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glevesque Chroniqueur
Inscrit le: 13 Jan 2007 Messages: 2242 Localisation: Longueuil, Québec
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Posté le: Jeu 18 Jan 2007 1:29 am Sujet du message: Le Lapin d'Alice et la Mécanique Quantique |
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Salut
Gracieuseté de Ange (de PPF)
Mise à jours de la fable d'Alice
Voici le texte avec ses correction (en vert)
Je vous propose ici, une manière simple pour mieu comprendre la mécanique quantique !
N'oublier pas que le monde dans lequel nous vivons est belle et bien réelle, seul notre perception nous donne l'impression de son illusion et pour preuve et bien nous sommes en interaction constante avec ce dernier, et cette interaction peut nous menacer a tout instant !
Et ceci malgrer que la matière n'existe pas réellement comme substance tangible, cette perception de dureté découle en fait d'une illusion (apparente car relié à la perception sensible) tout comme la perception des couleurs.
Pour expliquer cela, il faut se tourner vers la mécanique quantique, qui nous apprend que la matière est en fait composé en très grande partie par du vide et par des champs d'énergies qui vibre de différentes manières !
Les interactions qui impliques ces champs d'énergies dans le monde macroscopique (via le décohérence quantique), nous donne la sensation ou l'illusion de la perception de la dureté à la matière à notre échelle !
Le monde est donc un monde composé non pas de matière, mais de champs d'énergies en interaction constante, et composé de substance qui peut prendre une forme ondulatoire et corpusculaire en même temps (superposition d'état de Schrödinger et dualité onde-corpuscule) !
Voici donc notre histoire du lapin d'Alice !
Alice est assie sur une chaise à l'intérieur d'un petit chalet qui se trouve au beau milieu de la campagne. Tout autour du chalet il y a un grand jardin de laitus et de carotte. Le jardin est coupé en deux par un petit sentier qui part de la porte du chalet jusqu'a la limite du jardin qui se trouve tout près de la foret.
A chaque jours, Alice a pu observer qu'un petit lapin (en MQ il s'agirait d'une particule) venait faire régulièrement son petit tour dans le jardin, et a chaque fois, il manga soit une laitus ou sois quelques petites carottes. Parfois il venait le matin et le midi, et parfois le midi et le soir, mais à chaque fois il prenait des routes différentes ! (comportement indéterminisme du lapin pour Alice)
Un jour, Alice décida de faire une petite expérience, afin de savoir comment elle pourrait prédire la venue du petit lapin dans son jardin, et par le fait même de mieux saisir ce qu'il l'attirait tant dans celui-ci, et pourquoi il venait deux fois par jours pour manger des choses différentes ! Elle se dit aussi, qu'elle pourrait ainsi l'attendre (à l'endoit ou ce dernier pourrait ce présenter) et lui donner ce qu'il désire, afin de l'apprivoiser très doucement et de pour se faire un compagnon de jeu, sans devoir à l'apprivoiser !
Alors Alice (notre observateur) établit son premier schéma de calcule. Dans un premier temps elle se doit de prédire les heures de la venue du lapin, selon la fréquence journallière et par rapport au type de nouritture que prendra (laitus ou carotte) !
Première étape, elle construit un tableau qui reproduit un ensemble de possibilité statistique (symbolisant la fonction d'onde). Mais voilà, Alice est assis sur une chaise qui est au milieu du chalet, elle ne peut pas voir à l'extérieur de celui-ci, et elle ne peut donc pas savoir à l'avance par qu'elle chemin le lapin fera son entrer dans le jardin, pour le moment il peut entrer par toute les chemins possibles donnant accès au jardin (non localité quantique et indétermination d'Heisenberg).
Elle superpose donc à son premier tableau de départ (superposition d'état quantique évoluant dans le temps, ou chat de Schrödinger) un autre schéma qui représente toutes les chemins possible que peut prendre le lapin (chemin des intégrales lagrangienne ou hamiltonnienne qui indique le plus court chemini parcourut en fonction de l'énergie du système).
Ce tableau regroupe toutes les possibilités permises et possibles (fonction d'onde et probabilité quantique), dont chaque unité (constante de Planck ou plus petite unitée d'action possible sur la matière) est représenté par l'entre croisement et la superposition d'une ligne et une colonne (principe de Pauli pour les particules de spin 1/2, stipulant que le lapin (matière) ne peut-être à deux endroit en même temps et de manière simultané (onde)) pour chacun des deux tableaux (la fonction d'onde de matière de De Broglie, dont l'évolution dans le temps suit les règles de Schrödinger) ! (Si on ajoute l'aspect relativiste à tout ça (Schrödinger), et bien on retrouve le formalisme de Dirac)
Mais pour vérifier son hypothèse, Alice doit faire quelque petite expérimentation, afin d'ajusté ses calculs et ses prédictions. Elle construit donc un modèle expérimentale, afin de mieux prédire toutes les éventualitées possibles (Protocole expérimentale sur la fonction d'onde) fait à partir d'une représentation pouvant interpréter la plus fidèlement possible le monde qui se trouve à l'extérieur d'elle et toute autour du chalet (Mécanique quantique, mais a noté que cette forme immaginaire du texte, découle de la mécanique classique).
