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Les Attributs de la Conscience
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glevesque
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Inscrit le: 13 Jan 2007
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 Message Posté le: Ven 26 Jan 2007 1:48 am    Sujet du message: Les Attributs de la Conscience
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Salut à toutes et à tous

LES ATTRIBUTS DE LA CONSCIENCE

Citation:
Qu'elles sont-elles ses attributs spirituel de la conscience et qu'elle rapport avec l'esprit incarné dans un corps de matière et qui a sur lui une si grande influence.

Une des principales raisons concerne l’échec de l’espèce humaine, envers son incapacité à effectuer une distribution plus juste et plus équitable des richesses et des ressources naturelles de la terre. Et envers également son manque de prévoyance sur la véritable destinée de l’humanité, par rapport à la nature et aux lois Universelles. Sont essentiellement attribués aux différents niveaux de la conscience morale et spirituelle qui est atteint par les individus, et de leur différents impactes socioculturelle qui peuvent en résulter sur le plan de la conscience collective, et pouvant se manifester sur le monde qui nous entour. Elles sont d’ailleurs étroitement reliées à l’expression de certains types de comportements qui sont reliés à la dominance, faisant face à certains type de pouvoir qui nous sont attribués, et dont nous avons bien du mal quelque fois à gérer les différents excès et abus sur le plan individuel, émotionnel et spirituel. La raison humaine n’étant tout simplement pas assez éclairée sur le plan de la morale et de la spiritualité, pour comprendre ses véritables intérêts sur le plan du développement collectif et spirituel. L'esprit incarné dans un corps physique possède s’est propre attribut évolutif sur le plan spirituel, mais selon ceux-ci il va subire également une très forte influence du monde matériel qui le constitue. Et cette influence lui sera transmise par l'intermédiaire de son cerveau via son périsprit. Cela est notre sujet dont nous allons maintenant explorer et discuter ici, dans ce chapitre.

Ce constat d’échec sur le plan moral et spirituel, fait référence à la nature même de notre propre espèce, et ceci envers nos attributs, nos aptitudes et nos différents niveaux de connaissance acquissent en sagesse et en compréhension sur le plan individuel et collectif. Ces valeurs culturelles ont été exprimées et transmises à travers toutes les époques de l’histoire et de l’évolution humaine. Évolution qui c’est effectué d’une manière quasi linéaire et qui avec le temps nous a permit de conquérir et d’exploiter toutes les ressources et les richesses de notre planète. Nous confrontant actuellement à toutes les situations auxquels nous nous retrouvons et qui sont d’une importance capitale et sans précèdent à travers toute l’histoire humaine, menaçant même la survie de notre propre espèce, dont l’homme est actuellement le seul responsable.

La résultante de nos valeurs intellectuelles, morales et spirituelles acquises et transmises tout au long de notre évolution. Démontre en fait, nos différents niveaux de conscience et de compréhension acquise envers la nature et envers nos semblables (sur le plan collectif et historique). Le manque de sagesse envers le partage des richesses et le manque de responsabilisation sociale envers sont prochains. Sont en réalité des comportements reliés au pouvoir, dont l’abus est totalement contraire à l’esprit d’altruiste et de partage sur le plan de l’équilibre et de l’harmonie Universelle. Elles font plutôt ressortires des comportements reliés à la compétition, ne servant qu’à entretenir des formes de préjugés de toutes sortes entre les individus. Ce qui démontre une volonté de vouloir normaliser et étiqueter tous les aspects de la société moderne, afin d’encadrer et de catégoriser l’accès aux différents prestiges et privilège, qui sont offerts seulement par l’élite en place et qui est d’ailleurs renfermé sur elle-même. Et ceci pour mieux se cacher aux yeux des non initiés, de peur de montrer leur indifférence, leur hypocrisie et leur mépris envers les différentes conditions humaines de pauvreté et de misère. Dont le but réel est de maintenir l’illusion fausse de leur supériorité humaine, envers le rôle de soumission et de mensonge qui est alors imposée aux restes de la population. Dictant même au passage leur conduite et cela pour mieux profité sournoisement du vol de la richesse collective de toute l’humanité.

La vraie liberté humaniste et spirituelle, ne pose pas de t’elle balise et de t’elles conditions envers l’humanité, elle se contente tout simplement de suivre la nature dans l’amour, le partage et la fraternité. Et ceci dans un respect mutuel de leur propre existence et liberté respective. Dont les richesses son tout simplement partagée à part égale, afin de permettre à tout le temps et le privilège de pouvoir exprimer enfin un sourire à la vie. Pour l’évolution de l’ensemble de nos sociétés actuelle, il s’agit en fait des différentes orientations qui ont été choisis et sélectionnés par les représentants de la classe dominante et dirigeante de l’espèce humaine, et ceci à travers toutes les époques de notre histoire, afin d’orienter et d’influencer notre développement intellectuel, moral, spirituel et sociale face à l’évolution. Voilà en quelque sorte, la résultante morale et spirituelle qui est porté sur l’évolution de la raison et de la conscience humaine, et retracée à travers l’expression de certains types de comportements qui sont reliés à la dominance à travers toutes les époques de notre évolution. La véritable destinée humaine reste toujours très obscur pour le moment, mais elle concerne véritablement la survie de notre propre espèce et donc de l’évolution de la conscience humaine, sur le plan intellectuel et spirituel.
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glevesque
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 Message Posté le: Ven 26 Jan 2007 1:49 am    Sujet du message:
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Aspect de la Conscience Relié à la Dominance :

Nous faisons ici, allusion à certains type de comportements reliés à la dominance et associés à certains types de désirs passionnels et émotionnels, comme la convoitise et l’abus de pouvoir. Qui sont en fait, des sentiments reliés très étroitement à l’amour propre et à l’orgueil des individus et de leur aspect égoïsme, qui est parfois exprimés à des niveaux différents selon le degré de compréhension atteint par leur conscience spirituelle et morale. Ses différents sentiments sont également associés à une perception et à une vision plus égocentrique du monde qui nous entour, ne visant la plupart du temps que des intérêts d’ordre strictement personnel, et qui ne tiennent nullement comptes des véritables intérêts collectifs sur le plan de la coopération, du respect et de la destiné humaine. Ils font parties en réalités des différents états d’âmes et de conscience qui son permis les plus primitives sur le plan de la raison. Se rapprochant d’avantage aux pulsions et aux instincts animaux, qui sont alors axés sur les différents comportements de dominance, pour ainsi s’approprier le moindre petit objet de ses désirs obsessionnels, sans ce préoccuper d’avantage des conséquences pouvant résulter de leur propre acte. Ce sont des sentiments moins éclairés sur le plan de la connaissance et de la compréhension humaine, basées sur la spiritualité, la morale et les principes d'harmonie et d'équilibre. Mais vise plutôt des sentiments de supériorité par l’entremise de préjugés de toutes sortes, ne servant qu’à classer et catégoriser les individus. C’est une forme d’orgueil qui est mal contrôler et maîtrisé, se rapproche d’avantage plus à un sentiment émotionnel instinctif. Caractérisant ainsi les différents attributs de la conscience humaine, qui évolue vers la sagesse, la spiritualité, la cohabitation et le respect de la liberté de tous et chacun.

Ces différents types de comportements qui sont reliés à la dominance, sont en fait, reliés très étroitement à certains traits bien caractéristiques de la matière vivant et envers l’évolution et la survie des individus. Dont le but ultime est de permettre la préservation et la survie des espèces à travers le temps. Ce sont des comportements qui ont été imaginés par la nature, dont les lois qui régularisent et contrôle l’évolution de celle-ci, ont tout simplement permis sur le plan génétique, moléculaire et cellulaire, de faire l’acquisition de certains types de comportement réactionnel de plus en plus complexes et étroitement reliés aux différents processus d’adaptations naturels. Les premiers traits comportementaux de la matière vivante reliée à la dominance, viennent donc de la nature elle-même et faisant face à elle-même, elles sont dirigées et contrôlées par différents processus d’équilibres et d’harmonie environnementale. Ces différentes possibilités organisationnelles et structurelles de la matière organique, envers les différents processus d’équilibre et d’harmonie environnementale, ont ainsi permis aux différents organismes vivant de s’adapter aux différents changements environnementaux et de franchir les différentes barrières du temps. Permettant ainsi leur évolution sur terre et éventuellement sur d’autres planètes également, découlant tout simplement des mêmes principes évolutifs de la nature et de l’Univers dans son ensemble.

Cette forme d’évolution de la matière organique, et plus particulièrement envers l’évolution du cerveau humain. Allait inévitablement aboutir un jour ou l’autre vers la conscience, puisque cela c’est déjà produit sur terre envers l’évolution de notre propre espèce. Ainsi un nouvel aspect de la nature situé à un autre plan d’existence, fera son apparition et favorisera ainsi une adaptation beaucoup plus efficace, améliorant du même coût les différentes conditions de vie. La conscience obéit cependant aux même lois d’évolutions de la nature, qu’elles doivent tout simplement réapprendre par l’observation et l’expérimentation, afin d’augmenter son niveau de connaissance et de compréhension pour interagir de manière plus efficace avec elle (la nature). Ainsi les différentes lois de la nature, finiront un jour par êtres conceptualisés par la conscience de l’homme et à travers son esprit, sous forme de modélisation à base de valeur spirituelle et morale. Elles seront comprises dans leurs véritable sans, au fur et à mesure de l’évolution et du développement de l’espèce humain. Ici il s’agit bien sur des différents concepts qui sont reliés à l’équilibre et à l’harmonie de la dynamique Universelle, et face à la destiné humaine.

Les différents concepts créés par la conscience humaine, envers les différentes interprétations portées sur l’observation et la manifestation des différents phénomènes de la nature. Sont dans un premier temps exprimer et interpréter dans un cadre religieux et mystique (voir le chapitre sur ‘De l’Australopithèque à l’Homme’). La limitation des connaissances portées sur les véritables causes des phénomènes naturelles, en sont étroitement responsables. La conscience de l’homme voulant tout simplement refléter sur la nature, ses propres impressions ressentis en lui-même, et qui ont été imaginés et ressentis au court de son évolution sur terre, et celle-ci découlant directement de la conscience de lui-même par rapport à sa propre individualité. Il a tout simplement extrapolé à l’extérieur de lui-même, une forme de représentation du monde dans lequel il se trouve, pour ainsi s’en faire une image communicante le plus fidèle possible et pour avoir également l’impression de pouvoir dialoguer et interagir avec la nature de manière consciente. L’homme a compris très tôt et depuis bien longtemps déjà, que la nature lui était grandement supérieure, et cela à tous les égards, le poussant à s’interroger d’avantage sur lui-même. L’homme a également compris très tôt, que la seule manière d’interagir et de dialoguer véritablement avec la nature, étaient d’entretenir des relations très étroites avec ses différentes lois d’harmonies et d’équilibre dynamique. Qui ont alors étés symbolisés et interprétés au niveau de la conscience humaine, par une certaine forme d’échos portée sur l’évolution des différents concepts spirituels qui sont alors relié aux différentes valeurs morales (dont origine religion, culte et mysticisme). Forme de représentation qui voulait tout simplement imiter et reproduire, les différents comportements de la nature observés.

Avec le temps et le développement des technologies, la compréhension de l’homme sur les différents mécanismes fondamentaux des phénomènes de la nature. Va petit à petit enlever le voile du mystère sur certains phénomènes naturels et de permettre enfin à l’homme, d’inventer de nouveaux outils et de nouveau concepts pour l’aider à analyser et à comprendre mieux le monde qui l’entour. La science va désormais devenir notre maître absolu, envers le dialogue que nous entretenons continuellement avec la nature et notre relation avec l’Univers va prendre désormais une nouvelle orientation de plus en plus critique et spirituelle. Dans ses conditions, nous pouvons dire que la science n’est pas autre chose qu’un simple aspect évolutif de la raison et de la conscience humaine, envers les religions et le mysticisme, elle les complète tout simplement de manière plus intelligible. La science cherche toujours à comprendre et à expliquer d’avantage le comment des choses qui nous entour, et elle fait toujours face à notre grande quête de la vérité absolue qui est axée sur le pourquoi des choses. Elle est assistée dans tout cela par notre raison rationnelle et irrationnelle, de notre entendement qui fait partie du monde sensible et perceptible. La science est cependant toujours confrontée au même dilemme que les religions de jadis, et n’apporte pas réellement de véritable réponse aux plus grands mystères de la nature, elle nous éclaire seulement sur notre ignorance. Ainsi la véritable nature de la matière-énergie et de son évolution vers des structures matérielles constructale de plus en plus complexe, aboutissant finalement à la conscience par l’entremise de l’évolution d’organisme vivant, t’elle que l’homme. Sont pour l’instant toujours laissé sans réponse et l’essence même de notre existence est un véritable mystère.

