strodinger) de De Broglit (ou onde de matière), et le principe d'indétermination d'Heizenberg et les effets relatif de Dirac.

Bon, tout cela est beau, mais comment se représenter tout cela d'une manière plus intuitive ! Et bien voilà le dilème, car ici il s'agit d'un modèle purement mathématique et abstrait qui encardre le comportement quantique de la matière (comportement ondulatoire).

Les électrons sont des objets en soi, mais prédire leurs positions, vitesse et autre caractéristiques physiques autoure du noyau, avant-après et pendant une expériance, n'est plus une donnée relié aux dimensions purement déterminisme au sens de la bonne vieille cinématique de Newton ! Pourquoi ?

Parce que le modèle quantique (la physique microscopique actuelle) n'a pas acces a toutes les données qui entoure un événement complet lors d'une expériance (les états d'avant, pendant et d'après une mesure). L'expériance est en fait une ponction d'un événement contextuelle plus globale ou ce déroule une expérimentation (relié au monde et à l'environnement de l'expérimentateur en question) ! L'objet de mesure survient uniquement lors d'une interaction (la ponction sur le protocole expériemntale a un temps donné sur un phénomène événementiel plus globale, mais réduit à cette mesure ponctuelle au moment de la prise de mesure expérimentale ===> lors de la réduction du paquet d'onde (fonction d'onde de De Broglie et échange d'énergie cinétique)) !

L'électron, étant à partir du modèle imprédictible de manière déterminisme, à cause qu'il est interprété par un indice de champs (en présence, position, vitesse, énergie potenciel et autre) sur une certaines étendut de probabilité autoure du noyau ou tout vibre constament (oscialtion d'états), et bien ce champs détermine a lui seul (et donc de manière abstraite mathématiquement) la superposition des états quantique de Strodinger. Ce prostulat suppose a partire de lui-même que tout les états quantique sont superposé a partire du champs quantique, qui encapsule tout les indices de probabilité sur une certaine étandut. Cela découle de la non possibilité de pouvoir déterminé (dans le monde réelle) et sans influencer le déroulement de l'expériance, les états antérieurs du système (l'état réelle avant la mesure) et aussi ses états après la mesure !

Pourquoi ?

Et bien, tout simplement a cause de la conceptualisation du modèle en lui-même (mathématique et abstraction). Le champs quantique est par définition en osciation constante (imprédictible de manière déterministe), et l'électron peut-être en tout lieu dans celui-ci, mais ici ce "peut-être" est tout simplement interpréter comme le comportement d'une onde (onde de matière de De Broglie) et deviens une ensemble d'états probabilistique et statistique superposé à la Strodinger (le Chat est mort et vivant à la fois !). Ce champs électronique qui englobe l'atome sur une certaine étendut (pour cette électron spécifique que nous voulons mesurer), et bien il a un étant ou un en soi propre, cela est sa véritable objectivité dans la nature, mais nous n'avons pas acces a cette dernière directement, alors nous supposon par une objectivation indirecte (subjectivation objective des modèles de représentation interprétative et déductive) et donc abstraite (via l'interface de la représentation mathématique par des modèle conceptuelles découlant de l'esprit humain et non de la nature en elle-même) a partir du modèle quantique dans un tout globalisant d'état statistique pour satisfaire notre conceptualisation d'onde (comportement !).

Dès qu'il y aura une interaction (l'objet ou l'événement qui sera l'objet de mesure), et bien tout ce champs d'osciation quantique (en superposition d'état) subira une excitation a un certain endroit de ce champs étandut (disont par un photon !), cela provoquera la réduction du paquet (sur l'ensemble des indices de probabilité statistiques) d'onde (l'interaction en question) et le transfère d'énergie cinétique (non pas sur le champs au complet, mais bien a un endroit de ce dernier). À ce moment l'interaction ce matérialise, et dévoile le comportement corpusculaire (la partie matériel de la matière ====> concept du dureté, de consitance et etc...) et on peut alors soit prendre la mesure sur la position ou sur la vitesse ! Le champs (l'interprétation de champs d'énergie oscillant sur un certain étandut) détermine aussi à lui seul le principe d'indétermination d'Heisenberg, à partir du prostulat de De Broglit sur l'onde de matière. Car ici dès que l'on prend la mesure (invariance de C) et bien le système va également changé d'états, ou le champs va osciller d'une manière différente, la vitesse va donner l'énergie cinétique et la position va donné le système de coordonné, mais pas les deux en même temps (protocole expérimentale), car le système est en constante modification (sous influence ou non de la mesure)

C'est donc (la MQ) une mécanique de champs qui représente et symbolise notre méconnaissence des choses plus fondamentale (de la nature en propre et des choses qui la constitut dans leur en soi ===> objet de réalité et non de modèlisation), et la conceptualisation des probabilité sur le champs d'énergie quantifié, illustre de manière abstraite cette incertitude déterminisme sur les avant, pendant et après une mesure sur les états auxquels était le système avant et après la mesure. Les indices de probabilité statistique (leur encapsulation a travers la superposition de Strodinger) démontre et illustre en fait cela et rien de plus !

Le modèle et la théorisation de la MQ, est donc un modèle d'abstraction sur les comportements d'onde (et de particule lors d'interaction et du transfère des composantes d'énergie cinétique) a saveur prédictible sur certains niveau de connaissance actuelle et rien de plus. La MQ n'est pas une théorie sur les essence des choses (leur en soi propre), et traduit donc une objectivité conceptuelle et non réelle face a la nature elle-même, mais plutôt face a notre manière de l'aborder et de la conceptualiser via des modèles théorique et mathématique !

La MQ est donc imcomplète et ne réflete nullement la réalité en propre, la MQ n'est qu'un modèle théorique parmis bien d'autres, plus juste il est vrai, mais la MQ n'est pas une essence en propre, mais qu'un simple modèle de représentation déductive des comportement que nous cherchons a traduire par lois, et cela est un simple schémas de l'entendement humain pour mieux comprendre le monde !

Et ici le hasard de la MQ, découle de l'abstraction tout simple de la superposition de Strodinger ! Alors si il y a un étant, il ne peut y avoir de hasard

Gilles
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