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glevesque Chroniqueur
Inscrit le: 13 Jan 2007 Messages: 2242 Localisation: Longueuil, Québec
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Posté le: Jeu 18 Jan 2007 1:43 am Sujet du message: Cordes, Dimensions Et Boucles |
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Salut
Cordes, Dimensions Et Boucles
(Théorie des Cordes et Gravitation en Boucles)
Plusieurs théories se fond actuellement concurrence dans le but d’unifié dans un tout plus cohérent, les différentes contradictions de la Mécanique Quantique (qui décrit la physique aux petites échelles) et de la Relativité Générale (qui décrit la gravitation de manière géométrique et relativiste aux échelles macroscopiques). Il s’agit d’un problème majeurs de la physique théorique actuelle, à savoir de fournir une description plus complète et plus fidèle de la réalité physique, et le tout pouvant inclure une description quantique de la gravitation (gravité quantique). La Relativité Générale et la Mécanique Quantique sont en effets incompatibles l’une vis-à-vis l’autre, et ceci en fonction de l’interprétation du temps quelle font de manière différentes. L’une veut quantifié le temps en très petite unité discrète, et l’autre veut que le temps soit l’expression d’un champs de gravité plus continu (continuum), comme trame ou tissus de font pouvant servir de support à notre Univers (avec l’espace).
Deux théories majeur sont actuellement en concurrence pour prétendre unifié ces différents concepts de la physique contemporaine. Il s’agit de la théories des cordes avec ses différentes versions (5 dans la théorie M) et de la théorie de la Gravité en Boucle. Le difficulté majeure pour unifier les concepts fondamentaux de la Relativité Générale et de la Mécanique Quantique, réside toujours dans la quantification du temps (une sorte de quantum temporelle). Mais avant de s’aventurer plus loin dans la compréhension de ces théories, il serait bon de mieux comprendre les différents concepts qui sont utilisés dans les différentes formes de représentation scientifiques, pour décrire et modéliser notre Univers et les différents phénomènes qui si trouves.
Dans un premier temps, qu’est-ce qu’une dimension, comment les physiciens interprètes t’ils le concepts de dimensions. Avant tout chose il faut toujours avoir à l’esprit, que les sciences physique travail et manipule des objets d’ordre mathématique, il s’agit d’un formalisme qui est utilisé pour modéliser les différentes représentation et interprétation des phénomène qui sont observés et mesurés. C’est un cadre de travail stricte, ayant pour objectif de modéliser sous différentes formes mathématique certains objets et phénomènes de la nature. Et tout cela afin de pouvoir effectués toutes sortes de prévisions sur les différents comportement future et possible d’un phénomènes analysé. Dans cette optique, une dimension en physique représente tout simplement certaine propriété d’échelle qui sont reliés aux objets étudiés, comme par exemple le mètre (une unité de mesure) est relié au kilomètre en faisant varier sa dimension d’un facteur 3. Voici un autre exemple pour le temps, le passage du temps (notion relativiste au grande vitesse) caractérise ses dimensions, comme pour les unité de mesure de seconde, d’heure et de jours.
Voilà, et c’est tout, la notion de dimension en physique mathématique veut tout simplement identifier un paramètres descriptif qui peut-être attribué à un objet comme propriété additionnelle ( ou pouvant varié comme comportement). L’espace, le temps et bien d’autre variable qui sont utilisés en physique théorique, sont en fait des objets mathématique qui encadre de façon dynamique (dimensionnelle) le comportement d’un objet ou d’un phénomène qui est observé et étudié, soit dans t’elle ou t’elle autre situation comportementale qui ce manifeste a nous. Par contre ces objets de dimension mathématique, encadre et interprète le comportement de véritable objet ou phénomène dans la nature, et cette fois-ci il s’agit véritablement de l’objectivité des objets ou des phénomènes étudiés en tant que cause dynamique de l’objet en lui-même ou du phénomène en lui-même (du pourquoi !), et non comme objet de mesure sur les effets et sur les différentes caractéristiques qui en découles lors de leur manifestation et lors de leur modélisation sous forme mathématique (formalisme mathématique). Ainsi les objets de temps et d’espace en relativité générale, ne décrives pas ces mêmes objets comme substance en soi (ou objet objectif de la nature), mais plutôt comme étant la ou les représentation(s) de certains effets qui sont caractérisés par leurs comportements dynamiques à l’intérieurs des champs de gravitation (la cause initiale) sous forme modélisé (interprétable) de courbure géométrique d’objet d’espace et de temps. Les objets mathématique, sert d’intermédiaire entre les mesures et les modélisation théoriques.