La science est l’outil de la compréhension et de la raison de la conscience humaine, elle ne peut remplacer les valeurs d’ordres plus spirituelles et morales d’une société. Ses valeurs fonts partis intégrantes des attributs et des aspects de la conscience humaine et de l’intelligibilité de l’esprit, et elles sont indispensables et indissociables à la cohésion et à une bonne cohabitation sociale entre les différents peuples et les individus. La science ne remplace pas la foi, mais est un outil pour la renforcée et de la rendre moins aveugle, elle ne détruit pas également le mystère d’un être Divin, mais semble plutôt le confirmer par certains détour. Le mystère de la foi est d’ailleurs axé sur l’espoir et l’espérance d’un avenir meilleur pouvant améliorer les différentes conditions humaines et de soulager du même coût sa propre conscience face à l’injustice, qu’elle soit basée sur des valeurs religieuses ou non. La foi découle d’une certaine forme de croyance et n’est pas juste représenter par des valeurs d’ordres religieux, mais est également une valeur qui est étroitement liée à notre propre existence sur le plan de l’entendement de la conscience et de son aspect un peut plus spirituel. Car en fait, nous avons tout fois en nous même dans un premier temps, ce qui est la première forme d’une croyance et la science est l’outil idéal pour entrer en relation et en harmonie directe avec la nature et envers la compréhension de ses différents états d’équilibres. La science doit être appuyée et suivit par des valeurs spirituelles et humaines, et cela dans le seul but de ne pas mettre l’humanité tout entière en péril.

Par contre les véritables sans des lois évolutives de la nature, envers la conscientisation spirituelle des différents principes Universels d’équilibre et d’harmonie, ne seront véritablement comprises et admises par la majorité de la population, que dans différentes situations et épreuves pouvant nous impliquer tous, ou de manière individuelle selon les esprits et leur évolution. L’espèce humaine est présentement confrontée à cette étape de l’évolution spirituelle de la conscience humaine. Il s’agit de la mondialisation des marchés, qui nous conduira inévitablement vers une nouvelle forme de gouvernement mondiale, et des différentes règles qui lui seront appliquées dans l’avenir. Ces différents processus de la mondialisation des marchés, sont loin d’êtres terminés, car en fait, son objectif principal est de soumettre l’humanité tout entière, face à elle-même et envers sa destiné. C’est une étape inévitable à travers l’évolution de la vie consciente et de son développement sur notre planète, aux dimensions et aux ressources de plus en plus limitées dans le temps. C’est la plus grande épreuve qui est offert à la nature humaine, afin de nous confrontés tous au plus grand défit collectif de toute l‘humanité, et de faire face ainsi à nos véritables valeurs spirituelles et morales acquises aux courts de notre évolution et par rapport à notre véritable nature, qui est faut-il le rappeler, d’origine animale sur le plan physique de la question.

Aucune intervention en provenance de l’extérieur de notre espèce (sauf les différentes formes d’interventions du monde spirituel et des esprits), ne pourra interférer avec la suite des événements, auxquels nous sommes tout désormais confrontés. C’est un test que l’humanité doit relever d’elle-même, démontrant ainsi sa véritable volonté de survivre et de vivre en harmonie et en équilibre envers la nature et envers ses propres semblables. Sauf cependant si la situation dégénère dans une forme apocalyptique et menace la planète tout entière. Mais cela fait partie d’une autre histoire, faisant d’ailleurs référence à toutes les mythologies religieuses créer par l’homme. Cet intérêt porté sur les valeurs historiques des religions, par rapport à leurs véritables fondements moraux et spirituels, a plutôt favorisé toutes sortes d’injustices sociales et d’iniquités par l’entremise des préjugés et des différences entre les individus et les peuples (caste), et ceci face aux différents abus effectués par le pouvoir religieux et politique, dont la preuve nous est acquit à travers toutes les différentes époques de notre histoire et de notre évolution. L’humanité sera t’elle assez sage pour passer à travers cette situation et ce défit planétaire, et ainsi franchire une nouvelle étape de son évolution et de son développement sur le plan de la conscience, de la sagesse et de la spiritualité. Cette étape est représentée par la cinquième phase de l’évolution humaine, et qui correspond à celle de la sagesse, de l’harmonie et de la paix sur terre, et qui a d’ailleurs été imaginé et idéalisé dans toutes les religions et à travers toutes les époques de notre histoire, par le paradis perdu.

Car en fait, le véritable défit de la conscience humaine est d’admettre tout simplement ses véritables tords sur le plan de l’orgueil et de la conscience. Et ceci envers la compréhension de certaines choses de la nature qui nous dépassent et qui pour certaine d’entre elle, ce trouve tout simplement en dehors de notre porter conceptuelle. Et dont l’homme manifeste toujours la fâcheuse habitude de se mettre à son égale, pour mieux la contrôler et la soumettre à ses moindres petits caprices. Pour essayer ainsi de la manipuler pour son seul avantage sans tenir compte véritablement de ce qui l’entour et envers également ses propres responsabilités envers la nature, ses propres semblables et envers également sa véritable destinée. Il s’agit tout simplement de dominer nos instincts les plus primitifs, envers l’orgueil et certains types de comportements reliés à la dominance, qui lui sont associés très étroitement et directement soumise à son emprise et influence. Contrôle pouvant être effectué par la raison humaine, qui est d’ailleurs le seul véritable attribut que possède notre conscience, pour essayer de contrôler et de diriger notre véritable destinée collective sur le plan de la sagesse et de la morale et de sortir l’humanité une fois pour toute, de son indifférence instinctive la plus totale, envers la condition humaine sur le plan internationale auquel on fait face de nos jours.
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glevesque
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 Message Posté le: Ven 26 Jan 2007 1:52 am    Sujet du message:
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Évolution du Cerveau et Comportements Reliés à la Dominance :

Dans la suite de ce chapitre, nous ferrons références aux différents types de comportements reliés à la dominance, pour illustrer certains aspects spirituels de la nature humaine, envers la morale et la sagesse qui a été exprimé à travers toutes les différentes époques de notre évolution. Nous allons également démontrer que cet aspect spirituel de la nature humaine est intermédiaire à l’évolution de notre espèce, et qui par le fait même est appeler à évoluer d’avantage sur le plan de la conscience, au même rythme d’ailleurs que notre niveau de compréhension envers la nature. L’évolution de la conscience représente en quelque sorte, notre véritable but et notre véritable raison d’être sur le plan de l’existence spirituelle et matérielle. Regardons maintenant dans les quelques lignes qui vont suives, un petit résumer de l’évolution du système nerveux, basé sur le développement et l’acquisition de ses différents types de comportements reliés à la dominance. Dont les prémices comportementales et évolutives, ont été établis progressivement par les différents réflexes biologiques et physiologiques qui ont été conditionnés de manière automatique par les organismes vivants les plus simples et les plus primitifs de la terre, comme les bactéries, les éponges, les méduses, les vers, et les plantes etc... Tous ses différents mécanismes d’adaptations génétiques et biologiques, ont été élaborés en étroites relations par rapport aux différentes lois d’harmonie et d’équilibre environnemental de la nature. Les lois de la nature qui dirigent et orientent les différentes réactions chimiques et biochimiques de la matière, sont en fait les principales responsables et la cause première, de tous ces différents mécanismes comportementaux exprimés par les organismes vivants.

Ces différents types de réflexes biologiques, sont tout simplement le résultat de certaines réactions moléculaires et biochimiques, qui ont été acquis lors de l’évolution des différentes molécules organiques sur terre. (ADN, ARN, protéines, enzymes, etc…) Leurs différents niveaux d’organisations et de fonctionnalités ont tout simplement été orientées et structurées par l’évolution et l’adaptation des organismes vivants unicellulaires, de type bactérien et ceci par rapport à leur environnement. Les premiers types de comportement cellulaires des bactéries, ont donc été axés sur la survie des individus et de l’espèce, et le tout étaient coordonnés par toutes sortes de signaux chimiques intérieurs et extérieurs. Par la suite les organismes vivants unicellulaires, ce sont regroupés en différant colonies de bactéries. Les bactéries pouvaient ainsi entrer en relation et en communication, par certains signaux chimiques libérés dans leur environnement immédiat et pouvant provoquer des réactions biochimiques de toutes sortes. Cet aspect de l’évolution organique et moléculaire dirigée vers la communication extracellulaire, est à l’origine de l’évolution des différentes cellules sensorielles, qui ce son développer par différents processus d’adaptation génétique et environnementale et qui par la suite se sont tout simplement spécialisés à l’intérieur des organismes pluricellulaire de plus en plus complexe. Certaines protéines et molécules organiques situer à la surface de la membrane cellulaire, sont tout particulièrement spécialiser pour la réception et le traitement de ces différents signaux chimiques. Il s’agit en fait, d’une forme de processus biologique et biochimique effectués de manière totalement inconsciente, que possède tous les organismes vivants, envers une certaine forme de perception sensorielle et interactive avec leur environnement immédiat. L’origine et l’évolution de la vie, sont abordés plus en détailles dans le chapitre précédent.

Les organismes vivant les plus simples de la nature, comme les bactéries et les algues microscopiques. Interagissent donc avec leur milieu, selon une forme d’affinité chimique et biochimique qui découle également des lois spirituelles que représentent les quatre interactions fondamentales de la nature. Puisant ainsi directement dans leur environnement immédiat, les différents éléments nutritifs essentiel à leur survie et adoptant également à l’occasion, certains comportements reliés à leur reproduction, pour la préservation de leur espèce. Ces différents comportements bactériens reliés à la survie, sont donc rendus possibles et réalisés grâces à différents processus biochimiques, qui regroupent en fait toutes les différentes réactions chimiques de la matière vivante. Elles impliquent des phénomènes et des réactions d’oxydoréductions de la matière, effectués par l’échange d’électron ou par l’échange d’atomes d’hydrogènes. Le but de ces différents processus chimiques de la matière organique, est de favoriser l’échange de certains groupements d’atomes, servant entre autre à l’édification et la régénération cellulaire et pour également l’édification des différents mécanismes réactionnels utilisés par les molécules de la vie, les enzymes entre autre. Ce sont des phénomènes physico-chimiques de la nature, qui sont à la recherche constantes de différents processus d’équilibre dynamique, qui caractérise si bien le mouvement et l’évolution du merveilleux monde du vivant.

Ses différents processus biochimiques, sont donc établis selon une certaine forme de complémentarité et d’affinité électrochimique, entre certaines protéines, enzyme et autres molécules organiques, qui sont elle-même en étroites relations et contrôlés par la structure génétique interne des cellules bactériennes. La sélection naturelle, allait donc favoriser la survie et l’évolution des organismes vivants, présentant alors les meilleures capacités d’interactions et d’adaptations comportementales face à leur environnement, et pouvant êtres également transmis de génération en génération. Ainsi, si la girafe possède actuellement un long cou, ce n’est pas parce qu’elle se nourrie à la cime des arbres. Mais belle et bien par ce que la nature en a voulut ainsi sur le plan génétique, et la girafe s’est tout simplement adapter à ses nouvelles conditions de vie physiologique, en se nourrissent justement à la cime des arbres. (Concept du néodarwinisme).

L’évolution a donc favorisé sur le plan génétique et physiologique, l’expression de certain caractère bien spécifique des êtres vivants, qui allaient se développer par la suite à travers d’organisme pluricellulaire de plus en plus complexe. Cette forme de direction évolutive envers les organismes pluricellulaires et envers les prémices d’une certaine ébauche du système nerveux. Représentée au tout début de l’évolution par certaines cellules bactériennes possédant une forme de sur spécialisation sur le plan génétique, et étant axées sur les différentes formes de communications inter et extracellulaires. A permit aux organismes vivant pluricellulaires de maintenir une certaine forme de contrôle sur l’intégrité de leurs cellules, et ceci afin de coordonné l’ensemble de leurs activités physiologiques et biochimiques de leur organisme. L’équilibre ainsi maintenu par l’échange continuel d’information moléculaire, axées sur la surveillance et le maintient de leur fonctionnalité individuelle et collective, par toutes sortes de rétroaction réactionnelles sur le plan des réactions biochimique d’équilibre dynamique. A permit aux organismes vivant de surmonter les différents obstacles de leur survie et de contrôler ainsi d’une manière beaucoup plus efficace, leurs différents métabolismes en fonction des exigences et des modifications de leur environnement immédiat (capacité d'adaptation). L’évolution de la vie et du système nerveux n’a donc jamais été le fruit du hasard seul, elle faisait tout simplement partie d’un ensemble de lois de la nature et de possibilités adoptives beaucoup plus vastes et beaucoup plus complexe, et qui présentaient des fonctionnalités auto programmables, et le tout contenu tout simplement à l’intérieur de nos gènes. Ces derniers ont été élaborés initialement par toutes sortes de propriété physico-chimique, qui visait des formes de complémentarisation réactionnelles et structurelles, dans l’évolution de la matière organique.



