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Les satellites montrent un dégel historique de l'Arctique
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Astroclick Index du Forum » Climat, environnement et pollution et le fameux rechauffement climatique ! » Les satellites montrent un dégel historique de l'Arctique
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glevesque
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 Message Posté le: Mar 16 Oct 2007 5:47 pm    Sujet du message:
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Salut

PS : Nous sommes dans une drole d'époque !

Une époque qui semble déterminante pour la survie de notre espèce, et cel de tout les coté (environnement, démogrphies, pénuries en ressouces naturelle et etc.....)

Les roi despotique sont de retoure, mais il se caches dans les sphères de la hautes finances et des trans-méga-multinationnales, il s'agit de l'olygarchies des très très très riche de la planète qui vivent ou ont l'impression de vivres sur une autre planète, mais laquelle en fait !!!!!!!!!! Car de toute évidence nous vivons séparé de toute senssiblité de leurs part !

Gilles
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glevesque
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 Message Posté le: Jeu 18 Oct 2007 4:56 pm    Sujet du message:
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Salut

Image satellites du pole arctique qui couvre mai 2001 a mai 2006 !

Voyez la différence :
http://www.explorapoles.org/docs/expedition_documents/2007/lincoln_see_evolution_070529.pdf

La banquise arctique a connu un nouveau record de fonte au cours de l'été 2007 (l'anciens record était en 2005)
LE MONDE | 18.09.07 | 16h33 • Mis à jour le 19.09.07 | 11h14

La thèse de l'augmentation de la pluvieusité !


Série chronologique d'images satellites de MODIS montrant la rupture du plateau de glace d'Ayles. Toutes les dates ont lieu en 2005, toutes les temps sont en zoulou (=GMT). La flèche rouge dans la première image montre l'endroit de la rupture initiale. Source des images: La NASA.
http://ice.ec.gc.ca/WsvPageDsp.cfm?ID=11835&Lang=fre&PrintFmt=True

Bonne ressource suplémentaire :
http://www.dicodunet.com/dossiers/la-banquise-arctique.html
Citation:
L'épaisseur et la surface de la calotte polaire arctique n'ont jamais été aussi réduites qu'en ce mois de septembre 2007. Si le phénomène inquiète les chercheurs, d'autres, au contraire, voient dans l'océan Arctique un nouvel espace de conquête.
http://www.cite-sciences.fr/francais/ala_cite/science_actualites/sitesactu/question_actu.php?langue=fr&id_article=8463&id_mag=0

Les ours polaires menacés par le réchauffement climatique...
L'inaction persistante de la communauté internationale en matière de lutte contre le réchauffement climatique menace d'extinction les ours polaires, a averti lundi l'organisation de protection de la nature WWF. Cet avertissement intervient après la publication vendredi d'une série de rapports de l'Institut géologique américain indiquant que la fonte de la banquise arctique en raison du réchauffement climatique pourrait réduire de deux-tiers la population des ours polaires d'ici 50 ans. Nous avons la confirmation officielle que nous allons assister à l'extinction du plus gros prédateur terrestre de notre époque, a déclaré le Dr. Neil Hamilton, le directeur du programme pour l'Arctique du Fonds mondial pour la nature (WWF), dans un communiqué. Les ours polaires ont besoin de la banquise pour chasser les phoques, leur nourriture de base. Mais cette dernière se réduit en Arctique en raison du réchauffement climatique. Selon les prévisions du WWF, les ours polaires pourraient perdre 42% de leur habitat dans le bassin polaire en été, une période vitale de chasse et de reproduction, d'ici le milieu du siècle, précisent les études.
http://www.rtlinfo.be/news/article/32695/--Les+ours+polaires+menac%C3%A9s+par+le+r%C3%A9chauffement+climatique

Une autre étude realisée par l'université de Colorado-Boulder indique que les tendances pour l'extension de la banquise arctique sont négatives pour chaque mois depuis 1979. Les mesures des minimums d’extension de la banquise montrent que l'Arctique perd environ 98000 kilomètres carrés de glace par an.
http://www.sur-la-toile.com/mod_News_article_3323___.html


Gilles
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Dernière édition par glevesque le Jeu 18 Oct 2007 5:40 pm; édité 1 fois
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glevesque
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 Message Posté le: Jeu 18 Oct 2007 5:23 pm    Sujet du message:
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Salut

Complémentaire :

La fonte estivale de la banquise arctique s'accélère. Son extension a atteint un niveau historiquement bas ces derniers jours.