Il en est de même pour les objets identifiant l’aspect comportementale des particules en mécanique quantique (ou théorie quantique des champs). Que ce soit l’électron, le proton ou de toute autres type de particule ! Il s’agit et il s’agira toujours d’un ensemble de propriétés qui ont été attribué a des objets de dimension mathématique, afin d’identifier certain type de propriété et de comportements pouvant servir de modélisation et d’attribut. Qu’on à tout simplement identifie et regroupé par les différents types de particules (ou type de classement). Par contre ces objets d’ordres et de dimensions mathématique, modélise des objets réelles d’ordres objectifs à travers la nature, mais ces objets sont sous forme de champs d’énergie vibratoire, et nous ne savons pas encore qu’elle est leur véritable forme, consistance ou encore la nature même de cette énergie de champs et de matière. Mais différents états vibratoire de la matière peut exister sous forme de différents états vibratoire éthérique, donnant ainsi l’impression de différentes dimension que peut prendre la matière.
Voilà pour ce qui en était des concepts de dimension et de variable qui sont attribués aux différents formalismes mathématique en physique. Maintenant il est temps, avant d’aller plus loin et de faire un bref résumé de la Relativité Générale et de la Mécanique Quantique ! Cela nous sera très utile par la suite, dans ma tentative d’explication de la théories des cordes et de la gravité en boucle.
La Relativité Générale :
La relativité générale a été élaborée en 1915 par Albert Einstein. Cette théorie d’ordre géométrique, c’est-à-dire qu’elle est axée sur une métrique qui courbe l’espace-temps (comme trame de fond ou tissus d’Univers) et qui devient par le fait même, la représentation du champs gravitationnelle en relativité générale. Elle bannie à tout jamais les vieux concepts absolus d’espace et de temps de la mécanique céleste de Newton, mais qui reste cependant toujours valable aux vitesses non relativistes (aux vitesses normales). La gravitation ne sera plus jamais interprétée ni représentée par une force comme les autres. Mais devient en réalité un concept plus subtil, qui est relié à la masse des corps et de leurs actions directes sur la déformation de la courbure géométrique (champs gravitationnel) de l’espace et du temps (objet mathématique qui représente les effets sur le tissus d’univers, et non les substances comme t’elle d’espace ou de temps, ou la cause en soi !) et le tout évolue à travers des intervales (référentiels) à coordonnées géométriques à 4 dimensions de type Minkowski (z,y,x,t).
Cette courbure est directement relié à l’invariance (qui ne change pas par changement de coordonnés) de la vitesse de la lumière et pour tout les repères d’observation (référentiels), car rien ne peut la dépasser la vitesse de la lumière, étant devenue une constante absolue en relativité, et les lois d’adition des vitesses de Galillée ne fonctionne plus aux vitesses relativiste (vitesse proche de la lumière). C’est a cause de cela que chaque reperd d’observation subit les contractions des distances et les dilatations du temps de Lorentz (procédé de covariance et formulation lagrangien). Le tissu spatio-temporel de l’Univers est ainsi déformé par la seule présence de matière (de masse) et d’énergie (accélération), qui devient en relativité générale de la matière-espace-temps dynamique, et substance première du champs gravitationnel. La courbure de l’espace-temps ainsi créé, va désormais influencer la trajectoire des ondes électromagnétiques et de la matière, leur faisant ainsi suivre des trajectoires géodésiques, qui représente la distance la plus courte entre deux points dans une géométrie d’Univers à espace courbe.
Tout comme pour la relativité restreinte, la courbure de l’espace est étroitement associée et reliée à celle du temps dans une relation de proportionnalité V/C, et relative pour chaque référentiel d’observation (le C indique la limite absolu et donc du taux d’énergie maximum que peut acquérir les particules de matière à travers la formule E = MC exp 2 ). Les ondes gravitationnelles qui ont pour effet de courber l’espace et le temps, sont représenté en mécanique quantique par le graviton, et voyage à travers l’Univers à la vitesse de la lumière. La relativité générale détermine et explique à elle seule la véritable géométrie de l’espace, qui sans la présence de matière-énergie ou de matière-espace-temps, ne pourrait tout simplement pas exister, tout comme l’Univers d’ailleurs. Elle est responsable de toutes les formes et de toutes les dimensions véritables des objets célestes, comme les objets planétaires, stellaires et galactiques de notre Univers. La gravitation est d’ailleurs la seule et véritable interaction de la nature qui est responsable de la structure de l’Univers, et qui définit le monde macroscopique de l’infiniment grand. La relativité générale est un concept mathématique de géométrie variable de l’espace-temps, qui est appliqué aux masses et aux accélérations, et de leurs différentes interactions gravitationnelles.