Seulement environ 10% de tout l’ADN contenu à l’intérieur de nos cellules actuelle, soit environ de 30 000 à 100 000 gênes, ont une activité génétique qui est axées sur la production de protéines et d’enzymes. Ces gènes sont très souvent distribués de manière non continue sur la chaîne d’ADN, et les ARN pré-messager qui découle de leur transcription, dois subire différents processus d’épissage et de remodelage avant d’être transporté sous la forme d’ARN messager raccourcie et transformé en ARN de transfère, pour êtres finalement utilisés par les ribosomes dans leurs différentes activités de synthèse de protéine. Activité qui est essentielle pour le bon fonctionnement et à la survie de nos cellules, cette activité de transcription est associée aux gènes de type exons. Les introns représente plus de 90% de l’ADN non codant, qui n’est pas utilisé par nos cellules actuelles. Il s’agit peut être en réalité, des résidus de cette longue course évolutive, envers les différentes stratégies d’adaptation utilisée par les cellules face à leur environnement, et qui ont été tout simplement conservés par la nature à l’intérieur de nos cellules actuelles. Les introns pouvaient donc êtres réutilisés à l’occasion par les cellules, et ceci à différentes époques de leurs évolutions et selon les besoins. Les introns pouvaient ainsi servires en quelque sorte, de banque de donnée supplémentaire sur le plan génétique, et pouvaient éventuellement servir à augmenter les possibilités envers les différentes capacités d’adaptations cellulaires, qui étaient alors effectué de manière beaucoup plus efficaces et de manière beaucoup plus économique.

Ces différentes capacités d’adaptations génétiques, contenue à l’intérieur des gènes, pouvaient êtres sélectionnés à tout moment et selon les différentes pressions évolutives exercées sur les bactéries et envers l’équilibre environnemental du milieu dans lequel elle se retrouvait. Ceci était rendu possible grâces aux différentes propriétés organisationnelles et structurelles des gènes et de leur très grande souplesse envers les différents processus biochimiques d’adaptations environnementaux, qui sont analysée de plus près dans le chapitre consacré à l’origine de la vie. Cet aspect de l’évolution génétique sur le plan environnemental, allait évoluer par la suite, vers les véritables gènes homéotiques (homéobox) de développement et de segmentation des organismes vivants, pour ainsi donner naissance aux différents mécanismes de coordination et de différenciation cellulaire. Favorisant ainsi le développement, l’adaptation et l’évolution des premiers véritables organismes pluricellulaires beaucoup plus évolués et beaucoup plus diversifiés et complexes, que leurs ancêtres unicellulaires.

Les bactéries ont ainsi évolués en favorisant des contactes très étroits avec la nature et avec leur environnement immédiat, et ceci en fonction de certains états d’équilibre, d’harmonie et de complémentarité sur le plan des échanges fonctionnels et des réactions biochimiques et génétiques. Les différents comportements exprimés par les bactéries envers leur environnement, ce sont donc établis en fonction de leur survie individuelle et de la survie de leur espèce. Survie qui découle elle-même, de la recherche d’une certaine forme d’état d’équilibre chimique et biochimique toujours croissant, par rapport aux différentes possibilités et capacités d’adaptations face à l’environnement. La compétition naturelle établit entre les différents organismes vivants unicellulaires et entre les différentes espèces de bactérie de cette époque. S’effectuait donc d’elle-même et de manière totalement automatique, envers la sélection naturelle des espèces et envers également les différentes mutations et les différentes capacités portés sur la réorganisation génétique des bactéries. Les forçant ainsi à évoluer d’avantage par l’acquisition de nouvelle forme de capacité complémentaire et adaptative de plus en plus complexes envers leur environnement.

Ses différentes affinités physico-chimiques et biochimiques avec leur environnement et envers les autres organismes vivants de leur entourage. Ont permis aux bactéries de se nourrir, de se reproduire, de se regrouper en différant associations ou colonies, de coopérer en fonction des différents contactes de proximité établis entre-elles (ancêtres du fonctionnement nerveux) et de fuire en fonction des dangers. Ces différents types de comportements cellulaires ainsi que quelques autres, étaient à cette époque les seules qui pouvaient êtres exprimer envers l’environnement et effectués de manière totalement automatique, étant tout simplement de purs réflexes sur le plan physico-chimique et biochimique. Les futurs comportements reliés plus étroitement à la dominance, dont les prémisses évolutives sont axées sur la survie des individus et de l’espèce, ainsi que tous les autres types de comportements à caractères plus instinctifs. Ont donc des origines et des bases moléculaires, génétique et cellulaires très anciennes, faisant tout simplement partie des différentes réactions élémentaires de la nature, envers l’évolution de la matière organique et génétique. Dont la nature à tout simplement voulut garder les différentes traces, à travers l’évolution de tous les organismes vivants, dont le tout découle tout simplement d’une sorte d'origine commune sur terre.
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Dernière édition par glevesque le Ven 26 Jan 2007 1:57 am; édité 1 fois
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 Message Posté le: Ven 26 Jan 2007 1:54 am    Sujet du message:
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Première étape de l’évolution du cerveau :

Petit à petit avec la complexification des organismes pluricellulaires et envers surtout l’émergence de nouveaux gènes de types homéotiques, qui vont favoriser la segmentation, de différenciation et le développement de différents tissus (ou feuillet) cellulaires d’un organisme vivant. Qui avec le temps sont devenus de plus en plus complexes, permettant ainsi aux différents organismes pluricellulaires, d’avoir en leur possession et en leur contrôle, plusieurs types de cellules regroupées en différant organes ayant des activités et des fonctionnalisées physiologique bien différent les unes par rapports aux autres. Certaines de ses cellules pouvaient coordonner l’ensemble des tissus et des organes constituant un organisme, et ceci de manière à maintenir une forme d’équilibre parfaites de leurs différentes activités biochimiques et moléculaires, axée entre autre sur la production et la secrétions de certaines molécules extracellulaires, le tout coordonné et contrôlé pour faire face aux différents besoins imposés par l’environnement. Ici il s’agit d’une sorte de contrôle hormonale sur l’homéostasie cellulaire, qui est axé sur le maintient de l’équilibre interne d’un organisme vivant.

La nature va donc petit à petit assisté à la naissance et à la spécialisation des premières cellules de type nerveux. Ne servant à l’époque qu’à établir différents réseaux de communications de plus en plus complexes entre les différents tissus cellulaires d’un organisme vivant et pouvant également régulariser l’ensemble de ses fonctionnalités physiologiques. D’autres types de cellules qui étaient alors en étroites relations avec les différentes conditions d’équilibres environnementales, vont ainsi faire leur apparition et établires des jonctions de toutes sortes avec les cellules de types nerveuses. Il pouvait s’agir également d’une certaine forme de différenciation cellulaire effectuée par les cellules de types nerveuses, ayant acquis alors cette nouvelle spécialisation moléculaire et biochimique. Fonctionnalités qui ont été acquises de façon purement aléatoire sur le plan de l’évolution génétique et transmise de génération en génération, ce trouvant tout simplement favorable à l’adaptation et à l’évolution de l’espèce, et ceci après avoir effectué plusieurs autres tentatives qui ont échoué. Ce sont les premières formes de cellules sensorielles reliées aux cellules de types nerveuses, elles peuvent déterminer à elles seul, le comportement global d’un organisme vivant pluricellulaire.

Le stade des colonies de bactéries et d’algues, dont les individus vivaient de manières indépendantes et presque immobiles, et des organismes pluricellulaires fixes et ancrés au sol, est maintenant réellement franchit. Car ici, il s’agit d’un nouveau type de comportement relié au mouvement et au déplacement que peuvent désormais entreprendre les organismes pluricellulaires, sous le contrôle et la surveillance de leurs cellules nerveuses. Ainsi à partire des colonies de bactéries et des protozoaires unicellulaires (famille des protistes), en passant par les éponges qui représente les premier véritable organismes pluricellulaires. Nous voilà maintenant rendu à la première forme d’évolution du système nerveux, et qui est étroitement associés aux différents organismes pluricellulaires dotés de mouvement. Il s’agit des cœlentérés, qui regroupe les organismes vivants à l’intestin creu, comme l’hydre et la paramécie et qui possèdent quelques neurones éparpiller dans leur corps, sans aucune autre structure plus élaborée, que par de simple connexion inter neuronales. Il y avait également les vers plats primitifs et les tribolites arthropodes à huit pattes, qui possédaient des structures nerveuses encore plus complexes que les cœlentérés. Ses organismes vivants ont marqué la période géologique transitoire situé entre le Précambrien et le Cambrien (qui remonte à plus de 600 millions d’années).



Tous ces différents phénomènes axés sur l’évolution de la vie et de ses différents mécanismes d’adaptations, nous ramènent en réalité à certains principes Universels qui sont axés sur l’équilibre et l’harmonie. Principe qui nous démontre en fait, comment la nature communique et s’exprime envers elle-même, et qui sur le plan de la conscience humaine sont tout simplement associés aux différents concepts spirituels envers la morale et la sagesse. Ainsi nous pouvons dire que l’évolution de la conscience humaine et du cerveaux, s’est effectués en réalité à travers et en étroite relation avec les prémisses spirituelles de la nature. Celles-ci découlant tout simplement des mêmes lois fondamentales et évolutives de l’Univers, qui dirige l’évolution et le comportement de l’ensemble des différents niveaux d’organisation de la matière.

Les premiers organismes pluricellulaires, n’avaient pas de structure neurologique bien définit et situé à un endroit bien particulier de leur corps. Servant entre autre à centraliser les différents signaux chimiques en provenance de l’extérieur, pour ainsi en faire l’analyses et l’interprétation, comme c’est le cas pour le cerveau. Il s’agit en fait, de la première étape de l’évolution du système nerveux, qui est représenté par l’association de différents types de ganglions nerveux répartis à l’intérieur d’un organisme vivant d’aspect plutôt segmentaire (voir le schéma ci-haut). Chaque ganglion étant composé de quelques cellules nerveuses réparties à travers tout l’organisme, les ganglions sont reliés entre eux par quelques fibres nerveuses, les axones. Dont les représentants les plus fidèles du règne animal, en faisant abstraction des mollusques et des arthropodes qui regroupe entre autre les insectes et les crustacés, et qui possède un système nerveux un peut plus évolués, sont les vers plats représentés par les plathelminthes. Ainsi la forme segmentaire du plathelminthe, dont chaque segment sont entièrement autonomes et interconnectés entre eux par des axones, pour leur coordination générale. Donne au plathelminthe la capacité, lorsqu’il est couper en deux par exemple, de régénérer complètement les parties manquantes de chaque unes des extrémités, donnant ainsi naissance à deux organismes complets et fonctionnels.

Tous ces différents processus chimiques et biochimiques de l’évolution de la matière organiques et de la vie, son rendu possible grâce à la manifestation des différentes lois fondamentales de la nature et de l’Univers. Il s’agit de la théorie des concentrations, qui veut décrit le comportement des systèmes complexes. Dans un premier temps, il s’agit des différentes concentrations en matière organique et minérale entrant dans la composition d’un milieu quelconque. Celles-ci détermineront ainsi, de part leurs propres propriétés réactionnelles, les différents degrés et potentiel d’affinités physico-chimiques et biochimiques qui pourront êtres établis entre les différentes structures organiques et moléculaires du milieu. Le tout s’orientant par la suite, vers une forme de convergence structurelle et évolutive de la matière organique, et cela sera toujours effectué en étroitement relation avec l’acquisition de nouvelle forme d’états d’équilibre de plus en plus complexes, offerts par les différentes capacités d’adaptations génétiques des organismes vivants face à leur environnement. Il s’agit en fait (pour l’évolution moléculaire de la vie), d’une sorte d’amalgame réactionnelle contenu dans l’ensemble de la nature, envers les différentes possibilités portées sur l’évolution de la matière qui se trouvent dans l’Univers. Et qui fait partie d’une sorte de structure matricielle portée sur l’évolution chimique et organique contenant toutes les propriétés des substances encadrées, et qui contient l’ensemble des mécanismes virtuellement possibles découlant directement du fonctionnement fondamental des lois Universelles. Dont l’homme actuel n’a conscience que d’une infirme partie de leur véritable fonctionnement. Phénomènes qui se résument en gros par des phénomènes d’attraction et de répulsion.
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glevesque
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 Message Posté le: Ven 26 Jan 2007 1:55 am    Sujet du message:
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Deuxième étape de l’évolution du cerveau :

La deuxième étape de l’évolution et du développement du cerveau, implique cette fois-ci un certain niveau d’organisation et de spécialisation d’un système nerveux. Prenant alors la forme d’un cerveau situé à un endroit bien précis à l’intérieur d’un organisme vivant. Cette étape de l’évolution des espèces animales et du cerveau, est associé à la période géologique du Cambrien, qui remonte à plus de 600 millions d’années environ, et qui c’est poursuivit toutes au long des périodes géologiques suivantes. La perception inconsciente ainsi véhiculée du monde extérieur, donne au cerveau un certain niveau de perception envers ses différentes possibilités d’interventions sur l’environnement. Il s’agit de tous les types de comportements instinctifs innés, qui sont étroitement relié aux émotions et aux réflexes automatiques, comme la faim, la soif, le désir, la colère, la fuite et la peur.