Ainsi pendant plusieurs jours, elle observe et mesure la venu et le comportement du lapin constament, et retranscrit tout ce qu'elle voit (données expérimentale). Au dernier jour, elle désire de tester son modèle afin de vérifier les prédictions de ce dernier.
Pour ce faire, Alice doit rester assis sur la chaise sans bouger, et tenter de prédire à l'avance (l'aspect indéterminisme de la MQ) le moment exacte ou le lapin viendra chercher sa nourriture, elle doit aussi déterminer le chemin qu'il prendra et le type de nouriture qu'il mangera (elle veut vérifier la réduction du paquet d'onde de son système).
Le modèle d'Alice représente donc toutes les possibilités possibles qui peut-être projeté sur le monde réelle qui l'entoure, soit le chalet, heure de la journée, comportement du lapin et le jardin (et symbolisant le formalisme quantique).
Il y a donc un monde réelle et un monde de perception qui se superpose et qui sont en continuelle interaction (réalité versus conscience, ici les décision d'Alice et du lapin schématise l'aspect indéterministe de la MQ) ! Alice sait que le lapin n'est pas loin dans les bois, et elle sait aussi qu'à un certain moment de la journée, il viendra par deux reprises dans le jardin. Mais elle ne peut pas le voir, étant assis sur la chaise et ne pouvant pas regarder par la fenètre. Elle immagine donc, que le lapins peut-être partout à la fois à un instant précis. (non localité quantique et superposition d'état de Schrödinger)
(Le mécanique quantique est une représentation par modèlisation du monde extérieur (micoscopique), et ceci en fonction d'une expérience bien précise et bien encadré, tout comme pour notre exemple avec Alice qui se trouve dans un monde macroscopique, la jonction entre les deux s'appelle la décohérence)
Elle regarde et examine ses calculs, et par le fruit de son imagination elle peut voir et se représenter le lapin faire son entrer dans le jardin (le paquet d'onde est partie, selons Alice) et ceci et à cette heure bien précise de la journée. Elle détermine aussi l'endroit du jardin par lequel le lapin fera son entrée (état quantique relié à la fonction d"onde).
Elle le voit franchir les limites du jardin et se diriger vers une laitus bien précise ! Sauf que là, il est impossible de savoir si le modèle d'Alice représente bien la réalité objective (l'ensemble des états quantiques) qui est en marche à l'extérieur d'elle (comportement ondulatoire possible du système ou onde de matière de De Broglie, non localité quantique d'Hinsenberg, supperposition d'état de Schrödinger).
Et le seul moyen de vérifier ses prédicitions, et de se lever et d'aller voir par la fenêtre (l'acte de mesure) ! Bien que le lapin était soit dans le jardin ou ailleur, le monde réelle était belle et bien en marche de manière autonome et indépendant du choix d'Alice, mais Alice ne savait pas vraiment ce qui se passait en réalité dans le jardin et tout autoure d'elle.
Alice regarde donc par la fenêtre, si le lapin est bien présent a cette instent, Alice ne pourra pas voir le lapin de manière bien précise, car il y a de la laitut et des plants de carote qui lui bloc la vue parciellement, ce qui donne en fait une position aproximative du lapin situé dans le jardin (indétermination d'Heisenberg).. Cependant dès quel appercois le lapin (interaction qui s'effectut de manière instentaner entre Alice et le lapin, et qui est associé à la réduction du paquet d'onde, l'interaction prend ainsi la forme et les attributs d'une particule), elle peut déterminer si son modèle représente et interprète bien les phénomènes du monde qui nous entoure (mécanique quantique et décohérence) !
Voilà les mystères de la Mécanique Quantique démystifié !
Gilles
Dernière édition par glevesque le Lun 05 Fév 2007 3:06 am; édité 1 fois |
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glevesque Chroniqueur
Inscrit le: 13 Jan 2007 Messages: 2242 Localisation: Longueuil, Québec
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Posté le: Jeu 18 Jan 2007 1:33 am Sujet du message: |
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Explication :
Bien que la Mécanique Quantique soit de nature indéterminisme (nous ne comprenons pas encore les causes de la dualité ondes-corpuscules, de la réduction du paquet d'onde et de la nature de l'énergie), contrairement à notre monde macroscopique qui est déterminisme (causale) dont les causes prècèdes toujour la manifestation des effets!