La matière-énergie, c’est-à-dire les atomes et les autres particules de matières, comprime tout autour d’eux en quelque sorte, le tissu Universel d’espace-temps, et déforme ainsi la structure géométrique de l’espace. Ainsi un corps qui tombe en chute libre sur la terre, ne subit pas de force gravitationnelle comme t’elle, mais subit plutôt l’influence de la courbure géométrique du champs gravitationnelle. Ce qui a pour effet d’accélérer les corps en chute libre, par des changements très brusques de référentiel de courbure géométrique à densité variable du tissu espace-temps qui l’entoure. Comme si l’objet se déplaçait en fait à la même vitesse en se rapprochant de la terre, mais à travers différent intervalle de temps et d’espace. Ainsi le temps nous semble passer plus rapidement à la surface de la terre qu’en orbite autour de celle-ci et à vitesse plus grande. (mais cela est causé par les variations des différents états vibratoires des particules ou champs de matière qui acquière des niveaux d’énergie supplémentaires)
La Mécanique Quantique :
En Mécanique Quantique, toutes les particules sont représentée par différents états des champs d’énergies (Dirac qui intégra la relativité restreinte dans les équations de Strõdinger en 1927). Ces champs d’énergie son soit sous la forme d'onde de champs stationnaire (fermion) pour les particules, et bien localisés dans l'espace (découlant des équations d'onde sur la matière de De Broglie en 1924). Ou bien comme étant des ondes (beson) qui transporte et véhicule les interactions (information causale) à distance à travers l’espace. Les interactions sont encadrées par la constante h de Planck (1900), qui représente la plus petite action possible que l’on peut effectuer sur la matière Il s'agit du principe de base de la Mécanique Quantique, c'est-à-dire de la dualité onde (Maxwell/Planck) et corpuscule (Newton/Einstein). Mais en fait, il ne s'agit ni de corpuscule et ni d'onde, mais bien de champs d'énergie pris sous différente forme d'état quantique ou quanton (Jean-Marc Lévy Leblond). L'objet mathématique quantique encadre sous forme de statistique, un ensemble de probabilité, et les différents comportements de la matière son alors représenté sous la forme d’un vecteur d'état ou de fonction d'onde, mais ce modèle n'est pas en même temps l'objet même qu'elle étudie et veut interprète, mais juste une modélisation de ce dernier. La forme repliée et stationnaire des ondes de matière ou fermion, explique ainsi le principe d'exclusion de Pauli (formulé en 1924). Les fermions de spin ½, ne peuvent pas ce superposer dans le même espace, tendit que les besons de spin entier le peut (comme pour les interférences). La mécanique quantique encadre le comportement de la matière-énergie (particule et onde) et non son déplacement à travers l'espace (Hamiltoniens).
Il existe un paradoxe en mécanique quantique (en réalité il s’agit d’un faux paradoxe), il s'agit cette fois-ci de la coexistence simultané (superposition) de différents états quantiques d'une particule ou d'une onde par exemple, elles peuvent êtres dans un état exciter et non exciter en même temps (principe du chat de Strõdinger sur l'évolution du formalisme de De Broglie dans le temps et l'espace d'une onde de matière, formulé en 1926). Il s'agit de la cohérence quantique qui n'existe pas dans le monde macroscopique, c'est-à-dire qui est situé à notre échelle, et ceci à cause des différents processus statistiques de décohérence qui brouille le tout quantique en générale aux plus grandes échelles. La supraconductivité et l’hyperfluidité de l’helium au très base température, sont par exemple de très belle exemple de ses propriétés quantique qui est situé à notre échelle.
Il y a aussi le phénomène de la non-localité quantique, introduite par l'indétermination ou l'incertitude (ou encore imprécision !) d'Heisenberg (introduit en 1926). Ce dernier postulat que la mécanique quantique, nous indiquent clairement qu'il est impossible d'obtenir la position et la vitesse d'une particule et ceci de manière simultanée, mais soit l'une ou soit l'autre à la fois. La vitesse d'ordre relativiste des particules lors des interactions et les différents procédés et délais intermédiaires de mesure en son la cause principale. Mais qu'est-ce que cela veut bien dire en définitive ? Et bien que nous savons strictement rien sur les véritables causes fondamentales de ses phénomènes. Lors d’une excitation d'une particule par exemple, une particule de matière va réagire en émettant une certaine onde d’énergie tout autour d’elle, pour retomber par la suite dans un état de stabilité plus stable ou fondamentale. Cette onde peut-être une onde électromagnétique comme la lumière, ou d'un autre type (mésons, gluons, graviton) et va transporter au loin l’énergie et l’information causale de l’interaction.
Mais voilà, cette onde n’est pas de nature matérielle et on ne peut pas savoir ou décrire à l’avance, ses différents comportements (que j'ai cités plus haut). On interprète et schématise donc tout cela, statistiquement, sous forme de probabilité ayant la forme d’une onde sphérique qui englobe la particule émettrice (interaction), et celle-ci va croître dans l’espace à la vitesse de la lumière. L’amplitude représente alors la plus forte concentration de l’onde de probabilité du champ d'onde d’énergie, qui croient et qui s’éloigne de la particule initiale à la vitesse de la lumière. Un jour ou l’autre, cette onde va interagire à nouveau avec une autre particule de matière, et cette réaction va déterminer a elle seule la réduction instantanée et indéterministe de l’ensemble statistique des amplitudes de probabilités (l'émergence du pseudo hasard), qui était associé à la propagation de l’onde initiale dans l’espace.