La principale caractéristique de l’évolution des ces différents types de cerveau du règne animale, qui font partie de cette catégorie. Sont représenter par différents niveaux d’organisations et de développement de certaines régions bien spécifiques du cerveau. Nous retrouvons en premier lieu le cerveau de type reptilien, qui représente l’un des cerveaux le plus primitif du règne animal et qui ressemblent beaucoup a celui que possèdent actuellement les reptiles. Il est composé principalement du tronc cérébral, qui comprend le bulbe rachidien et le mésencéphale, qui est composés entre autre des tubercules quadrijumeaux (ancien cortex visuel) qui sont associés aux réflexes oculaires de l’iris, du noyau rouge (qui produit la Dopamine) et du locus Niger. Il s’agit de la partie du cerveau qui est associé aux différents types de réflexes innés, comme l’équilibre, la respiration et les battements du cœur, et qui contrôle également la vigilance et le sommeil. Par la suite nous retrouvons le cervelet qui intervient dans la coordination et le maintient du tenus musculaires. Le cortex olfactif qui est aussi dénommé Rhinencéphale, est situé tout au sommet du Diencéphale, dans la partie ventro-antérieur du cortex. Il est constitué d’une excroissance du pédoncule qui se termine par le bulbe olfactif, qui interviennent dans tous les phénomènes associés à la perception sensorielle et olfactive des odeurs. Le Diencéphale est composer entre autre de l’hypothalamus, du thalamus et de l’hypophyse.



L’hypothalamus est le centre nerveux qui régularise tous les instincts et réflexes reliés aux émotions, par les différentes liaisons qu’il entretient avec les autres parties du cerveau et plus particulièrement avec l’hypophyse, le thalamus, le rhinencéphale, le système limbique pour les mammifères et le tronc cérébral. Il régularise la température interne du corps, les variations des battements cardiaque, l’augmentation du flux sanguin, la libération des hormones dans l’organisme et favorise l’expression émotionnelle de tous les différents types de schémas comportementaux instinctifs. Cette partie du système nerveux centrale, compose en réalité le système neurovégétatif autonome, assisté par certaine partie du tronc cérébrale. C’est-à-dire capable de s’auto régulariser par différents processus biologiques de base, pour le maintient de la vie et cela sans avoir recourt à l’intervention de la conscience, comme dans les différents états comateux ou pendant le sommeil. Il est diviser en trois parties bien distinctes, il s’agit du système nerveux sympathique qui prépare le corps à l’action, et du système nerveux parasympathique qui entretient et maintient l’état de repos et de relaxation du corps, et entre les deux nous retrouvons le système orthosympathique.


Coupe Anatomique du Cerveau.

Le thalamus est directement situé au-dessus du tronc cérébral, et il est le relais sensoriel par excellence, pour toutes les formes de sensibilités provenant du corps, sauf en partie pour le système olfactif. Il reçoit et distribue tous les afférents nerveux sensitifs en provenance de la partie dorsale de la moelle épinière, servant à la perception sensitive du monde intérieur et extérieur d’un organisme vivant. Le thalamus établit ainsi des contactes très étroits avec toutes les aires primaires du néocortex cérébral. L’hypophyse est en fait, une sorte de glande sécrétrice servant entre autre d’usine pour la fabrication de certaines hormones et ayant des effets très important sur le contrôle du métabolisme et des autres glandes de notre organisme, comme la thyroïde, les gonades ou glande sexuelle et les glandes surrénales (Médulo et Cortico), etc… L’hypophyse est directement sous le contrôle de l’hypothalamus, et s’est par elle que son libérer les hormones dans la circulation sanguine. Le cerveau reptilien est responsable en grande partie de certains comportements instinctifs primaires et des réflexes innés qui sont d’ailleurs réalisés de manière entièrement automatique et résultant intégralement du câblage nerveux. Le cortex cérébral est essentiellement représenter par le rhinencéphale, partie du cerveau associés à l’odorat et situé sur la face interne du cortex antérieur. Les animaux de cette catégorie, ne présentes donc aucune ou très peut de capacité d’apprentissage relié à la mémoire.

En second lieu nous retrouvons dans l’évolution des espèces, les cerveaux de type mammalien, qui en plus des parties neurologiques énumérer précédemment, nous retrouvons le système limbique. Qui est en fait la partie du cerveau ou ce situe le véritable siège des émotions et des sentiments à caractère plus ou moins instinctif ! Le système limbique à la forme d'une boucle qui entoure le troisième ventricule cérébral, et est composé de l’amygdale, de l’hippocampe, du cortex cingulaire, de l’habénula, du septum, etc... Ces différentes structures cérébrales sont intimement connectées entre eux et reçoivent de multiples informations venant de tout le système nerveux, et plus particulièrement du cortex cérébral et de l'hypothalamus. L’amygale est associé à la manifestation des différents comportements émotionnels et encadre l’expression des sentiments, comme la colère, la faim et la violence, et etc... Le cortex cingulaire est situé juste au-dessus du corps cailleux (partie du cerveau qui unit les deux hémisphères), et il enveloppe en quelque sorte le système limbique, il participe entre autre à l’inhibition musculaire.

Le septum est situé tout juste au-dessous du genou du corps cailleux, qui se trouve dans la partie antérieure du cerveau. Le septum est associé aux différentes manifestations des sentiments et des émotions qui sont reliés à l’olfaction et aux comportements plus sociaux, il est relié très fortement à l’amygale. L’hippocampe est le centre de la mémoire à courts thermes et sert également de relais à la mémoire associative à plus long terme du néocortex. L’hypocampe est impliqué dans la sélection des schémas comportementaux et des différents phénomènes d'apprentissages. Le système limbique représente une forme d’évolution de niveau supérieur, qui s’est effectué à partir du Rhinencéphale reptilien. Les animaux de cette catégorie, démontres des signes d’apprentissages, et donc d’une certaine forme de conscience animale et très primitive. Certaine espèce d’oiseaux par exemple, sont capable d’apprentissage par imitation. Le cortex du lapin est presque occupé entièrement par le système limbique et plus nous nous rapprochons de l’homme, ce dernier devient de moins en moins important au dépend du néocortex, qui prend alors la relève dans la régularisation des émotions.



Le néocortex cérébrale qui est représentés par les deux hémisphères cérébraux (le Télencéphale), sont très peut développer dans le règne animal, contrairement à l’espèce humaine. Et selon les espèces animales les plus primitives, comme les poisons et les reptiles, le cortex cérébral est très petit, presque inexistant et leurs cerveaux ne possèdent pas de structure équivalente au néocortex cérébral. Le cortex préfrontal et frontale du néocortex, qui est associé aux différents processus de la conscience et qui sont reliés aux raisonnements, est en fait la dernière structure cérébrale à s’être développer au court de l’évolution du cerveau. Le cortex frontal est responsable entre autre, des différents processus qui sont relié à la prise de décision consciente. Pour les espèces animales de cette catégorie qui appartient au règne des mammifères, il s’agit en fait d’un cerveau qui est associé strictement aux différents comportements reliés aux émotions, aux instincts, aux réflexes innés et aux différentes préoccupations reliées étroitement à la survie de l’individu et de l’espèce. Il s’agie en fait, d’un véritable cerveau d’expression émotionnelle.

L’expression de certains traits qui sont relié aux différents comportements de dominance, son donc exprimer de façon plus directe et plus agressive à l’intérieur de ses différentes espèces animales de natures plus primitives. Faisant ainsi ressortir un comportement plus instinctif envers la reproduction et la défense du territoire par exemple. Nous retrouvons actuellement ce type de comportement instinctif et inné chez la totalité des espèces du règne animale possédant un cerveau. Ces différents comportements reliés à la dominance et associés aux différentes émotions ressentis et interprété de manière plus ou moins instinctif. Ont permis en réalité, à toutes les espèces animales de s’adapter à leur environnement, qui allait ainsi leur donner la capacité d’agir et de s’adapter très rapidement, aux différentes situations environnementales pouvant menacer entre autre leur propre survie.
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 Message Posté le: Ven 26 Jan 2007 1:59 am    Sujet du message:
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Troisième étape de l’évolution du cerveau :

La troisième étape de l’évolution du système nerveux, fait intervenir des structures associatives et d’analyses cérébrales beaucoup plus complexe, envers le développement du cerveau et du néocortex en particulier, comme pour les noyaux striés lenticulaires, composée du puttamen, du palladium et du noyau coudé, qui sont associés entre autre aux mouvements et à la coordination musculaire relative aux émotions. Le néocortex est la partie du cerveau qui est associé aux fonctions les plus évolué et les plus élevés de la conscience. Il joue un très grand rôle dans la mémoire associative et à la représentation de l’état corporelle interne ou externe (cortex somatosensoriel) par rapport à l’environnement. Et plus particulièrement, le cortex préfrontal de l’homme est relié à la prise de décision, à la capacité à ressentir et d’exprimer des émotions volontaires et ceci par l’intermédiaire de différent processus de raisonnement cognitif, qui sont alors axés sur la perception consciente et sensible du monde qui nous entour. La conscience de l’homme est ainsi capable d’auto représentation, d’anticipation et d’auto projection. Cette étape de l’évolution du cerveau, est caractérisé par une prise de conscience beaucoup plus élargie sur l’environnement, permettant ainsi des possibilités d’interactions et des actions beaucoup plus complexes et beaucoup plus élaborés. Ce type de cerveau est spécifiquement relié aux différentes familles de mammifère qui sont permis les plus évoluer de la nature, et sont tout particulièrement développés chez l’espèce humaine et chez la famille les Primates.
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 Message Posté le: Ven 26 Jan 2007 2:00 am    Sujet du message:
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La Perception et les Aspects de la Nature Humaine :

Le niveau de développement supérieur du cerveau et du néocortex, est spécifiquement représenté par le niveau de conscience qui est atteint par l’espèce humaine, avec ses différentes capacités mentales et cognitives (comportement psychologique), basées sur le raisonnement. La conscience humaine se distingue par un aspect et une capacité d’analyse et d’association qui est beaucoup plus subjective, plus rationnel et beaucoup plus abstrait sur les différentes formes de représentation symbolique qu’elle peut effectuer sur le monde extérieur qui nous entourent. L’organisation structurelle et fonctionnelle du cerveau de l’homme, lui permet entre autre de prendre conscience de lui-même et de sa propre individualité face au monde extérieur. Comme s’il pouvait dès à présent se voir de l’extérieur par l’intermédiaire de ses différentes facultés associatives somatosensoriel et d’introspection ! Ceux-ci lui sont fournis grâces aux différentes capacités des cellules nerveuses à entretenir différentes formes d’embranchement et d’inter connexion qui sont effectuées entre les différents réseaux de cellules nerveuses et réparties sur l’ensemble des régions du cerveau. Situé tout au sommet de cette hiérarchie cognitive et nerveuse, nous retrouvons la conscience du moi, qui englobe l’ensemble des fonctionnalités du cerveau et de la perception consciente, qui est représenté plus directement par l’esprit de l’homme. Ces différentes caractéristiques, définissent très bien les différents attributs de la pensée schématique et représentative de la conscience humaine basée sur la raison. Cela donne au genre humain, la possibilité de maîtriser et de contrôler de manière beaucoup plus efficaces, les différentes conduites instinctives, et de mieux prévoir les événements et les conséquences futures de ses propres actes.

Ses différents niveaux d’organisations du cerveau, font ainsi évoluer l’expression de certains types de comportements associés à la dominance, vers des niveaux de complexité et de subjectivité encore jamais atteinte dans la nature. Évolution de l’homme qui avec la création du langage et l’expression de comportement de plus en plus sociale, allaient nous conduire vers la prochaine phase de l’évolution et du développement de l’espèce humaine (elle correspond à la troisième phase). Il s’agit cette fois-ci de la création de concept de plus en plus abstrait qui sont alors reliés aux différentes valeurs d’ordre plus spirituel, et qui sont étroitement associés aux différents principes de morale et de spiritualité, qui a leur tours sont symbolisé et représenté par les cultures et les religions. Dont les prémisses initiales ont été acquises par l’observation et l’interprétation des différents comportements de la nature elle-même. Ces différents processus de l’évolution de la conscience humaine, seront abordés plus en détaille dans le chapitre traitant de l’Australopithèque jusqu’à l’homme.



