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André administrateur
Inscrit le: 07 Jan 2007 Messages: 11030 Localisation: Montreal 45.500°N, 73.580°W
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Posté le: Mer 23 Avr 2008 11:42 pm Sujet du message: météorites au fond des mers |
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Salut a tous
Pour la première fois, des chercheurs proposent une technique permettant d'estimer la taille de certaines météorites qui se sont écrasées sur Terre.
''Outre le fait qu'elle pourrait conduire à la découverte d'autres impacts, cette avancée permettrait de mieux étudier les relations entre les impacts météoritiques et les extinctions d'espèces.
Assistez aux conséquences de l'entrée d'un bolide dans l'atmosphère terrestre
Il fallait que l'idée vienne d'une île perdue dans l'océan... Des chercheurs basés à Honolulu (Hawaï), aidés de confrères américains de l'université de Woods Hole (Massachusetts),
affirment qu'en analysant des sédiments prélevés dans les fonds océaniques, il serait possible de déterminer la taille de certaines des météorites qui se sont écrasées sur Terre (Science, 11 avril 2008).
Une première, s'enorgueillit François Paquay, un Belge échoué en Polynésie et co-auteur du travail.
Jusqu'à présent en effet, pour tenter d'estimer la taille d'une météorite, les scientifiques ne disposaient que de deux options.
La première consistait à étudier les cratères d'impact.
Une approche plus ardue qu'il n'y paraît. Le diamètre du cratère dépend en effet aussi bien de la taille de la météorite que de sa vitesse au moment de l'impact.
De plus, cette technique n'est applicable que si le cratère est visible… un petit miracle en soi quand on sait que 70% du globe est couvert par des océans et que la surface terrestre est remodelée en permanence par l'érosion, la végétation ou le mouvement des plaques tectoniques.
D'où la seconde option, basée sur l'étude de l'iridium, un métal lourd qui s'est concentré au coeur de la Terre lors de la formation du globe.
De fait, on ne le trouve en surface que s'il a été acheminé par les météorites. Problème :
pour un même impact, les concentrations d'iridium varient fortement d'un point à un autre. En conséquence, les chercheurs sont contraints d'utiliser des valeurs moyennes d'iridium.
Une approximation qui ne leur donne qu'une idée très vague de la taille initiale de la météorite.
Traque dans l'océan
« Outre l'iridium, certaines météorites se distinguent par leur teneur en osmium », explique François Paquay.
C'est le cas des chondrites, météorites pierreuses qui représentent 80% des corps percutant la Terre. Dans ces projectiles, le rapport entre les concentrations d'osmium 187 et d'osmium 188* est particulièrement faible, « bien plus faible que celui de l'eau de mer… indique le chercheur belge.
Aussi, quand un bolide de nature chondritique frappe la Terre et se vaporise, une partie, au moins, de l'osmium qu'il contient se diffuse dans les océans, provoquant une diminution du rapport
La suite ;
http://www.cite-sciences.fr/francais/ala_cite/science_actualites/sitesactu/question_actu.php?langue=fr&id_article=9563
http://www.clickoblog.com/aa69c11ec23c33f33c4995067ded02918
amicalement _________________ Etrange époque où il est plus facile de désintégrer l' atome que de vaincre un préjugé.
Einstein, Albert, |
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Adrien Chroniqueur
Inscrit le: 18 Déc 2007 Messages: 388 Localisation: laval
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Posté le: Jeu 24 Avr 2008 3:03 pm Sujet du message: |
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Bonjour
Le genre de news qui laisse un froid dans dos |
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