Cette réduction instantanée du paquet d’onde, va nous fournir enfin, la trajectoire incidente et la quantité réelle d’énergie qui était alors contenu dans le système avant l’interaction. Il est à noter que le photon est la matérialisation de l’aspect corpusculaire d’une onde électromagnétique lors de son interaction, et c’est cette caractéristique entre les champs d’énergie quantique qui donne une certaine consistance matériel aux particule de matières. Ainsi en science, nous pouvons déterminer et interpréter le comment de la manifestation d’une interaction, mais nous ne savons rien de plus concernant l’essence même des particules ou des ondes que nous étudions et ni du pourquoi il interagisse entre eux, sauf a partire de certaine de leur caractéristique interactionnelle. L’Univers nous cache donc encore ses plus grands secrets. Maintenant revenons à la théorie des cordes et la théorie de la gravité en boucle !
Théorie des Cordes et des Supercordes :
Pour unifier la relativité Générale avec la Mécanique Quantique, il fallait donc pensé a un nouveau cadre mathématique et théorique pour quantifier la gravitation à travers une théorie plus globale et plus générale pouvant quantifier le temps, et ceci dans le but de donner une théorie quantique de la gravitation plus générale (ou quantum du champ gravitationnel). La théorie des cordes ou des supercordes, est très complexe, elles regroupes en fait 5 théories différentes en plus de la supergravité de Kazula-Klein (théorie classique et non quantique). Voir le tableau plus bas.
Le tout débute en 1919, quand Théodore Kazula cherche à unifier la relativité général avec les champs électromagnétisme de maxwell, il invente alors la théorie électromagnétique de la gravitation fondé sur les bases de la relativité générale. C’est-à-dire :
- Les lois physiques s’exprimer partout de la même manière et pour tout observateur.
- La vitesse limite est constante pour la transmission des signaux.
Puis en 1927, Oskar Klein introduit la formulation quantique à la cinquième dimension de Kazula, en la referment sur elle-même. A partir de cette nouvelle dimension, la gravité se transforme en champs électromagnétique pure et vis versa, l’électromagnétisme apparaît comme le "reflet" de la gravitation dans cette cinquième dimension. Cette cinquième dimension, est représenté par un espace qui est enrouler sur lui-même, et à la dimension de Planck (10 –35 m). Cette théorie a cependant des inconvénient, car elle présente toujours des singularité, ou des infinis. La cause profonde de la plupart de ces infinis, est le caractère continu de l'espace-temps, pouvant servire de cadre de fond. Mais le signale d’une grande théorie de la gravitation quantique, avait été donné par les travaux de Kaluza-Klein.
Pour résoudre les difficultés conceptuelles des théories de Grande Unification et aussi pour enlever les contraintes qui sont reliées à certaines interprétations de la physique quantique, comme pour les univers multiples de Levrett qui sont associés aux différentes probabilité de la réduction du paquet d’onde, et aussi pour abolire les singularités (les infinis) dans la relativité générale. La toute première version de la théorie des cordes va faire son apparition dans le début des années 1960 (Veneziano 1968), il s’agit d’une théorie qui est fondé à partir d’une unité fondamentale qui est étendue à travers l’espace, à l’image d’une corde (celle-ci devient une "supercorde" dans la théorie M ou des supercordes). Initialement la théorie des cordes comportait plus de 26 dimensions, dont 22 était repliés sur elle-même dans un espace très court de l’ordre des dimensions de Planck, et ceci afin d’encadrer la quantification de la gravitation (c’est-à-dire la quantification du temps). L'avantage de ce concept est de représenter les particules comme les modes de vibration de cordes et de supprimer du même coup le problème des infinis (singularité), puisque la corde ne peut vibrer que sur certains modes. Les quarks étaient situé a chaque extrémité de la corde
Par la suite la théorie des supercordes et la théorie M (découverte par Edward Witten en 1995), et qui les englobes tous, vont faire leurs apparitions à partire du concepts de supersymétrie et de membrane (M) au lieu de corde. La supersymétrie stipule tout simplement qu’à chaque particule il y a des anti-particules, et que fermion et beson sont symétrique entre eux. La théorie M des supercordes est composé de 10 dimensions (11 pour la supergravité), soit 3 d’espace, une de temps et 6 dimension enroulé sur des surfaces unidimensionnelle pour tenir compte des quatre interactions. Mais ces autres dimensions sont inconnues. Il a donc fallut reprendre le concept de compactification pour les enrouler jusqu'à l'échelle de Planck, seule solution pour les soustraire de la réalité. C'est bien sûr un artifice, et rien ne dit que la nature fonctionne ainsi. Ce serait même très étonnant.