Les différentes formes de désirs passionnelles et émotionnelle face à la dominance. Présente donc actuellement des niveaux de complexité beaucoup plus élaborer et beaucoup plus subjectif envers les différents comportements de même type qui était alors adopter dans la préhistoire humaine. Et envers également les différents moyens utiliser par les individus pour les satisfaire, comme par exemple d’une manipulation plus discrète et sournoise de notre entourage et de notre environnement. Afin de tromper, d’influencer et de brouiller, la vigilance et nos véritables intentions personnelles envers les autres. Et ceci dans le but ultime de nous procuré certains privilège et certains prestiges aux dépends de nos semblables, tout en nous gratifiant sur le plan matériel et psychique. Désir passionnel ne visant qu’un but strictement personnel et sans tenir compte des véritables intérêts collectifs, pouvant même conduire à la guerre. Dont l’homme est le plus haut représentant du règne animal, à connaître et maîtriser véritablement les différents mécanismes. Ce type de comportement obsessif sur le plan matériel et psychologique, sont d’ailleurs adopter de manière extrême, par toutes les dictatures actuelles qui adoptes des mesures oppressives pour contrôler, tromper et exploiter leur population. Démontrant ainsi de l’hypocrisie et de la cupidité à l’état la plus pure, qui découlent directement de l’orgueil de certains individus voulant à tout prix, exercer leur pouvoir que pour leur propre plaisir et satisfaction personnelle.

Ces différentes caractéristiques plus évoluées sur le plan de la conscience humaine et axée sur l’expression des différents types de comportements reliés à la dominance. Sont donc exprimé de manière beaucoup plus évolués à l’intérieur de notre espèce. Leurs différentes formes de manifestation à donc été favorisé par l’évolution, le développement et la spécialisation de certaine région du cerveau. Comme pour l’évolution des lobes cérébraux frontaux et temporaux du néocortex, qui sont beaucoup plus développer chez l’homme que chez les primates par exemple. Le cerveau est le siège de la conscience et poursuit son développement dès la conception d’un être humain et cela jusqu’à la mort de l’individu. Différents processus neurologiques et environnementaux, vont ainsi aider au développement et au conditionnement du cerveau. Le cerveau possède des capacités dynamiques, qui sont rendu possible par différents processus de régénération et de croissance du tissu cérébrale, qui découlent eux-même des différentes propriétés cellulaires, moléculaires et génétiques dont il a acquit les différents attributs fonctionnels au court de son évolution. L’apprentissage renforce et aide la stabilisation de la mémoire comportementale, et participe à l’établissement de nouveaux type schéma neurologique entre les différents réseaux de neurones.

Le cerveau peut donc établir au court de son développement, de nouvelle relation associative envers les différentes structures d’analyse primaires et secondaires du néocortex et du système nerveux central en général. Processus qui est favorisé par la pousse des dendrites et des axones et par l’établissement de nouveaux contactent et jonctions envers les différents réseaux ou circuits d'axones, dendritiques et somatiques. Il favorise ainsi de nouvelle capacité d’apprentissage et démontre de très grande capacité d’adaptation face à notre environnement. La plasticité et le dynamisme du cerveau envers ses différentes capacités de mémorisation, d’imagination, d’apprentissage, d’instinct, d’intuition, d’attention, de concentration, de vigilance et envers les différents mécanismes de la perception et de la conscientisation. Donne à l’espèce humaine certains des attributs qui la caractérise si bien par rapports aux autres espèces vivantes sur notre planète, il s’agit en fait, des attributs qui caractérisent si bien la pensée et la conscience humaine.

L’un dès premier aspect qui caractérise si bien la nature humaine, et qui est généralisé au règne animal, mais qui est exprimé à des niveaux de complexité différents. Vient et découle en fait, de l’influence qui résulte de notre propre constitution physiologique, cellulaire et moléculaire et qui relié étroitement aux différents comportements instinctifs et innés. Il détermine ainsi, un ensemble de possibilité bien précise et déjà programmer à l’avance à l’intérieur de notre cerveau, et porté sur les différents types de schémas de comportements à adopter face à différentes situations environnementales bien précises et pouvant nous influencer. Dont les bases fondamentales ont été établies et dirigées par l’évolution de notre propre structure génétique et par les différentes capacités d’apprentissages et de développements dynamiques de notre cerveau. Et dont les prémisses architecturales et organisationnelles se retrouvent tout simplement cacher dans l’origine même des différents processus évolutifs qui ont conduit à l’émergence de notre propre espèce sur terre.

Les différents messages ainsi véhiculés par les différents processus physiologiques de la perception inconsciente, ne sont pas effectué de manière instantanée, comme pour les hormones ou pour la propagation d’un l’influx nerveux, qui est dirigé et contrôlé par les neurones. Les neurones sont les cellules du cerveau responsables de la propagation de l’influx et du potentiel électrique entre les cellules nerveuses. La propagation de l’influx nerveux n’est pas effectuée cependant de manière instantanée et demande un certain délais de transmission, de l’ordre de quelques millièmes de seconde pour se rendre au siège de la perception consciente. L’influx nerveux voyage donc à travers les dendrites, les axones et le corps cellulaire des neurones, en raisons de cent mètres par seconde en moyenne. Les différents processus de la perception conscience sont donc décaler en fonction du temps, déterminant ainsi un certain seuil ou délais envers la prise de conscience face au stimulis, et de la réaction comportementale qu’il implique en retour anticipé et projeté vers le monde extérieur. Les différents processus de la conscientisation sont donc très lents par rapport à certains phénomène naturel, comme pour les différentes réactions chimiques entres les particules. Thème que nous avons déjà abordé dans le chapitre consacré aux différentes lois naturelles.
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 Message Posté le: Ven 26 Jan 2007 2:01 am    Sujet du message:
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La Perception Subjective des Couleurs :

Prenons l’exemple de la vision pour illustrer ce phénomène de la perception et de la conscientisation. La lumière émit par les objets qui nous entourent, vont éventuellement entrer à l’intérieur de l’œil par la pupille. Elles vont êtres ensuite déviés et réfractés de leurs trajectoires initiales par le cristallin, servant en quelque sorte de lentille convergente. La lumière sera ainsi concentrée et dirigée vers le fond de l’œil, à un endroit se trouvant au centre de celui-ci, dénommé la fovéa. C’est dans cette région de l’œil, qu’on retrouve les cellules sensibles et réceptrices de la lumière. Nous y retrouvons les cellules en formes de connes, pour la perception des couleurs et les cellules en formes de bâtonnets, pour la perception des nuances de gris, utilisé surtout pour la vision de nuit. Ces cellules sensorielles possèdent en leurs surfaces des récepteurs chimiques leurs permettant de réagire à différentes longueurs d’onde de la lumière.

La couleur est donc un concept purement abstrait qui n’existe pas réellement dans la nature, étant tout simplement attribuée aux différents concepts associatifs découlant directement des différents processus de la perception consciente. Qui permet au cerveau de se faire une certaine représentation ou schéma mental, associé aux différents objets du monde extérieur qui l’entour et qu’il perçoit. La vision des couleurs est une caractéristique évolutive, acquise par les espèces du règne animal les plus évoluer seulement. Pour la nature, la lumière n’est qu’une manifestation d’énergie électromagnétique, attribuer par ses différentes caractéristiques physiques, comme la longueur d’onde, la fréquence et l’amplitude. Ses différentes caractéristiques physiques de la lumière, peuvent très bien influencer le comportement et la stabilité de la matière, se manifestant alors sous différentes formes et selon le niveau d’énergie impliquée.

La réaction envers la lumière et les différents récepteurs chimiques des cellules en formes de connes et de bâtonnets, provoque une forme de variation du potentiel électrique envers l’équilibre biochimique normal de ses cellules. Ce phénomène est la première phase de la perception humaine et elle à pour objectif de déclencher les influx nerveux qui se propageront par la suite à travers le nerf optique, pour rejoindre les régions du cerveau les plus profondes et associé aux différents stimuli visuels. L’influx nerveux, sera par la suite dirigée vers les régions du chiasma optique. Cette partie de l’anatomie du cerveau, est une forme de carrefour qui contrôle la circulation des influx nerveux qui voyage à travers le nerf optique, et par lequel une grande partie en provenance de chaque oeil, seront croisés et rediriger par la suite vers les hémisphères opposés du cerveau. Ainsi l’hémisphère droit du cerveau, voit ce que l’œil gauche regarde et l‘hémisphère gauche du cerveau voit le champ visuel capter par l’œil droit. De là, ils seront ensuite dirigés vers les tubercules quadrijumeaux associés aux réflexes oculaires de l’iris et vers les corps géniculés latéraux, qui se trouvent de chaque coté du thalamus, avant d’êtres redistribués en parallèle dans les différentes parties du cerveau pour y êtres associés et analysés plus en profondeurs. Comme l’hypothalamus, le système limbique et dans certaines parties du lobe occipitales du cortex cérébral, qui se trouve dans la partie postérieure du cerveau et servant principalement aux différent traitement de l’information visuelle.

L’information visuelle ainsi recueillie, sera traiter de différente manière dans différentes parties du cerveau, avant de pouvoir établir toutes formes de réactions et d’actions possibles sur l’environnement. Nous voici donc rendu à la deuxième étape de la perception conscience. Le cerveau ne perçoit pas le monde comme nous le concevons, il doit dans un premier temps faire le traitement de toute l’information qui lui est fournit, afin d’établir les différents concepts qui sont associés à la conscience. C’est-à-dire à la notion des couleurs et des formes par exemple, ou encore des concepts plus évolués associés à l’aspect plus subjectif, plus rationnel et plus abstraits de la pensée humaine, comme pour le langage. La deuxième étape de la perception consciente consiste en réalité, à établir les différentes relations entre les stimuli sensoriels perçus du monde extérieur et de faire les associations appropriées envers les différents schémas mentaux, déjà existant et mémorisées à l’intérieur des différentes aires associatives du cerveau, et ceci afin de faire la meilleure représentation possible de la situation dans lequel le cerveau se trouve.
Les aires associatives secondaires du cerveau, qui recouvrent la majeure partie du néocortex cérébral, sont tout particulièrement sollicitées pour cette tache. Tous ses différents processus de la perception consciente, ont pour objectifs de prendre une décision raisonnable et finale. Afin d’adopter une action et un comportement volontaire (cortex extrapyramidal), qui sera alors ajusté de manière adéquate sur le plan émotionnel, et ceci en fonction des différents stimuli et du contexte perçu du monde extérieur. Cette tache finale revient plus particulièrement au cortex préfrontal, étant relié directement aux autres aires primaires du cerveau, à l’hypothalamus, au système limbique, etc...

Comportement dont les différentes représentations, symbolisation et schématisation mentales, sont regroupées dans un ensemble nerveux beaucoup plus vaste, et mémorisée à l’intérieur des cortex cérébraux associatifs, sous la forme d’image et de souvenir de mise en situation et ceci en fonction de leurs différentes caractéristiques sur le plan émotionnelles et comportementales. Il s’agit sur le plan neural, de l’association très étroite de petit groupe de neurone, formant en quelque sorte des micros circuits regroupés et interconnectés entre eux en différant réseaux nerveux rapprochés et distants. Formant ainsi différentes structures nerveuses très complexes, pouvant être répartie sur l’ensemble du cerveau. Voici donc en gros, la représentation d’un schéma mental avec laquelle la pensée et la conscience travail. Certaines de ses structures nerveuses, mémorisées dans différentes parties du cerveau, peuvent êtres innés, comme pour les réflexes de régularisations corporelles entretenues par le système autonome ou acquis par l’apprentissage. Elles représentent en fait, les différents types de schémas comportementaux, à travers lesquels le cerveau peut choisir et adapter un type de comportement, pour ainsi pouvoir manifester sa présence au monde extérieur.

Tous les différents mécanismes neurologiques et physiologiques, effectués pour permette la réalisation d’une action et d’un comportement, après leur analyse par les aires associatives. Font parties en réalité de la troisième et dernière phase de la perception consciente, qui est représentée par l’action comportementale elle-même. Elle consiste à coordonner les mouvements et les émotions, qui sont alors effectués par d’autre partie du cerveau. Comme pour le cortex moteur primaire et le cervelet, servant entre autre à déterminer et activer les parties du corps qui sont impliquées dans les mouvements, à contrôler le tonus des muscles. Des noyaux lenticulaires assistés par le système limbique et de l’amygale, pour favoriser et finaliser l’expression émotionnelle du corps en fonction du type de comportement à adopter. Du tronc cérébral pour le maintient de l’équilibre et de l’attention. De l’hypothalamus et de l’hypophyse, pour la préparation et la régulation du métabolisme générale du corps, augmentation du rythme cardiaque et la dilatation des vaisseaux sanguins, pour ainsi favoriser l’action à entreprendre, etc… L’hypothalamus et l’amygale font souvent partis de comportement instinctif associé à la colère et à l’agressivité, qui sont en réalité des arcs réflexe plus anciens et donc plus rapide. Le tout est synchronisé d’une manière parfaite, dans le but de nous permettre d’agir d’une manière cohérente, envers le monde qui nous entours (40 hz). Ils forment en quelques sortes des souvenirs comportementaux, qui sont alors reliés étroitement à certains schéma neural mémorisé dans les différents cortex moteurs et de coordination de la motricité du cerveau.