Pour Alice, les décissions et les comportement du lapin qu'elles cherche à mieux comprendre, lui son tout affait indéterminisme. Alice ne peut pas lire télépathiquement dans la tête du lapin (si elle le faisait, et bien ici il s'agirait d'une représentation de l'intrication) pour connaitre à l'avance les décisions et les choix qui le font venir dans le jardins deux fois par jours et par un chemin ou un autre, ni de qu'elle légume il aura l'intension de manger. Bien sur le lapin à un comportement déterminisme, car lui seul connaît les raisons de ses désires et de est choix !
L'activité cérébrale des neuronnes du Lapin et d'Alice, ont une cause déterminisme sur le plan de l'ensemble. Mais parcontre cette activité est à la base d'origine microscopique (premier changement d'états des électrons qui seront impliqué dans le départ de l'influx nerveux (ioniques/neuromédiateur) et qui devienderons par la suite la source de la propagation de la cause déterminisme qui sera relié au comportment déterminisme du lapin par la suite. Pour la mécanique quantique, l'indéterminisme découle éssentiellement de la méconnaissence de tout ce qui entoure les principes plus fondamentale du très petits (des particules fondamentales et de leurs interaction via les photons). Mais cette limite que représente l'absence virtuelle de toute causalité au monde indéterminisme de la MQ, n'est en fait que la représentation de nos limites d'investigation actuelle sur les différents types de comportement du monde microscopique. Car cette indéterminisme va suivre les régles de la décohérence par la suite, et par contactes en contactes entre la propagation de l'influx nerveux entres neuronnes (changement d'état des électrons qui sont impliqués dans la propagations de l'influx nerveux). Donc via les interactions qui se propage de manière indéterminisme de manière succéssives au plan atomique, elles deviendrerons déterminisme à travers l'activité de l'ensemble du système nerveux dans le monde macroscopique (moléculaire, cellulaire et plus). Dons de la non causalité (indéterminisme) naitera la causalité (déterminisme) ?
Et bien ce parralèle entre MQ et comportement du lapin qu'elle ne voie pas et ne connait pas à l'avance, est tout a fait pour Alice de dimension indéterminisme, et par ricochait le parralèle avec la MQ est tout à fait valable. La Mécanique quantique n'est pas encore une théorie du tout, et pour preuve elle est toujours en désacord avec la Relativité Générale (ses deux théories ne formes pas encore un tout). La MQ n'est donc pas encore complète.
Les comportements du lapin, qu'Alice cherche à meiu comprendre (à définir leurs causes au niveau de l'esprit du lapin), est tout à fait semblables à l'étude sur les différents comportements des particules et des ondes. En MQ tout est indéterminismes dans sa nature même, et les seuls prédictions que nous puiisons faires, sont celles de forme d'ensembles de probabilité. Tout comme Alice, la MQ analyse les différents types de comportements de la matière microscopiques, et tout comme Alice, la MQ cherche a faire sortir des modèles théoriques et des lois, pour mieux cerner et comprendre les phénomènes, tout comme Alice qui recherche à mieu comprendre le lapin. La MQ ne vois pas les particules qu'elles étudies, mais analyse leurs comportement qui se manifeste à elle par toutes sortes d'instruments d'analyse interposés.
Alice et la MQ, cherche donc à mieu comprendre ce qui se passe entre deux fait expérimentales, c'est-à-dire entre deux processus ou événement qui sont reliés au comportements observés. Alice vois le lapin venir manger des légumes à deux reprise dans une journée, et la MQ observe le comportement des réductions du paquets d'ondes lors de simulations électromagnétique sur la matière. Alice et la MQ analyse donc les comportements qui ce manifeste à eux à de nombreuses reprises . Mais tout comme Alice, qui voie parfois le lapins à l'entrer du jardin, à la lisière de la foret ou à différents endroit dans le jardin, la MQ vois différents niveaux possibles sur la réduction du paquets d'onde (fonction probabilistique de l'état d'onde), soit la polarisation, l'addittion ou l'annulation des superposition quantique lors d'interférences (les fentes de Young). Tout ses analyses encardres des comportements d'ordres sucessifs, mais séparer dans le temps. Ce sont les compilation ou la superposition des données qui font resortir des modèles comportementale du lapin pour Alice et des électron pour la MQ (onde-corpuscule).
Tout comme la MQ, Alice ne voie pas toujours le lapin, et pour frabriqué sont modèle, elle doit représenter en fonction du temps, la présence ou non du lapin dans son champs de vision, lorqu'elle regarde par la fenètre. La MQ et Alice ont en commun la recherche des trajectoires et des déplacements de leurs objets de mesures. Alice et la MQ établit des modèles qui traduise les trajectoires et les déplacement de manière virtuelle (théorique) à partire des comportement observés de leurs objet de mesure.