Citation: |
M-Théorie
(théorie des supercordes à supersymétrie de 10 dimensions)
- Supergravité
Kazula-Klein(11 dimensions)
- I
cordes ouvertes ou fermées, symétrie chiralité Groupe de jauge SO(32)
- IIA
cordes fermées uniquement, symétrie non-chiralité
- IIB
cordes fermées uniquement, symétrie chiralité
- HI (Hétéroclyte)
cordes fermées uniquement, hétérodicité, symétrie chiralité Groupe de jauge E8×E8
- HII
cordes fermées uniquement, théorie hétérodicité, symétrie chiralité Groupe de jaugeSO(32) |
Dans toutes les théories des cordes, les charges associées aux forces (la charge électrique par exemple dans l'interaction forte) résident si l'on peut dire au point terminal de la corde. A l'inverse, dans les théories hétérotiques, les cordes ne sont pas terminées, il s'agit de cordes fermées sur elles-mêmes sur lesquelles ou autour desquelles on peut imaginer trouver les charges. L'électron serait ainsi "matérialisé" par la fréquence de vibration et les degrés de liberté d'une corde fermée, en fait par son mode de plus basse énergie, à la limite celui dans lequel la corde ne vibre pas du tout (la réalité est en fait plus complexe que cela et à un mode de vibration particulier d'une corde dans l'espace correspond un ensemble de particules et non pas seulement une seule particule). (Wikipedia)
La théorie M (p-dimensions ou "p-branes"), considère que notre univers à 4 dimensions n'est qu'une représentation d’une D-brane se déplaçant dans un univers à 10 dimensions. Fermions usuels et bosons seraient des modes d'excitations de cordes ouvertes à 10 dimensions dont les extrémités, attachées à notre D-brane, s'y déplacent en nous apparaissant sous la forme des particules. Le graviton correspond, lui, à une corde fermée et il n'est pas attaché à la D-brane: il se déplace en 10 dimensions. La conséquence est que l'intensité des forces de gravitation, ressentie à 4 dimensions, est beaucoup plus faible que ce qu'elle est "réellement" en 10 dimensions. (troue de vers et chaque D-brane représenterait des univers différents et donc multiple)
Dans la théorie des supercordes, l'univers à 10 dimensions peut présenter des dimensions à la fois étendues ou enroulées sur elles-mêmes. Ces branes représentent des états d'énergie à l'image des ondes et des particules dans la théorie "classique". Certaines se présentent comme des membranes (p-brane), des feuilles (2-brane) ou des cordes ouvertes ou fermées (1-brane). Ce sont leurs interactions mutuelles qui créent les phénomènes que nous observons, les particules, les singularités de l'espace-temps ou le confinent les forces. Ce n'est que lorsqu'elles s'enroulent sur elles-mêmes, qu'elles se "matérialisent" sous forme de différentes p-branes, créant des champs, des ondes tantôt représentées par les particules, tantôt par les interactions qui se manifestent entre elles. Mais les théories des supercordes et la théorie M, ne sont pas totalement complète. Elles sont basé sur une trame de font non quantifié d’espace-temps continue. Ce qui ne fait pas de véritable théorie de la gravitation quantique, n’ayant pas quantifié le temps. Pour ce faire elle utilise une voie dérivé par l’entremise de la super gravité !
Théorie de la Gravité en Boucle :
Il existe une autre théorie, et c’est la gravité en boucle (1960) qui est représenté par des petites boucles et leurs dynamiques au dimension de Planck (et non par des cordes ou des membranes). Une bonne image pour ce représenté la structure de ces petites boucle, serait par une veste constitué d’émaille de fer en forme d’annaux de clef, un peut comme pour les anciennes armures des chevaliers. La gravité en boucle n’a que 4 dimensions dans son formalisme mathématique, soit trois d’espace et une de temps, et les petites boucles ne représente pas un tissus de fond d’espace-temps, mais bien une sorte de quantification des constituants les plus fondamentaux de la nature. La forme des boucles, n’est qu’une image, car en fait cette forme veut représenter les limites interactionnelles qui existent entre les boucles avec leurs semblables. Les boucles constitueraient les plus petites unité interactionnelle, pouvant donner corps et substances à la manifestation des phénomène matériel et sur les échanges d’énergies dans notre univers (elles se regroupes pour formé les quarks, les électrons et les neutrinos). La gravité en boucle, se base essentiellement sur les aspects réactionnelles et les échange sur le plan vibratoire, c’est une théorie basé sur les relations et les inter relations de la matière-énergie au niveau de Planck, plus besoins de la supersymétrie. C’est la théorie qui semble vouloir s’approché le plus de la gravitation quantique (à mon avis !).
En gravité en boucle, il n’est plus question d’espace et de temps comme unité de base ou tissus de fond pour décrire les champs (interactions) gravitationnels, et autour de lequel l’univers serait construit. Certains ont même avancé l'idée de supprimer complètement la notion d'un espace-temps sous jacent ou supportant les phénomènes et leur servant de cadre de référence, et de ne retenir que les relations entre objets, (comme Leibniz, Mach, Kant (comme objet d’intuition ou d’a priori dans l’esthétique transcendantale), Bergson ou Penrose). L'objectif est alors de construire une physique sans espace-temps, ou plus exactement dans laquelle l'espace-temps n'apparaît que comme une limite de la théorie à grande échelle. Car là ou il y a des singularités (des infinis), il ne peut y avoir de quantification de la gravitation, et la quantification du temps en supercordes travail toujours avec ces points infinis très mystérieux ! Les champs gravitationnelles seraient ainsi créé a partire de la densité relationnelles qui est représentés par ces très petites boucles.