Poursuivons maintenant notre analyse sur les différents trajets de l’influx nerveux visuelle, et asseyons d’illustrer plus en détaille les différents processus concernant la deuxième étape de la perception consciente. Chaque partie de l’information nerveuse recueillie, sera alors traitée selon leur origine et selon leur importance, dans plusieurs parties différentes du cerveau, comme nous l’avons déjà mentionné précédemment. L’information visuelle sera ainsi traité en parallèle tout en étant en étroite relation et en coordination parfaite avec les autres processus d’analyse et de traitement effectué ailleurs dans le cerveau. L’analyse des couleurs et des formes entre autres, suivent des trajets, ou des circuits nerveux bien spécifique. La représentation et l’identification des objets perçue sont effectuer par l’aire visuelle secondaire, comme par exemple de la représentation verbale d’un l’objet regardé, des formes ou des couleurs. Certains groupes de neurones sont tout spécialement bien adapter à ce genre de traitement. Toutes les parties de l’image visuelle, seront ainsi traités et mis en relation par différents réseaux neuraux. Les couches IV et VI des cellules nerveuses du cortex cérébral participe grandement à la communication entre les différentes régions du cerveau. Lesquels établiront par la suite des relations très étroites entre eux, par une forme de câblage effectué par des faisceaux d’axones, afin établir une certaine forme de corrélations associatives entre les différentes parties du cerveau. Prenant ainsi la forme de structure neurologique très complexes pouvant relier des réseaux de neurones distants, par différentes connections et d’interconnections de réseaux neuraux. Ses différents processus seront effectués simultanément dans plusieurs régions bien différentes du cerveau, et ils convergeront par la suite vers d’autres structures cérébrales tout en subissant toutes sortes de processus d’amplification et d’inhibition axée sur la propagation de l’influx nerveux.

Ainsi certains liens avec le système limbique, et plus particulièrement avec l’hippocampe, seront alors effectuer pour retrouver la signification immédiate des objets observés et pour déterminer également les contextes dans lequel on se trouve. Et cela sera effectué en fonction des parcours initiaux établis et suivies par chacune des différentes connections et inter-connections des réseaux neuraux distants. Dans un deuxième temps, elles ont pour taches d’établir d’autres liens avec d’autres réseaux inter neural situés ailleurs dans le cerveau. Pour ainsi établir des contacts avec d’autres parties associatives du cerveau, comme avec l’air de Wernicke pour retrouver le schéma mental qui est associé à la signification verbale d’un objet regardé, par exemple. D’autre processus de traitement neural, sont également effectués en parallèle et de manière indépendante, n’ayant aucun rapport immédiat avec les stimuli visuels, apportant ainsi leur propre contribution à la schématisation globale et mentale du corps et de l’environnement. Ainsi l’état du schéma corporel interne, est maintenu de façon permanence par le système somatosensorielle situé dans le lobe pariétal du cerveau (en y incluant les noyaux lanticulaires (putamen/pallidiu)). Ils seront par la suite croisés avec les différents traitements associatifs visuels. De cette façon la coordination du corps est toujours effectuée en parfaite harmonie, et ceci en fonction des différentes réactions imposées par l’arrivé en continus de nouveaux stimuli, et toujours basé sur le schéma de l’état corporel précédent du corps qui est en parfait état de synchronisation, évitant ainsi des mouvements désordonnés et incohérents de toutes sortes.



Le cortex frontal et préfrontale, étant le sièges des fonctions mentales et psychiques les plus évolués du cerveau et de la conscience humaine. Son rôle consiste à recevoir, de discriminer et regrouper toute l’information résultant des différents circuits et réseaux neurologiques précédents, ainsi que les autres processus de traitement neuraux ne découlant pas directement des stimuli visuels, pour en faire l’analyse et la synthèse finale assisté de la raison. Il nous manque cependant un circuit neural intermédiaire qui est très important, afin de compléter la deuxième phase de la perception conscience et de pouvoir enfin passer à l’étape suivante qui est l’action comportementale proprement dite, comme nous l’avons vue précédemment. Cette étape est en fait, l’un dès plus grand mystère de la science actuel, il s’agit de la prise de conscience elle-même par rapport à son essence (Platoniciens), ou par rapport à son émergence (Aristotéliciens) qui est représenté par l’esprit de l’homme.

Le cerveau avec ses quelques dix milliards de neurones, recueilles et traite l’information qui est perçu du monde intérieur et extérieur par certains cellules et organes sensoriels. Mais les différents processus neurophysiologiques de la perception consciente, sont effectué par des liaisons nerveuses si innombrable. Pouvant être de plusieurs centaines de millions de milliards de connexions et d’interconnexions de toutes sortes, qu’il nous est tout simplement impossible pour l’instant du moins, de comprendre sont fonctionnement interne plus en détaille. Il s’agit d’un phénomène qui est purement matériel et basé sur la propagation d’un mini courant électrique (influx nerveux) à travers la matière vivante, dirigés et orientés par différentes fibres nerveuses. Formant ainsi des schémas mentaux, sous forme de circuits et de réseaux neurologiques d’une complexité indéchiffrable. La véritable prise de conscience qui découle de tous ses différents processus neurologiques, reste pour l’instant un mystère non résolut et le plus total. La conscience a des prémisses de perception matérielle qui est véhiculés par les neurones et l’électricité moléculaire, mais elle-même est-elle de consistance ou d’essence purement matérielle, ou se trouve t’elle tout simplement situé à l’extérieur du corps par une sorte de mécanisme de transcendance, et qui se situerait dans un autre plan d’existence (spirituelle, périsprit et âme) encore inexploré par l’homme.

À chaque parcourt neurale de l’influx nerveux, que se soit à travers les axones, les dendrites ou à travers chaque réseau et interconnexion de réseau nerveux. Il y a transmission et émanation d’onde électrique, magnétique et électromagnétique. Phénomène qui est causé essentiellement par le déplacement des électrons et des ions qui sont situés de part et d’autre de la membrane cellulaire et à travers l’espace synaptique situé entre les neurones. Créant ainsi des zones de polarisation et de dépolarisation électrique et magnétique, qui suivent les différents trajets de l’influx nerveux à travers les réseaux de neurones. Ce phénomène serait-il à la base de la conscience, lui servant en quelque sorte d’intermédiaire et ce situant en réalité sur un plan vibratoire beaucoup plus haut par rapport à notre niveau d’existence matériel. Et qui serait tout simplement inconcevable et imperceptible pour le niveau de conscience et de compréhension atteint par l’espèce humaine actuelle ! L’énergie dégagée et transportée à travers les neurones, les circuits nerveux et les réseaux neuraux, forme également une sorte de schéma radiatif et énergétique qui découle directement des différents processus de la perception consciente et des propriétés biophysiques du tissu cérébral, schéma qui est formé en parallèle à celui du monde neuronales. Pour l’instant tout cela ne sont que des concepts très hypothétiques, axés sur la véritable nature et consistance de la conscience. L’avenir avec de nouvelles technologies et de nouvelles découvertes fondamentales axées sur le fonctionnement du cerveau, pourront peut-être nous fournir un jour, un début de réponse plus satisfaisante.

Voici, pour conclure un petit résumé de la perception conscience, juste pour nous rafraîchir quelque peut la mémoire. L’influx nerveux rendu au niveau supérieur du système nerveux, subira différents traitements effectués en parallèle, pour y être analysé et associé par différents processus de la perception consciente. Faisant alors intervenir toutes les parties du cerveau dans une dense énormes d’influx nerveux synchronisés. Rendu à ce niveau, la véritable essence de la prise de conscience nous échappe toujours, et nous ne pouvons pas encore l’expliquer véritablement, cette étape de la perception consciente reste un mystère total. Ces différents processus nous permettent ainsi de prend conscience de la situation dans lequel nous nous retrouvons, afin d’agir à des stimuli par l’adoption de certain comportement volontaire et réfléchit face à une situation quelconque, ou par l’adoption de comportement plus instinctif ou inné.
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glevesque
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 Message Posté le: Ven 26 Jan 2007 2:04 am    Sujet du message:
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Conclusion non définitive :

Citation:
L'esprit percois donc le monde par l'entremise de son cerveaux et de l'intégréter fonctionnelle de celui-ci.

Les différents types de comportements qui sont reliés à la dominance, font donc partie intégrante de la nature humaine et ils nous ont suivies tout au long de notre évolution. Étant beaucoup plus instinctif et moins élaborer dans le passé, lors de la sortie de notre espèce de la grande période de noirceur, qui a été celle de l’animalité (Australopithèque par exemple). Ils ont tout de même évolué au même titre et de manière parallèle avec l’homme, et ils font désormais partie intégrant des plus profondes valeurs qui sont enfuient au plus profond de chacun de nous, caractérisant ainsi notre propre individualité psychologique par rapport aux autres. Les différents types de comportements reliés à la dominance, ont d’ailleurs été favorisé par l’évolution et la sélection naturelle des espèces, et ceci envers les différents phénomènes d’adaptations environnementales, qui pouvaient avoir une certaine forme de résonance aux niveaux de la conscience et sur le plan héréditaire. Il ne tient donc qu’à nous de favoriser l’expression de t’elles typent de comportements associés à la dominance. Et ceci selon notre propre volonté, nos différentes préoccupations sur le plan sociales et envers notre esprit de responsabilisation face à notre communauté et face à nous-même. Donc en fonction de nos différentes valeurs morales et spirituelles acquises et de l’intérêt que nous portons envers nos semblables sur le plan sociale et culturelle. Car le déterminisme de l’expression de t’elle comportement relié à la dominance, dépendra toujours des valeurs morales et des connaissances acquises au court de notre vie. Mais également selon certaines situations de stress et d’angoisse auxquels nous sommes confrontés parfois à l’intérieur de nos sociétés modernes, comme la criminalité violente et la guerre, ainsi que tout les autres petits bobo de l'humanité, pouvant influencer notre perception des choses.

Les différents processus de la perception consciente, peuvent également êtres altérés dans leur propre fonctionnement interne. Comme par exemple des effets ressentis par l’usage de certaines substances et drogue ! Ou encore par certaines lésions cérébrales pouvant êtres causés par des malformations congénitales ou génétiques, axés sur le développement du cerveau. Ou tout simplement de manière accidentelle, causée entre autre par certaine maladie infectieuse ou par des accidents, comme les cancers et les hémorragies cérébrales par exemple. La perception conscience d’un l’individu envers les différentes interprétations possibles du monde sensible, en provenance de son environnement extérieur et intérieur, peuvent ainsi êtres modifiés et altérés, selon les parties cérébrales qui ont été touchées par les lésions. Ainsi une lésion se trouvant dans l’aire associative secondaire du lobe occipital, peut influencer la reconnaissance visuelle et verbale des objets. Un individu ne pourra plus par exemple, prendre conscience d’une certaine réalité faisant parti de sa vie quotidienne, ou d’être tout simplement dans l’incapacité de l’extérioriser vers l’extérieur et dans son entourage.

L’incapacité d’identifier et de faire certaines relations pour extérioriser et coordonnée de manière consciente et rationnelle, une action à entreprendre. Démontre en réalité l’état du mauvais fonctionnement de certaine partie du cerveau, qui sont alors atteints par des certaines formes de lésions ou mal formation corticale. Elles peuvent êtres axés principalement sur l’une ou l’autre des trois étapes de la perception consciente, que nous venons tout juste de décrire. Ainsi la déficience intellectuelle provient d’un disfonctionnement associatif, causée par certaines lésions du néocortex cérébral, celle-ci fait donc partie de la deuxième ou de la troisième étape de la perception consciente. Toutes les formes de paralysie neuro-moteur, font partie de la troisième étape de la perception consciente, elles peuvent être causées entre autre par une lésion de la moelle épinière. Mais qu’en est-il vraiment de phase intermédiaire située entre la deuxième et la troisième étape, celle qui résulte en fait de la véritable prise de conscience d’un individu, ici il s’agit d’un mystère qui semble être étroitement en liaison avec le monde spirituelle !

D’autre région du cerveau peuvent êtres atteints par des lésions cérébrales et altérées ainsi la perception consciente de notre environnement. Comme certaines lésions situées dans la région de l’hippocampe du système lymbique, ou à l’intérieur de certaines aires d’association secondaire du néocortex (qui caractérise la mémoire associative neuronale et comportementale à long thermes). L’hippocampe est la partie du cerveau servant entre autre à la mémorisation d’évènements récent et à l’apprentissage (mémoire à court terme). Alors imaginer une t’elle situation appliquée à la vie de tous les jours, sans être capable de se souvenir du moindre événement qui vient tout juste de se produire, ou faisant appelle seulement à des souvenir ancien. Tout comme les personnes atteintes de la maladie d’Alzamer. L’état de conscience d’un individu envers l’interprétation qu’il fait de son environnement, dépend donc du bon fonctionnement de son cerveau et du bon développement de celui-ci. Certaines substances chimiques utilisées de notre industrie alimentaire, ont certains effets dégénératifs sur le cerveau, pouvant provoquer de t’elle effets à long terme sur l’homme d’un certain age. Ils s’agie entre autres de la presque totalité des insecticides et des pesticides, qui peuvent provoquer entre autre des maladies pulmonaires graves, comme lapse et certaine forme d’allergie. Mais que dire de l’aspartam, qui est utilisé comme supplément aux sucres naturels, et qu’on retrouve actuellement dans les bosons Diète sans sucre, et de bien d’autre produit de consommation alimentaire à large diffusion. Les gras transes et toutes les autres additifs pour la conservation des produits alimentaires.