La seule différence qu'il y a entre Alice et la MQ. C'est justement le sens que nous donnons au déterminisme du monde macroscopique via la décohérence quantique, et de l'indéterminisme pure du monde microscopique de la MQ. Pour Alice les causes sont originaires de l'être lapin (de son cerveau-esprit/chois-états physiologique), et pour la MQ il semble ne pas exister de cause prévilègiées (orientation prévilégié de la réduction du paquet d'onde). Mais pour Alice, qui ne connais pas le lapin et dont elle cherche a meux comprendre ses différents types de comportements possibles, et bien c'est de la MQ tout court !
Ni Alice, ni la MQ peut déterminer à l'avance les différentes trajectoires et déplacement exactes que peut prendre le lapin ou un photon qui se déplace à travers l'espace. Seul leurs modèle peut les aider à mieu comprendre ses différents types de schémas possibles et permis dans leurs modélisations de leurs monde respectif (qui veut traduire la réalité objective de l'univers). Le lapin peut tombé malade et faussée du même cout, toute la suite cohérente des données prises par Alice. Bien que nous connaisons les causes (le processus causale) de la venu du lapin dans le jardin d'Alice, nous ne pouvont pas en dire autent de son schéma nerveux sur ses différentes prises de décisions (travail de l'esprit du lapin ou de la matière au niveau plus fondamentale). Et bien pour la MQ dont nous ne connaissons pas encore de t'elle cause (d'ou origine l'indéterminisme de la MQ), cela ne veut pas dire qu'il n'en existe pas ! La MQ n'est pas une théorie finaliste, mais bien une théorie qui devra évoluer encore et encore ! (l'indéterminisme l'oublige à évolué de la sorte)
Nous connaissons les comportements de la matière, mais pas commant le tout se déplace et s'oriente dans leur propagation à travers l'espace, et c'est seulement à partir de cela que la MQ à des prémisses indéterministes en elle, et pas autrement ! Ici il s'agit du comportement ondulatoire de la matière, donc du comportement qui se situt entre deux événement causale, soit l'émission et la réception d'un signale faisant interagire la matière ! Il s'agit d'un mystère d'onde, vis-à-vis leurs orientation et leurs déplacement dans l'espace ! Tout comme Alice qui éssait de mieu comprendre l'esprit du Lapin, et bien Alice fait de la MQ !
Gilles |
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glevesque Chroniqueur
Inscrit le: 13 Jan 2007 Messages: 2242 Localisation: Longueuil, Québec
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Posté le: Mar 13 Fév 2007 12:12 pm Sujet du message: |
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Salut
Avec quelque petit schéma, et quelque petite correction orthographique, je crois que cette petite histoire d'Alice serait très a propos dans l'ensegmement de la MQ !
Ne croyez-vous pas !
L'Interprétation de l'indéterminisme relié à la nature hasardeuse de Cophénague (l'école de Bore), est tout simplement relié à notre limite conceptuelle et technologique dans l'étude des comportements ondulatoire par rapport au principe de causalité ! La réduction du paquet d'onde relié aux vecteurs d'états de la fonction d'onde ! Est en fait une matrice statistioque de probabilité qui reflète dans un cummulte de données pré-établit et regroupé sous forme de théorème (formalisme quantique) par l'accumulation de données expérimentale. Cette matrice reproduits tout les possible, et la causalité découle d'un principe qui nous échappe encore à travers tous ces possible ! Le comportement relié à la supperposition des états quantique relié aux interférence (comportement ondulatoire) traduit tout simplement cette état de cause relié a nos limite de connaissence et de compréhension, et c'est TouT !
Si le hasard existait vraiment dans la nature, et bien il ni aurait pas non plus de lois pouvant en découler à travers la décohérence (monde macroscopique). Si les atomes d'hydrogène sonjt définit par leurs propriété chimique, et bien c'est accause de l'existance de principe causale sous adjacents non connu (et oui comme des variable cachées de Bell), et relier aux comportements quantique (supperposition, dualité onde-corpuscule ou comment les ondes se déplace réellement dans l'espace) et rien de plus ! Le reste concerne l'aspect fondamentalisme et est par le fait même objet de croyance de la religion matérialisme réductionnisme pure et simple ! Objet de croyance auxquels seul ceux qui non pas encore compris cela en font foie envers leurs Dieu nommé HASARD à travers le NÉANT ! Et oui une nouvelle religion relié à la mécanique substanciel matérialisme seulement, ou tout et absolument tout découle du hasard, mais une chance qui existe le processus de la décoérance car sinon on serait tous perdut là-dedant !