L’influence des champs de gravitations sur la matière serait également induit par toutes sortes de mouvement de rotation, qui serait reliés à l’accumulation et à l’influence des spins de chaque boucle (mousses de spins de Penrose de 1964).
Le temps et l’espace comme substance ou trame de fond (le tissu universerl) des champs gravitationnels, ne serait a fait que le fruit d’une illusion qui est portée par l’extrapolation objective et représentative des mêmes variables qui sont utilisé comme objets du formalisme mathématique en relativité générale ! D’ou découle la quantification du temps dans les différentes théories de la gravité quantique (sauf pour la gravité en boucle).
Et voilà, c’est tout pour ce petit résumé !
Références et informations complémentaires :
Théorie des cordes (Wikipedia) :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Th%C3%A9orie_des_cordes
Gravitation quantique à boucles :
http://fr.wikipedia.org/wiki/Gravitation_quantique_%C3%A0_boucles
Introduction à la théorie des Cordes (PDF) :
http://atoll.inria.fr/~sagot/pub/EA1.pdf
La théorie des corde (PDF) :
http://sciences.ows.ch/physique/TheorieCordes.pdf
Gravitation quantique (de Carlo Rovelli ) :
http://www-cosmosaf.iap.fr/gravitation%20quantique.htm
La gravitation quantique :
http://cdfinfo.in2p3.fr/Culture/Cosmologie/cosmoquant.html
Théorie des Supercordes :
http://www.techno-science.net/?onglet=articles&article=28
Gilles
Dernière édition par glevesque le Jeu 18 Jan 2007 4:16 am; édité 1 fois |
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Elie l'Artiste Animateur-moderateur
Inscrit le: 12 Jan 2007 Messages: 2914
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Posté le: Jeu 18 Jan 2007 3:07 am Sujet du message: |
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Superbe exposé Gilles. Bravo!
Amicalement
André lefebvre _________________ Selon Einstein, il n'existe que deux choses dans l'univers: 1) l'énergie cinétique et 2) l'énergie de masse. Selon moi, une seule chose le mouvement qui les produit. |
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vinety Invité
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Posté le: Ven 19 Jan 2007 11:48 pm Sujet du message: Re: Cordes, Dimensions Et Boucles |
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Salut Gilles
J'apprécie au plus haut point ton exposé sur les nouvelles théories sur l'univers qui sont présentement à l'étude et près d'être testées.
J'ai comparé "La théorie de la gravité en boucle" avec celle d'un compatriote québécois "Gabriel Lafrenière", et je suis surpris de constater les mêmes similitudes de langage entre la première et celle de G.L.
Lui parle de l'électron comme l'élément de base de l'univers.
http://www.glafreniere.com/matiere.htm
Gilles, as tu déjà visualiser son site? J'aimerais avoir ton opinion sur la théorie de notre compatriote.
Amicalement
Yves Vinet |
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glevesque Chroniqueur
Inscrit le: 13 Jan 2007 Messages: 2242 Localisation: Longueuil, Québec
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Posté le: Sam 20 Jan 2007 1:13 am Sujet du message: |
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Salut
Oui, j'ai déjà visité ce site. Les schémas sur les ondes sont extraordinaire. Je suis également de son avis à propo de la matière est faite d'onde, qui représente en fait l'énergie vibratoire, ou onde de matière stationnaire de De Louis de Broglie, car en fait seul leurs interaction (onde stationnaire et onde ouvertes/photon/beson) définit la matière et ses propriétées (en tent de dureté et d'objets distints/type). Mais j'avoue ne pas vraiment connaitre la profondeur de sa théorie, il me faudrait un simple petit résumer, pour savoir dans quel direction elle s'oriente.
Que veut-il dire par la matière est fait d'électron ou comme éléments de base, par exemple !
Je vais relire un peut ce qu'il présente un peut plus tard, et je te revienderai l'a dessus, mais a première vut cela semble bien intéressent !
En fait, l'onde représente une chose qui nous est innaxéssible en tant que définition d'objet, sur le plan de notre conscience actuelle ! (mais passons !), c'est pour cela que la seul approche est via leurs modèlisation sous forme comportementale en MQ. (pour l'instant mais les chose peuvent évoluer !)
Gilles _________________ Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
------> Les Panoramiques Martiens <------ |
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glevesque Chroniqueur
Inscrit le: 13 Jan 2007 Messages: 2242 Localisation: Longueuil, Québec
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Posté le: Sam 20 Jan 2007 3:17 am Sujet du message: |
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Salut
Citation: |
L'enveloppe se contracte.
Malgré la dilatation de la longueur d'onde selon Lorentz, on observe que les nœuds et les anti-nœuds qui déterminent l'enveloppe se contractent plutôt, selon le facteur de contraction, exactement comme le prévoyait Lorentz.
L'amplitude augmente selon la vitesse, et donc la masse de l'électron augmente.
Source : http://www.glafreniere.com/electrons.htm |
Très intéressent ici, il semble vouloir indiquer qu'une ondes stationnaire se contracte et non le tissus ether/virtuel de temps et d'espace qui l'entoure ! Yes !!!!!! (malgrer que que l'onde influence aussi sont milieu immédiat, mais passons !)