Les différents types de comportements qui sont reliés à la dominance, ont évolué à travers toutes les différentes époques de l’évolution humaine et sont caractérisées de nos jours par des notions psychologiques plus spécialisés envers les différentes valeurs sociales, culturelles, morales, spirituelle et intellectuelles. Ces valeurs ont été acquises et nous ont influencé tout au long de notre vie présente, et ont été renforcées par l’acquisition et transmission de différentes valeurs sur le plan culturelle et sociale. Certains de s’est comportement, définisse en fait des sentiments plus ou moins incohérent envers le pouvoir et la convoitise, dont nous avons fait référence tout le long de ce chapitre. Et qui de nos jours, n’ont plus la même importance face à l’évolution et envers le bon fonctionnement de nos sociétés actuelles, étant même à certains égards très néfastes et très négatifs envers les intérêts collectifs et faisant face à un partage et à une distribution plus équitable et plus juste des différentes richesses et ressources de la terre. Tandis que d’autres types de comportements sont d’ailleurs beaucoup plus cohérents et beaucoup mieux adapter à notre situation planétaire actuelle. Démontrant ainsi un réel désir de trouver des solutions véritables et concrètes à ses différents problèmes d’injustices et d’iniquité sociale et ceci dans un esprit de coopération, comme le partage, l’altruisme, la charité, la compassion et la bonté etc… L’état des différentes conditions de pauvreté de nos sociétés actuelle, est donc caractériser par une forme d’échos, qui résulte d’une sorte de conscience collective. Celle-ci reflète l’expression de nos différentes valeurs morales et spirituelles sur le plan collectif, et qui nous sont retransmise d’une certaine manière, dans nos différentes sociétés par le pouvoir politique et public. Cet aspect de ricochait, nous démontre ainsi le niveau des valeurs acquises et exprimées qui est atteint par l’ensemble de la population d'une société. Nos choix collectifs et nos lois, sont donc très déterminant pour le futur progrès de l’humanité tout entière.

La prochaine étape de l’évolution du cerveau et de la conscience humaine, sera t’elle favorisée par un plus grand développement des valeurs d’ordre plus spirituelles, et basée sur la morale et la sagesse. Dont certaine partie du cerveau, semble bien vouloir favoriser l’expression sous forme de comportement d’ordre social et amical (Septum entre autre). Exerçant ainsi un meilleur contrôle sur nos différentes pulsions et désir, envers certaines émotions et instincts que la raison humaine n’arrive pas toujours à contrôler parfaitement. Il arrive même fréquemment que les instincts et les émotions exercent une certaine attraction dominante et incontrôlable sur la raison même d’un individu. La prochaine étape de l’évolution du cerveau et de l’homme, représente-t-elle plutôt une sorte de défi, qui est envoyé par la nature elle-même et dont l’être humain doit absolument relever, pour la survie de son espèce.

La conscience est donc loin d’être comprise dans s’est moindre détaille, et ceci envers ses différents processus neurologiques et envers les différentes régions cérébrales qui y sont étroitement associées de près ou de loin. Nous allons revenir sur le concept de l’énergie et de la conscience dans le prochain chapitre. Pour certaines personnes le siège réel de la conscience se situerait à l’extérieur du corps de l’être humain, lui étant cependant très étroitement relié. Ou étant tout simplement le résultat des différentes émanations des champs électromagnétiques et vibratoires, qui compose son activité biophysique. Mais tout ceci est une autre histoire, et soyons donc très vigilant dans les prochaines acquisitions et aux différentes recherches scientifiques dans ce domaine. Car pour les neurosciences, la conscience est le fruit purement et simplement de l'organisation et de l'activité cérébrale du cerveau.

La conscience est donc l’un des plus grands mystères de la création et de l’Univers. Venant tout juste après le mystère sur la véritable nature et consistance de l’énergie pris à l’état pur. Cette dernière semble être la véritable substance première, qui constitue toute chose de la nature qui se trouve à l’intérieur de l’Univers. La matière n’est qu’une des différentes formes que peut revêtir certains états vibratoires de cette énergie et ceci en fonction de certains de ses différents états d’équilibre sur le plan vibratoire et dynamique. Alors dans ces conditions, pouvons nous en conclure que la conscience n’est que l’une de ses différentes formes très complexes, que peut revêtire entre autre la matière-énergie dans ses différentes formes évolutives. Nous savons que la matière qui nous entour et qui nous composent, est constitués en réalité et en grande partie par le vide et en moindre mesure par de l’énergie pris à l’état pur. La matière est l’une des conséquences évolutives, qui découle directement de la manifestation des différentes lois de la nature qui gouverne et contrôle l’ensemble de notre Univers. Alors la conscience découle t’elle également des mêmes lois matérielles et spirituelles sur le plan évolutif des choses.

Les lois de la nature ont permis à la matière de s’associé sous différente forme moléculaire. Évoluant par la suite vers des structures minéralogique et organique de plus en plus complexe, ce qui a favorisé l’évolution et le développement de la vie, pour finalement aboutir à l’espèce humaine. Ayant comme principale caractéristique, la conscience de lui-même et du monde qui l’entoure et ceci de manière purement introspective et sensible.
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 Message Posté le: Ven 26 Jan 2007 2:05 am    Sujet du message:
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Précision Additionnelle sur l’Essence Psychologique de Basse :

Ce qui caractérise l'être sur le plan neurologique, et qui semble bien découler directement de l'action et de son niveau d'évolution spirituelle. Concerne le niveau structurel et organisationnel de base du cerveau, qui est dans sont ensemble évolutif et adoptif, mais que l'on modifie et modèle constamment à tous les jours. Le tissu cérébral est moulé en quelque sorte par les actions de la volonté d'un esprit, et ceci durant toute la vie d’un sujet. Comme substance, cela se définit sur le plan neurologique par l'Éthique psychologique et fondamentale d’un être (schéma neurologique de base et d'ordre plus instinctif) et qui définit nos valeurs les plus fondamentales qui sont cachées au plus profond de nous-même. C'est cette essence qui est modulé, influencé et dirigé par l’aspect culturel et social, et dont découlent directement nos comportements et conduites d’aspect moral et spirituel. Ces différents processus sociologie, cache directement en fait, les différents processus qu’effectue la raison, pour encadrer et contrôler par l’apprentissage, l’accès à nos comportements d'ordres plus instinctif et plus fondamental que l’évolution cérébrale nous a légués et qui serait incohérent en société. C'est par l'entremise de notre raison et de nos valeurs morales et spirituelles, que nous agissons et évoluons dans notre milieu, mais tout ceci concernes également des valeurs plus irrationnelles et plus subjectives, comme l'amour, la fraternité, etc... C’est dernier sont directement relié à l'action de l'esprit sur la matière et ceci par l'intermédiaire de son cerveau. Ils représentent le monde des sentiments, et de son aspect sensible qui est porter sur la perception et l'interprétation du monde qui nous entours.
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 Message Posté le: Ven 26 Jan 2007 2:05 am    Sujet du message:
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Résumé :

En gros ont perçois le monde extérieur avec les nerfs sensoriels qui composent notre système nerveux périphérique et cela jusqu'à la moelle épinière. Ici nous parlons de quelques relais synaptique pour la transmission de l'influx nerveux. Disons que cette première étape est assez rapide et qu'elle dépend du sens sensoriel qui est impliqué dans le mécanisme de la perception. Par exemple le nerf optique va être beaucoup plus rapide à la transmission de l’influx nerveux, que les nerfs plus périphériques, comme pour ceux qui sont reliés à la transmission de la sensation du touché par exemple. Disons en moyenne de quelque dizaine de milli-secondes sont suffisant pour parcourir le trajet, et du double pour le retour de l'information dans le cas d'une boucle réflexe, comme dans le cas du tendon d’achile situé sous le genou. Donc disons 10 msec pour l'arrivée de l'information nerveuse jusqu’à la moelle épinière et dans le cas du nerf optique, ce délais pourrait corresponde à l'arriver de l'information nerveuse aux niveaux des corps géniculé latérale qui se trouve de chaque coté du Thalamus. Le thalamus est une sorte de carrefour pour l’entrée des nerfs sensitifs et sensoriels du touché et de la douleur entre autres, qui se trouve et parcoure la partie dorsale et dorsaux-latérale de la moelle osseuse.

Un autre délais de 5 msec pour monter le long de la moelle jusqu'au Thalamus ou du lobe occipital pour les mécanismes neurologiques impliqués dans la vision. Nous sommes maintenant rendu approximativement à un délai de 15 msec, c'est déjà un bon délai. Après tout va dépendre du type d'information, mais pour que l'information se rende jusqu'à la conscience, il va falloire qu'elle soit traitées par les différentes parties du néocortex de manière simultané, et cela est un autre bon 20 msec environ. Car rendu a se niveau de notre analyse, il y a déjà plusieur type d'échange informel qui parcoure en parrallèle différents réseaux de réseaux de cellules nerveuses à travers le cerveau. Et tout son impliquer dans différents processus d'analyse et d'association de l'information perçut et traiter et retraiter dans tous les sens, par les différentes aires secondaires qui forme la mémoire associative comportementale à long terme, ou l'espace de travail. Une partie de celle-ci, et de plusieurs régions cérébrales du cortex, vont simultanément se dirige vers le lobe frontal et préfrontale (là ou siège les perceptions cognitives les plus hautes, volonté, concentration, abstraction, prise de discision etc...). Ici nous sommes rendues vers la phase finale des différents processus de la perception consciente. Tout sa, disons encor environ 20 msec, pour un totale de 35 msec.

En même temps, différentes formes de réponses vont être élaborer de manière parallèle et de manière simultanée aux autres types de traitement initiale de l'information nerveuse. Au fur et a mesure qu'avance le traitement de l'information nerveuse, les réponses fournis par les différentes formes de traitement cortical, vont-êtres tranquillement soit amplifier ou soit discriminer par toutes sortes de mécanisme et processus de synchronisation. Le tout est effectué par différent processus d'analyse et d'association croisée, situé dans différents réseaux et réseaux de réseaux de neurones et de par rapport à leur différent type et liens d'embranchement respectif. Cette étape est la plus mystérieuse de tout et correspond à une certaine prise de conscience, qui prépare par anticipation l'action à fournire ou a entreprendre au stimuli reçus. Bon ici nous discutons seulement du processus neurophysiologique de la prise de conscience, et non de l'essence même et de l’aspect sensible de celle-ci, qui reste encore le plus grand des mystères permis les mystères.

La réponse aux stimulis initiales, est maintenant en route pour être préparer à sa manifestation comportementale extérieure. L'info nerveuse est désormais associée à l'aspect émotif par d’innombrable relais qu'elle a déjà effectué dans le système limbique et plus précisément dans l'Amygale (associé à l'aspect des comportements émotif du corps). Celle-ci est passer également par les noyaux Lenticulaire, pour y être associé aux différents types de mouvement à entreprendre et pour coordonner les différents tissus musculaire qui seront associé à la perception spatiale du corps. Maintenant l'info se dirige vers le cervelet pour coordonnées et tonusifier tous les muscles qui seront impliqués dans le comportement qui sera adopter et sélectionné. Ici nous avons un autre 15 msec, dont au grand totale qui est de 50 msec, pour l’instant.

Bon tout cela est très approximatif, et entre 50 et 500 msec (1/2 sec) qui est associé au cycle de synchronisation gamma (30 à 150 MHz) et qui est attribué aux mécanismes biophysique de la conscience. Il y a tout de même une très grande différence. Mais en fait tout cela était pour expliquer et démontrer qu'il y a bien un décalage entre le phénomène perçus et l'adoption d'un comportement conscient. Mais il ne faut pas oublier qu’ils existent cependant plusieurs autres formes d’ondes cérébrales de synchronisation.

En fait toute matière est composé essentiellement d'énergie, la mécanique quantique nous dit également que tout objet matériel est constitué de champs d'énergie qui est représenté sous différentes formes d'états vibratoires et qui caractérise les différents états d'énergie des particules plus fondamentales lors de leur interaction avec leur milieu qui les entours (quarks et leptons qui représentent la famille des électrons entre autres). Le tout évolue par toutes sortes de mécanismes chimiques, physique et biochimique vers des structures cellulaires et neuronales de plus en plus complexe, pour aboutire finalement à l'étape de la prise de conscience (dont l'homme n'est pas le seul tributaire de cette caractéristique dans le monde du vivant). Mais celle-ci justement, est-elle vraiment juste le fruit d’une forme d’émergence ou d’immanessence quelconque qui serait alors attribuable et associé à l'activité électrique du cerveau (à la manière d'Aristote) et comme la science l'atteste actuellement (réductionnisme matérialisme), ou est-elle plutôt contrôler et manipuler de l'extérieur par différent mécanisme de transcendance qui est associé à l’esprit ( à la manière de Platon).