La MQ doit encore évoluer dans son formalisme, pour mieu s'adapter à la représentation réelle des différents comportement de la matière a travers son aspect dualisme d'onde et de corpuscule (ou quanton) ! Car a toute chose, il y a une cause, il suffit maintenent de la rechercher, car cette cause découle seulement de notre interprétation de comment voyage (le déterminisme virtuel de la MQ) les ondes dans l'espace, et surtout quels sont les caractéristiques qu'elles transporte réellement dans l'objectivité de leurs trajectoires qu'elles parcourt à tout moment vers des cibles (suposé déterminisme) pour interagire et dévoilé ainsi dans notre monde la composante matérielle ou corpusculaire de notre réalité matérielle, car endehord de tout interaction et à travers des instant très brèves, la matière même n'existe pas, étant alors représenté sous forme de champs d'onde d'énergie stationnaire présentant aucune réalité objective de consistance ou de dureté ! Seul les interactions donne à la matière leurs composante objective à travers notre subjectivité des représantations ! Mais le monde est réelle, et tout comme Alice, la MQ ne fait qu'interpréter cette réalité, elle ne la créer pas !
Gilles _________________ Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
------> Les Panoramiques Martiens <------ |
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einstone66 Invité
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Posté le: Ven 13 Avr 2007 9:03 pm Sujet du message: |
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bonjour glevesque!
en fait tu le dis bien tout est causale la nature a horreur du hasard la MQ est seulement pour l'instant indéterministe!
amicalement! |
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lamarchat Chroniqueur
Inscrit le: 26 Mar 2007 Messages: 496
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Posté le: Ven 22 Juin 2007 4:05 pm Sujet du message: |
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bonjour gilles
quelle place va prendre encore le comportement chemin d'un mouvement fourmis entre deux points éloignés de cette arbre qui se trouve dans ce jardin car à petite échelle je vois l'aléatoire des fourmis ; le mélange et meme des accident en absence d'aucun code et d'aucune plaque pour ces fourmis en mouvement mais à grande échelle ; la totalité et le comportement fourmis en globalité présente et garde toujours une meme courbe passage constante et fixe au fil d'un temps ; peut etre on arrive on conclure quelque chose dans ce sens encore en dehors de l'odeur des fourmis et etc..si je ne suis pas dévié biensur et mes solaires amitiés à tous . _________________ Un univers fini limité ou illimité ne peut pas supprimé l’incompris qui nous attire en sens d’une infinitude étrange et pas facile |
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glevesque Chroniqueur
Inscrit le: 13 Jan 2007 Messages: 2242 Localisation: Longueuil, Québec
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Posté le: Lun 25 Juin 2007 10:22 am Sujet du message: |
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Salut lamarchat
lamarchat a écrit: |
quelle place va prendre encore le comportement chemin d'un mouvement fourmis entre deux points éloignés de cette arbre qui se trouve dans ce jardin car à petite échelle je vois l'aléatoire des fourmis ; le mélange et meme des accident en absence d'aucun code et d'aucune plaque pour ces fourmis en mouvement mais à grande échelle ; la totalité et le comportement fourmis en globalité présente et garde toujours une meme courbe passage constante et fixe au fil d'un temps ; peut etre on arrive on conclure quelque chose dans ce sens encore en dehors de l'odeur des fourmis et etc..si je ne suis pas dévié biensur et mes solaires amitiés à tous . |
C'est qu'il y a deux niveau, les fourmis (seul ou en colonnie) obéit a des règles de sa propre condition qui sont conditionner génétiquement a promouvoir le bien être de la colonie. Les fourmis se communique de l'information entre elle !
Mais une fourmis plus petit qu'un atome, obéit a d'autre règle. Car à cette dimension de la nature (lepton, hadron et beson) il ne s'agit plus de grains de matière, mais de champs d'énergie qui vibre incéssament et toujours en recherche d'équilibre !
Le problème c'est que nous ne savons pas de quoi est constitué ou fait cette énergie, tout ce que nous pouvons faire, c'est d'étudier ses comportements qui ce manifeste seulement via les interactions (les 4 lois physique) ! Et le tout suis une dynamique qui est axcés sur des échanges d'énergie cinétique !
Nous ne savons pas non plus de quoi il s'agit quand nous parlons de photon ou grain de lumière, en physique on attribut des propriétés et des valeurs à cette objet appeler photon, mais cette objets est de dimension physique et mathématique, et non de l'objet véritable qu'est le photon en substance et en essence réelle comme objet objectif de la nature ! Ces derniers portes à distance l'interaction électromagnétique et fait réagire la matière dans une mécanique dynamique de transfère de propriété de champs électrique et magnétique. Mais entre les deux (processus interactionnelles), c'est encore l'inconnu !!!!!!!