Toujours a la même page.
Citation: |
L'ÉTHER VIRTUEL À LA RESCOUSSE
M. Philippe Delmotte.
L'Éther Virtuel est une invention géniale de M. Philippe Delmotte, faite en juin 2005. Il s'agit d'un médium virtuel informatique capable de reproduire n'importe quel phénomène ondulatoire. Le programme présume que l'éther est fait d'un nombre quasi infini de « granules » ayant la propriété de vibrer selon la loi de Hooke, ce qui suppose une énergie initiale et une inertie qu'on peut assimiler à une mémoire. Ces granules peuvent aussi communiquer leur énergie aux granules voisins.
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Ici on retrouve les prémisse de la gravité en boucle, et donc pas d'espace ni de temps comme ether virtuelle ou trame de fond au tissus Universelle ! Cette formulation d'ether peut impliquer les phénomène d'interférences ! Je m'explique un peut :
Citation: |
Pour mieu comprendre la gravité en boucle, il faut immaginer un énome jeux composée de bille de grosseurs différentes avec des petits crochet sur leur surface. Les bille représente alors les différents objets de matière selon leurs grosseurs, soit les préquarks (symbolisant les particule fondamentale (ou boucle) aux dimensions de planck, ou a peut près), les quarks, les électron et les nucléons (résulte de l'association de 3 quarks) sont former par l'association des bille les plus peites. Maintenent on brasse le tous
Ici les champs électrique, vont-être symbolisé par les liaisons avec les bille (ou groupement de bille de même grosseur, qui représente les nucléons) et les crochets situé à leur surface. Un trous laisser libre, représente la polarité positive, qui va forcer la mécanique de l'ensemble et par gravité (ou sorte de mouvement brownien d'entrainement sur l'équilibre statique) a avoir tendence a combler cette espace laisser libre (champs de potenciel vide ou de polarité positive), une bille de bonne dimension peut si installer, elle représentera alors la polarité négative ou l'électron (champs de potenciel plein ou de polarité négative), l'aspect cinétique relier au mouvement d'entrainement de l'ensemble des bille du bocale, représentera alors le parcourt des lignes du champs magnétique (vers un champs vide qui attire ou un champs plein qui éloigne), et les champs électrique et magnétique représente en fait les champs (ou les interactions) électromagnétique.
Bon, j'espère que mon exemple est quelque peut compréhensible |
Par contre ici : (à la fin de la même page)
Citation: |
Soyons clairs : les ondes électromagnétiques n'existent pas |
c'est un plus dure a comprendre ou il veut en venir, mais je poursuit ma lecture ! _________________ Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
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Dernière édition par glevesque le Sam 20 Jan 2007 6:09 am; édité 1 fois |
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glevesque Chroniqueur
Inscrit le: 13 Jan 2007 Messages: 2242 Localisation: Longueuil, Québec
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Posté le: Sam 20 Jan 2007 4:28 am Sujet du message: |
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Salut
Voici ce que j'ai trouver au milieu de la page trois, de très intéressent !
Citation: |
1 - La contraction de la matière.
Ce point a déjà été démontré. Les ondes stationnaires se contractent selon leur vitesse et par conséquent la matière qui est faite d'ondes stationnaires se contracte aussi.
2 - Le « ralentissement du temps ».
Les animations montrées plus haut n'ont pas tenu compte du ralentissement de la fréquence pour ne pas brusquer les choses. Idéalement, il faut donc programmer l'ordinateur de manière à ce que la cadence des ondes soit ralentie selon les prévisions de Lorentz.
Ce n'est pas une astuce pour « forcer » les ondes stationnaires à se comporter comme Lorentz l'a montré. En fait, c'est à cause de l'électron que tout se passe de cette manière. Le « ralentissement du temps » est un abus de langage. En réalité c'est la vitesse d'évolution de la matière qui ralentit, et par conséquent ce n'est pas le temps mais bien les horloges qui ralentissent.
Source : http://www.glafreniere.com/ondes.htm |
Ce qui diverge avec la Mécanique quantique et la relativité ici, c'est le fameux postulats de la ponctualité des particules fondamentale (de leurs singularité). Mais il est vrai qu'avec des champs, ou des grandeurs de champs stationnaire pour représenter les particules fondamentales, et bien ce prostulat n'existe plus ! Yes Yes !!!!!
Citation: |
Ce phénomène est lié à la nature de l'éther, qui a une limite dans l'infiniment petit. Ce pourrait être parce qu'il est granuleux. |
Encore une référence a la gravité en boucle ! _________________ Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
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glevesque Chroniqueur
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glevesque Chroniqueur
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Posté le: Sam 27 Jan 2007 2:53 pm Sujet du message: |
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Salut
Les cordes vibres, et cette vibration représente un mode identitaire pour les différentes particules. Cette identitaire est situé à l'extrimité des corde (les quarks) qui débouche sur notre dimension, ou D-brane d'univers à 4 dimension ! Mais les cordres sont former de 7 autres dimensions spatiale, qui sont enrouler sur elle-même à l'échelle de planck, et qui ne se manifeste pas dans notre dimension d'univers ou qui ne le traverse pas.