Voilà ou je veux en venir en fait, comment à partir de mécanisme fonctionnel purement d'ordre matériel et basé sur l'activité induite par une multitude d'influx nerveux qui parcoure à tout moment et en tous sens notre cerveau. Comment la conscience qui est d'ordre purement subjectif et à consistance plutôt d'ordre abstrait faisant parti du monde sensible et qui est axée sur l’interprétation consciente des sensations ! Comment celle-ci peut-elle tout simplement émerger et se dégager de son tissu fondateur à fondements et mécanisme purement d’ordre matériel, et représentant ainsi qu’une sorte d’émanessence qui serait alors appliqué à la fonctionnalité d’un système complexe. Ou serait-elle plutôt représentatif d’une forme de transcendance, qui impliquerait dans des liaisons et des échanges inter croiser d'énergie d’ordre spirituelle et plus fondamentale, et qui serait par exemple étroitement entretenu sous forme de résonance (harmonique électromagnétique ou éthérique) avec le tissu cérébral et ceci par l’intermédiaire du péresprit, composant le fluide vital qui est directement sous l’action de la seule volonté de l’esprit. La conscience peut-elle s’expliquer et se comprendre par l’une de ses hypothèses ?

Ce qui est troublant dans les différents processus de la conscience, ce sont tout ses attributs d'abstraction que se soit : de la pensée, de l’entendement de l’être, de l'imagination, de son aspect intellectuel qui est porté sur l'analyse, de l’auto interprétation et de l’auto projection des choses et dans le temps, du merveilleux monde des rêves, de l'intuition. Et ceci sans oublier son aspect de sensibilisation, qui traduit de manière compréhensible le monde réel qui nous entoure. En fait tout n'est que du domaine de sensibilité dans la perception des choses. Le cerveau et tous ses différents circuits neurologiques constitués de neurone, sont là pour transporter sous forme d'influx nerveux (courant d'électricité moléculaire) la perception du monde dans lequel nous baignons. Tous ces différents circuits neurologiques (réseaux de réseaux de regroupement de neurones branchés de différente manière en parallèles) nous permettent de nous manifester physiquement et d'inter agire avec le monde physique, par tout sortes d'action motrice et intelligible sur notre propre environnement immédiat.

La couleur, par exemple est un phénomène purement sensible et donc d'abstraction pure, tout comme tous les autres sentiments comme l'amour, la fraternité etc... Mais pour ce qui est des couleurs par exemple, et bien pour la nature il s'agit plutôt de phénomènes purement physiques ou vibratoires qui sont alors reliés aux différents phénomènes d'énergie. Ainsi les couleurs en dehors de leur perception sensible des choses, n'existe pas réellement dans la nature et en dehors du monde sensible.

Les neurosciences décrivent très bien à l'heure actuelle, les différents processus et les différents phénomènes neurophysiologique et biophysique qui sont impliqués et relier dans la perception consciente. Il s'agit de phénomène purement d'ordre physique et biologique qui sont relié aux différentes modes de transport de l'information nerveuses par les neurones et les axones-dendrites. Mais la science est entièrement muette sur l'aspect réel de la conscience comme t'elle, ou de la conscience d'avoir conscience de quelques choses (la conscience phénoménale). La conscience phénoménale est ce qui semble définir en quelque sorte, l'essence même de la conscience et du moi intime, et son origine fait intervenir une sorte d'interface qui se situerait alors entre le monde composé de matière à celui d’un autre monde qui serait de dimension plus spirituelle, et composé d'une substance faite d’une toute autre nature. Une sorte d'interface qui unirait le monde fait de matière avec celui des idées et de l'aspect intelligible des choses, de l'âme qui par le périsprit est unit à l'esprit et au monde spirituel. Le monde de matière et le monde de l'intelligibilité des choses, semble vraiment être fait de nature différente, l'un par rapport à l'autre. Mais d'aspect plutôt complémentaire dans leur manifestions et sur l’échelle constructale des choses de la nature.

Nous pouvons comparer cette nature d'aspect différente des choses à ceci. La matière est composer de champs d'énergie sur le plan vibratoire. Celle-ci s'associe en différant structure de plus en plus complexe par tout sorte de processus d'affinité structurelle et électro-physico-chimique, pour aboutire finalement à la complexité du cerveau de l'homme. Mais qu'est-ce que l'énergie pris dans son état la plus pure, et bien pour l'instant c'est le mystère le plus totale en science, qui ne fait pour l'instant qu'observer, mesurer et interpréter ses différents mécanismes interactionnels et les lois qui les définisses et sembles leurs attribués consistance et soutenir tout ça. Mes en gros on peut dire qu'il s'agit de phénomènes d'attraction et de répulsion (électromagnétique et autre). Et bien cette énergie pris à l'état pur, semble bien rejoindre en quelque sorte, les phénomènes et les notions qui sont d'ordres plus subjectifs et plus abstraits et qui sont portés sur l'essence même des choses de la nature. Au même titre d'ailleurs que l'essence même de la conscience d'avoir conscience ou conscience phénoménale (conscience d’avoir conscience de soi). L’objectivité des différents objets de la nature, ne viennes que de leurs différentes formes de relation qu’il entretienne entre eux, et non de la substance même qui définit une entité sur le plan matériel.

En fait les deux opposées de l'échelle constructive de la matière dans la nature, énergie pure qui compose toutes choses de matière et l'aspect de la conscience phénoménale, se rejoigne ainsi en niveaux d'abstraction subjective et interprétative qui compose le monde composé de perception sensible. Comme si nous y retrouvions en fait, la même nature fondamentale et substantielle qui représente et définit la naturalisation de l’échelle constructale de départ de la nature et celles de la fin constructive de l’échelle constructale qui est relié au cerveau de l'homme et qui caractérise son aspect conscient et intelligible dans un plan évolutif de la substance spirituelle. Deux choses aux dimensions si différentes et qui sont d’ordre purement abstrait, que la science actuelle a bien de la misère à définir et à interpréter. Il semble s'agire en fait, de la représentation d'une même et unique substance sur l’échelle constructale de la nature.
Les différents niveaux d'abstraction de la pensée et des différents sentiments de l'homme, ne semble pas être originaire du monde purement matériel, au mécanisme et fonctionnalité purement mécanique. Cela représente t-il un nouveau changement de paradigme en neurosciences, un nouveau paradigme qui intégrerait les principes de la conscience dans l’étude de l’évolution de la matière, et bien l'avenir nous le dira peut-être !

Tellement de question et pourtant si peut de réponse !!!
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glevesque
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 Message Posté le: Ven 26 Jan 2007 2:06 am    Sujet du message:
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Petit Résumé sur la Genèse du Cerveau :

Il y a plusieurs étapes dans le développement embryonnaire humain, mais ce qui nous intéresses ici ce sont les caractéristiques génétiques qui favorise le développement, la différenciation, la migration et la structuration des tissus qui forme les organes d'un organisme quelconque.

Dans un premier temps et après la fécondation de l'ovule (ovocyte), nous avons un premier stade de développement cellulaire qui est appeler morula. Il s'agit d'une étape de transition d'une durée de quelques jours, l'ovule initiale se multiplie en une vingtaine de cellules très compacte et sans effectuer de véritable différenciation cellulaire pendant son transite dans le conduit ovarien de la trompe de faloppe à l'utérus. Ensuite nous avons le stade blastula qui dure de 6 à 7 jours et qui correspond en gros à l'implantation de l’œuf aux parois de l'utérus. À l'étape de la gastrulation qui va suivre et qui va correspond aux véritables stades initiaux de l'organogenèse, et donc du début véritable de la différenciation cellulaire. L'embryon se développe et commence alors par former les trois feuillets de cellules (endoplasme, mésoplasme et exoplasme) qui participerons par la suite à constituer tous les organes et tissus de l'organisme par toutes sortes de différenciation cellulaire et qui seront sous le contrôle des gènes bien spécifique. Entre le 20iem et le 29iem jours de la gestation, nous retrouvons le stade principal de neurulation, ce stade correspond au début du développement du système nerveux central et périphérique qui se poursuivra alors jusqu'à la naissance et même toute la vie par la suite.

Durant tous ses différents stades de développement cellulaire et embryonnaire, certaine catégorie et de regroupement de gènes seront activités à des moments bien spécifiques et participeront ainsi à la différenciation des différentes structures cellulaire et nerveuse de l'organisme. Cet ensemble de structure génétique porte le non de gène homéobox de segmentation et de différenciation cellulaire. Ces gènes favorisent entre autres la communication intra et intercellulaire pour un groupe de cellules déterminées et par toutes sortes de protéines et d'hormones de croissances qui vont activer et favoriser l'activation de certaines séquences génétiques, celles-ci vont permettre la différenciation des nouvelles cellules souches en tissus quelconques. Les gènes de développement cellulaire contrôle ainsi le nombre de cellules nécessaire pour chaque organe du corps, et exerce toutes sortes de contrôle et de fil back rétroactif pour le maintient de l'équilibre de l'organisme et des tissus vivant, mais ils sont également assistés par d'autre type de gènes dans leurs travail.

Les prémisses du développement des tissus nerveux et des autres cellules d'organes du corps sont donc sous le contrôle des gènes. Un coût les trois feuillets embryonnaires sont bien mis en place, il se produit une sorte d'invagination de la membrane extérieure de l’œuf et l'infiltration de cellules mésoblasmique à l'intérieur de celle-ci, ce qui va favoriser la création du tube neurale. Le développement du cerveau commence donc ainsi en gros, en premier il s'agit de l'élaboration du cerveau reptilien qui est composée du tronc cérébral, de la protubérance, du cervelet et du diencéphale. Les partie les plus primitives du cerveau apparaisse donc en premier et par la suite va suivre le cerveau mammalien ou le cortex du système lymbique qui est relier aux émotions et pour finir nous avons le télencéphale ou le néocortex (cortex) cérébrale qui est le siège de la mémoire associative à longs thermes et de la perception consciente et sensible. En fait le développement de l'embryon et du fœtus retrace en quelque sorte les différentes étapes de l'évolution du règne animale jusqu'à l'homme.

La communication entre les cellules nerveuses est dirigée et contrôlée par des gènes qui favorise la production de ligands ou de récepteur membranaire, des canaux ioniques et de neuromédiateur servant d'intermédiaire entre celle-ci. En fait les gènes ne contrôlent pas directement les différents schémas associatifs des réseaux nerveux, mais les orientes de par leur affinité communicationnelle et de transmission de l'influx nerveux (leurs potentiels d'affinité et d’action). Des facteurs environnementaux peuvent également venir interférer au bon développement du tissu nerveux. Au début et jusqu'à la naissance des cellules nerveuses se multiplies et établis différentes jonctions et contactent entres-elles par l'intermédiaire de leurs axones et dendrites. Elles ne sont pas nombreuses au début entre les cellules et cette association définit en quelque sorte les différents schémas comportementaux et réactionnels qui sont d’ordres innés et instinctifs sur l'environnement.

Chez l'homme ce processus est très lent et se poursuit pendent toute l'enfance et même durant la puberté. Par contre à la naissance la division des cellules nerveuses subisse une chute drastique et quasi totale (sauf pour certaine partie du lobe temporale et de quelques autres régions du cerveau), et la matière blanche (axones et dendrites) commence à ce myélinisés en s'enveloppent d'une gaine isolante et protectrice. La pousse et les jonctions entre axones, dendrites et corps cellulaire des cellules nerveuses, favorisent l'établissement ou le renforcement de différent schéma mental et donc de caractéristique associative. Ces différents processus vont êtres favorisés par la sécrétion de certain facteur de croissances ou d'hormones. Ce mécanisme de sécrétion sert en quelque sorte de conduit pour la pousse des axones et dendrites qui s'orientent alors vers leurs cellules ciblent.

Ainsi les gènes contrôlent parfaitement la structuration et l'organisation générale de base des différentes parties fondamentales du cerveau et du corps en générale, mais n'intervienne que très peut dans l'établissement de différent schéma nerveux spécialisé, que par leurs axes de croissance qui est favoriser par leur secrétions de facteur de croissance et autres. Ainsi l'apprentissage survient par la répétition, qui favorise par renforcement le nombres des jonctions et des contactes entre différentes cellules nerveuses. Cela veut dire également qu'un clone génétique, n'est pas ou ne sera pas le double parfait d'un autre individu, mais représentera simplement la copies phénotypique de celui-ci.

En gros l'esprit peut influencer sur tous ses différents processus physiologique et chimique de développement et de différenciation cellulaire, mais il ne les contrôle pas en totalité et de manière objective.....

Référence suplémentaire : Le Cerveau a tous les niveaux
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glevesque
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 Message Posté le: Ven 26 Jan 2007 2:08 am    Sujet du message:
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Discussion associé :

Les Schémas Nerveux de la Conscience.
La conscience subjective existe aussi chez les animaux
Mécanique Quantique, Conscience ou Esprit !

Gilles
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