La fourmis plus petit qu'un atome à un comportement cohérant au yeux de la mécanique quantique, cela veut dire qu'elle peut-être dans plusieurs états différents en même temps (superposition d'onde relié aux différents états quantique du formalisme de Strodinger, ou encore l'expériance des franches d'interférences d'Young). Ainsi la fourmis plus petit qu'un atome, peut interagire avec son environnement de manière tout a fait déterminisme (colonnie de fourmis = molécules d'atomes) après avoir subit différentes étapes qui consiste en quelque sorte à s'intégrer dans le monde des corpuscules (décohérance quantique) ! Mais pour ce faire, la fourmis plus petit qu'un atome doit subire différentes réduction de son vecteurs d'états qui est relié à sa propre fonction d'onde (ensemble statistique relié aux différentes probabilités sur les formes de sa manifestation dans le monde objectif, à travers un espace virtuelle ou immaginaire d'Hébert) qui évolut dans le temps (un temps non pas en substance, mais relié aux interactions et au mécanisme dynamiques d'échange d'énergie 'cinétique').
Les particules de matière, comme la fourmis plus petite qu'un atomes. Manifeste leurs présence seulement par l'intermédiaire des interactions. Seul une interaction a le pouvoir de localiser et ainsi de matérialisé les composantes de duretée et de concistance du monde au propriétés corpusculaire qui nous entoure, car sans interaction, le tout redevient un monde aux propriété ondulatoire et non localisable, et ceci sans une mesure qui fait interagire les choses (comme les fourmis plus petites qu'un atome face a sa colonnie de fourmis-moléculaire) entre elles de par les influence de leurs milieux.
Les mesures de laboratoire son juste et valable, elles ne sont pas a remêtres en cause, et ceci même avec les indéterminations d'Heizenberg sur les positions vitesses prix de manière simultané pour retracé une fourmis plus petite qu'un atome. Mais c'est la cause de ces différentes réduction des paquets d'ondes qui nous échappe encore a travers nos différents champs de connaissence et de conceptualisation, c'est pourquoi que le tout est aborder de manière statistique et probabilitique dans le formalisme quantique, vut qu'un champs d'énergie est un champs qui rayonne et un champs n'est pas un point. D'autre te dirons que le tout est conceptualisé dans sa totalité (comme ceux de l'école de Copenague qui atteste le hasard en substance pure), mais c'est leurs problème de limité la nature à la non compréhension de l'homme, comme si la nature avait atteint sa propre finitude !
La mécanique quantique (MQ) n'est pas encore complète, et comme preuve elle n'est pas compatible avec la Relativité Général (RG), et un jours peut-être, irons-nous encore plus loins dans les profondeur de la nature a travers les fourmis encore de plus en plus, plus petite qu'un atome !
PS : En gros, c'est que nous avons aucun moyen de savoir dans quel état était une particule avant une interaction qui la mesure, de là viens tout le formaliste statistique et probabilistique de la MQ !
Gilles _________________ Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
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glevesque Chroniqueur
Inscrit le: 13 Jan 2007 Messages: 2242 Localisation: Longueuil, Québec
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Posté le: Dim 18 Nov 2007 3:35 pm Sujet du message: |
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Salut
Nouvelle réflexion !
Interaction est pour moi le processus physique qui fait resortir et qui dévoile l'effectivité des échanges d'énergie cinétique dont découle le mouvement ! Je suis d'accord la-dessus et le lapin décrit donc la mesure de tout ceci par la science (la MQ) !
Tout particule ont leurs étant propre a travers leurs existance propre vis-à-vis l'objectivité (que nous cherchons toujours a comprendre dans sa finessité)
Mais ici, la véritable question est qu'est-ce qui fait que les choses interagisses entre elles, pourquoi il y a échange d'énergie, pourquoi le lapin se manifeste ! En fait cette dynamique découle uniquement des processus qui conduise a la manifestation matériel des choses lors du passage du lapin. Mais pourquoi le lapin passe et existe comme processus pour ce dévoilé dans notre univers ! L'univers est un tout, mais seul les facette du lapin sont visible et réelle pour nous qui l'observons et l'expérimentons, comme si il y avait une interface entre le réelle percus et la réalité vrai de l'univers !
Quel est la lois des lois ! Car en dessous du lapin il n'existent que des ondes pouvant se supperposé et se déphaser, mais ici il s'agit uniquement d'un objet de représentation et d'interprétation mathématique (partit ondulante de la dualité de la MQ) qui cherche en encapsuler la manifestation du lapin (partie corpusculaire) qui semble émerger de tout ceci ! Le lapin n'est pas une onde libre, mais bien une excitation qui dévoile une structure stationnaire fait d'onde (son point d'origine relationnelle par rapport au tout) que nous encapsulons par des schémas de probabilité. Et c'est cette exitation qui dévoile le passage du lapin. Le lapin fait bougé et transité les choses d'états en états (j'espère que tu as lut mon sujet sur le lapin d'Alice et la MQ pour mieu me comprendre ici !) visant équilibre et destabilisation de toutes sortes.