Alors ces 7 autres dimensions spatiales, vibres et rentes en osciallions entre elles et avec aussi les 3 dimensions spatiale de notre dimensions d'Univers. Tout cela engendre des interaction très complexe sur les différentes mode de vibration. Les écos vibratoires de toutes ces formes d'osciallion d'énergie-vibratoire (onde stationnaire de De Broglie), entre les dix dimensions spatiales des cordres (plus une de temps). Enjendre des harmonies vibratoire, des interférences qui fait émerger des mode d'association vibratoire différentes. Notre D-brane ou membrane d'univers composé de 3 dimensions spatiale plus une de temps, serait tout simplement l'émergence de l'une de ces formes de manifestation, sous forme d'harmonie d'oxsciation vibratoire (l'énergie cinétique de forme stationnaire). Cela représenterait alors qu'une simple forme de dimensions qui seraient relié aux différentes formes d'émergences de ces mode d'association vibratoire.
Notre D-brane, représenterait ainsi, qu'un simple aspect parmis tent d'autre, et chacune d'elle se manifesteraient à travers des D-branes différentes à travers des dimensions vibratoires très différentes les unes des autres. À travers les 7 autres modes vibratoires des ondes qui constituent les cordres. D'autre forme d'écos, peuve faire émerger des 7, ou même encore une fois, d'interrelation entre les dix dimensions d'espace et de leurs interactions mutelles, des modes de fréquences vibratoires parallèles. Ces différents modes de fréquences de vibration parallèles des cordres, serait situé sur une sorte de bande de fréquence relié aux harmonies dimensionneles, par exemple. Et ces bande de fréquences un cout émient, serait s'éparé d'entre elles, par des dimension non pénétrante n'interférents plus entres elles, étant s'éparer de bande d'harmonie très distincts en fréquences, ou sous fréquences (mode vibratoire sélectif, disont !)
Ainsi, notre univers serait composée de plusieurs dimension très différentes et très distinctes les uns des autres et surtout non pénétrantes et non communiquentes entres elles (l'hyper ou le sub espace ?). Un Univers multidimensionnelle, s'éparé par des écos des différente bandes et modes de fréquences vibratoire des cordres, et relié des différentes bande de fréquences sélectives harmonique aux types de dimensions (aux différents modèles ou types d'interaction des dix dimensionx d'espace des cordres) qui les à créer.
Les cordre, et leurs différents mode vibratoires serait donc différents des univers multiples d'Evrett, pour expliquer la réduction du paquet d'ondes, lors d'une interaction (phénomène de matérialisation sous forme de particule, d'une onde stationnaire) ! Car en fait, l'nteraction aurait des répercussions sur les différents mode vibratoires des cordres (qui constitut les quarks), et s'est l'écos dynamique de toutes ses relations, qui activerait la réponce finale de l'interaction via nos dimension d'univers (cela décrirait le temps comme procusseus interactif seulement). Ainsi notre monde serait seulement en relations, par ses différents type d'interaction se trouvant aux dimension de Planck, ou très près !
Quant dites-vous ?
Gilles _________________ Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
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glevesque Chroniqueur
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glevesque Chroniqueur
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Posté le: Jeu 26 Juil 2007 3:51 pm Sujet du message: |
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Salut
Les cordes sont donc de plus en plus a bout de soufle et ceci a cause de leurs prémisse de base sur l'interprétation substancialiste de la trame du continuum d'espace-temps. Comment quantifier le temps si ce dernier n'est juste qu'une notion subjective de description de l'évolution intermédiaire des choses de la nature (de leurs évolution sur le plan dynamique et relationnelle par rapport aux champs d'énergie) !
Une théorie descriptive quelque soit, qui cherche a interpréter la nature par des paramaitres formelle et mathématique, restera toujours qu'une théorie descriptive, et non associé a une théorie substancialisme de cette même chose qu'elle cherche a encadrer ! Que l'on se le disent et que l'on s'en rappelle ! La nature n'est pas une finalité en soi, et les théorie qui la décrive ne peuvent l'être de par l'essence même de leurs interprétation sur l'ensemble objective qui lui sont extérieurs par rapport aux objets d'ordres conceptuelle quel cherche a décrire !
Le tout forme en réalité, qu'une simple approche qui a du moins le mérite de rechercher formellement la réalité, qu'elle ne peut qu'approximiser de plus en plus par rapport à la réalité objective de la nature qui l'interface. Cette dernière n'étant qu'accéssible quand dehors de nos objets subjectif de conscientisation du monde, et nous est donc en toute réalité objective innaccéssible dans son essence même ! La seule chose que nous puissons faire, est de l'approcher de manière conceptuelle et interprétative le plus près possible, pouvant du même cout la représenter le plus fidèlement possible avec les années et les temps évolutif de notre espèce, et rien de plus !!!!!!!
Gilles _________________ Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
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