Le lapin représente la manifestation ou l'effectivité de tout cette dynamique (la seul visible sur le plan matériel), mais pourquoi celle-ci existe t'elle, qu'est-ce qui fait que les choses ne sont pas stable (objet de matière), et pourquoi ce qui les stabilises comme vecteurs (bosons) n'est pas matériel ni visible sans le passage du lapin ! Pour quoi seul leurs liaison se manifeste et prend consistance dans notre univers !
Qu'est-ce fait qu'une onde oscille et prend différents états, car la dynamique des choses sur le plan matérielle, viens de cette prémisses que l'on encapsule par les ondes de probabilité, objet non réelle mais seulement d'interprétation mathématique car non visible et non manifestable sans le lapin ! Enfin pourquoi y a t-il des trous et des trop plein dans cette mécanisme d'ondes de forme stationnaire car figer pour interagire !!!!!
L'étant est le en-soi de chaque chose, alors quel est la nature propre des étant de cette chose que nous interprétons par boson vecteur de toutes manifestation du lapin et donc du véritable principe causale des choses. C'est la nature même de cette causalité qui nous échappe, et c'est cette dernière que l'école de Copehague cherche a nous faire croire au hasards ! Hasard qui, comme tu le sais, ne peut exister de par sa nature propre, puis que nous en discuton en cette instant (relatif car déphaser pour moi qui écrit !)
En science nous observons seulement le lapin, mais le lapin y en existe autent qu'il existe des étoiles et de la matière dans l'univers ! Et tent et aussi longtemps que l'on aurra pas tout vue les lapin (race, sorte et etc...) et bien ses ondes de fond (source de causalité de toutes choses) nous sera pas accéssible, car cette chose est transparentes aux yeux de la matière, et n'est dévoilé que par le passage du lapin (source de matérialité) !
Il existe donc un univers causale qui nous est innaxéssible pour l'instant et dont seul les effets (effectivité) nous sont perceptibles ! Mais le étant est partout et en toutes choses, car seul le étant prédisposes les relation avec le lapin !
Lapin = verbe = expression d'une volonté = force agissantes = lois physique et tout ce que l'on veut ! Car la science en dehord du tout n'est qu'approximation, mais une approximation justifier !
Gilles _________________ Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
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glevesque Chroniqueur
Inscrit le: 13 Jan 2007 Messages: 2242 Localisation: Longueuil, Québec
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Posté le: Mer 04 Juin 2008 3:55 pm Sujet du message: |
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Salut
Mais en fait qu'est-ce que la superposition quantique ?
Quantique ou relativiste, mais effectivement les lois de la nature s'exprime de la même manière pour tout point de repert, mais relativiser selon son angle ou sa perspective d'observation (point d'observation) !
Mais en fait qu'est-ce que la superposition quantique, qui consite en la nature même de la mécanique quantique et de l'interprétation hasardeuse de Copenague !
Strodinger a développer un modèle théorique sur l'évolution et sur la superposition des états cohérent (mécanisme d'onde, interférence etc...) du monde quantique (incluant réduction et fonction d'onde de De Broglie), outils théorique de modèlisation mathématique cherchant a encadrer les comportement de la matière (comportement d'onde) sous forme probabilistique et statistique, qui est axée sur l'objet de mesure lors d'un processus interactionnel et de la recherche de l'interprétation de l'avant de la mesure (les états possible avant la réduction lors de l'interaction par la mesure, pression d'onde, échange d'énergie cinétique) !
Il s'agit donc que d'un simple outils mathématique de prédictabilité déductive, qui est axés sur les probabilité statistique (outils abstrait donc !). La superposition des état quantique découle de cette recherche d'interprétation dans l'outils mathématique d'interprétation, et non dans le processus physique réelle !
Quand Alice modèlise les différents chemin possible, et les positions que peut prendre le lapin dans le jardin sans regarder dehors pour valider son théorème mathématique. Et Bien Alice fait aussi de la superposition d'état de l'objet Lapin, elle schématise le tout a travers un espace virtuelle d'Hilbert qui regroupe tout les états du Lapin possible pour un temps donné ! Dans la matrice vectorielle d'Alice, le Lapin ce trouve en tout lieu (position possible dans le jardin) avec les mêmes indices de probabilité. En théorie le Lapin d'Alice est donc dans un état superposé, et dans cette espace virtuelle d'hilbert (objet de déduction mathématique) il est partout à la fois dans le jardin (il est en superposition 'ET' et non en "ou"). Et lorsque Alice part a la fenètre pour vérifier son schéma théorique, elle fait en fait une mesure et voi ou ne voi pas le lapin, si elle le voie elle note sa position et etc.... Elle va en fait réduire sa matrice de probabilité initial (réduire sa fonction d'onde). Ici cette réduction est de dimension magique et hasardeuse pour l'interprétation de Copenague de la MQ, et ceci a cause qu'Alise n'a pas vue le Lapin entré dans le Jardin, mais le lapin a bien entrer dans le jardin avant qu'Alise regadre par la fenètre.
Il y a une différence entre objets de mobilisation mathématique et objet de la nature (la nature physique des choses). Nous avons axès qu'au processus effectif (interactionnel et relationnel) qui se manifeste lors de comportement d'échange d'énergie cinétique entre particule. Mais avant que le processus interactionnel n'intervient (lors de la mesure expérimentale), la particule existait belle et bien dans la nature physique des choses (le en soi de la chose, ici la particule ou le champs d'onde d'énergie de forme stationnaire). La chose existait avant et continut d'exister après sous d'autre états. Le problème c'est que nous avons aucun moyen de savoir dans qu'elle états ce trouvait la particule avant la mesure, et c'est juste pour cela que la MQ fait intervenir la supperposition quantique.
Cette supperposition quantique n'est pas réelle, mais de dimension modèlisable à travers un espace virtuelle d'Hilbert servant à déduire et a prévoire les différents états future de cette même particule prit dans un schéma interactionnelle de mesure et d'observable ! Le en soi de la chose (l'essence de ce qui forme les champs d'énergie en eux-même) existe dans le monde physique réelle (mais pas dans le monde virtuelle mathématique réduisant aux probabilité d'existance) avant tout mesure expérimentale ! Il s'agit donc d'une limite de nos connaissences et modèlisations actuelle et rien de plus, d'ailleur transposé les formulation mathématique dans la réalité physique des chose est une érreur collosale fait par ceux qui n'associe ni ne visualise ce qui distingue ces deux mondes (physique naturelle et réelle et mathématique de modèlisation abstrait), car la recherche de la déduction interprétative (objet mathématique) n'est pas en même temps la réalité des choses dans leur en soi dans la nature, l'une est ce qui est et l'autre est ce qui cherche à l'étudier pour en comprendre les déterminisme comportementale qui ne surviens que lors de processus interactionnel (échange, pression d'onde, dynamique relié aux énergie cinétique ou effectivité) !
L'interprétation du hasard dans l'interprétation de Copenague, voulant naturaliser ce hasard comme objet de la nature a partir de déduction mathématique relié aux états de supperposition et de réduction d'onde est donc une absurdité absolut ! La chose qui est l'objet de mesure existe avant, durant et pendant un fait expérimentale de mesure. La chose en question a un en soi, car c'est ce en soi qui la fait interagire avec son environnement et les autres particules. L'effectivité de se en soi se traduit par les comportements de champs d'onde et d'énergie cinétique, mais l'incertitude et l'indéterminisme de notre compréhension et de notre appréhension du phénomène dans son intrégalité, n'est pas une raison pour réduire la nature physique des chose par le seul fruit du hasard ! La nature est ordonné et non hasardeuse et magique !
Il y a donc une distinction et une différence entre la réalité des choses et la supposé réalité des modèle mathématique, qui ne cherche, faut-il le rappeler qu'a interpréter par déduction le mécanisme des chose via leur comportement !
Les objet de la nature ont leur propre étant (leur propre en soi) et son tout a fait réelle même s'il s'agit de champs d'énergie quantifier (de leurs véritable nature sur le plan des essence). C'est leur dynamique et leur comportement que nous cherchons a modèliser (et interpréton sous forme d'onde), et non le étant propre de la chose en question ! Ce étant préexistait dans certain états quantique avant l'action de la mesure, et existera dans un nouvelle état après la mesure (déterminisme de suite causale ===> aléatoire et non hasard). Un étant est une chose réelle dans le monde physique, contrairement aux objets mathématique qui cherche à les encadrer et les interpréter. La déduction théorique de la superposition et des mécanisme de la réduction d'onde sont donc le reflet de notre méconnaissence et de notre limite instrumentale et technologique actuelle, et donc aussi de notre conscientisation déductive dans la théorie quantique, cette dernière ne réflète pas le monde car elle cherche de manière virtuelle en langage mathématique de l'interpréter par l'intermédiaire du miroire abstractif de la réalité des chose qu'elle s'interpose comme objet abstrait de déduction (a saveur de modèlisation mathématique qui retranspose le schéma comportemental (interactionnelle) des chose et non de la cause de l'étant et des en soi de ces mêmes choses quel cherche a interpréter et mesurer) !
Gilles _________________ Croire c'est bien, mais comprendre c'est encore mieux !
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glevesque Chroniqueur
Inscrit le: 13 Jan 2007 Messages: 2242 Localisation: Longueuil, Québec
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glevesque Chroniqueur
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