Par rapport au précédent record, qui remonte à 2005, l'été 2007 aura vu la superficie des glaces de mer diminuer de l'équivalent de plus de deux fois la surface de la France : au 16 septembre, elles ne couvraient que 4,14 millions de km2, contre 5,32 millions de km2 il y a deux ans, selon le Centre américain de données sur la neige et la glace (NSIDC). L'Agence spatiale européenne (ESA) fait le même constat à partir des images du satellite Envisat. La réduction de la banquise était de 100.000 km2 en moyenne chaque année, commente Leif Toudal Pedersen, du Centre spatial danois. Si bien que la perte d'un million de km2 représente une chute extrême. Battre des records est presque devenu une habitude, note Jean-Claude Gascard, directeur de recherche au Laboratoire d'océanographie et du climat et responsable du programme européen Damocles. A ce rythme, la banquise estivale pourrait avoir disparu en 2020. Soit beaucoup plus tôt que ne le prévoient les modèles climatiques, qui tablent plutôt sur des eaux libres en été au pôle Nord vers 2050.

Sciences : Des satellites révèlent une calotte glaciaire fracturée jusqu’au pôle Nord
Les images satellitaires ont révélé d’immenses fractures dans la calotte glaciaire arctique à la fin de l’été, s’étendant de l’Europe septentrionale jusqu’au pôle Nord sur une superficie plus vaste que la Grande-Bretagne, a indiqué, mercredi 20 septembre, l’Agence spatiale européenne (Esa). Les spectaculaires images satellitaires, acquises du 23 août au 25 août 2006, montrent une large zone fracturée dans la calotte glaciaire, rejoignant le pôle Nord depuis l’archipel de Svalbard (ou Spitzberg), à l’extrême nord de la Norvège, et celui de Severnaya Zemlya, dans les eaux arctiques sibériennes.

Fonte des glaces au Pôle Nord


Concentration différente de glace dans l’Arctique entre 2005-2006


Gilles
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glevesque
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 Message Posté le: Jeu 18 Oct 2007 5:48 pm    Sujet du message:
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Salut

Et pour le détachement en 2005 du méga Icebergs de l'Antarctique (B-15a iceberg)


Autre source :
http://abcd.vosforums.com/sutra392.php&sid=541f7c5d24217409f658747fd4148dd3#392

Gilles
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vinety
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 Message Posté le: Jeu 18 Oct 2007 7:37 pm    Sujet du message: glacier
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glevesque a écrit:
Salut

PS : Nous sommes dans une drole d'époque !

Une époque qui semble déterminante pour la survie de notre espèce, et cel de tout les coté (environnement, démogrphies, pénuries en ressouces naturelle et etc.....)

Les roi despotique sont de retoure, mais il se caches dans les sphères de la hautes finances et des trans-méga-multinationnales, il s'agit de l'olygarchies des très très très riche de la planète qui vivent ou ont l'impression de vivres sur une autre planète, mais laquelle en fait !!!!!!!!!! Car de toute évidence nous vivons séparé de toute senssiblité de leurs part !

Gilles


Salut Gilles

Je te remercie pour toutes les belles photos sur la fonte des glaciers. Que j’aimerais retourner dans le passé, vers les années 1940-45 où la situation dans cette partie du monde était beaucoup plus catastrophique qu’aujourd’hui. Mais que veux-tu, la science et la technologie, malgré toutes ses découvertes n’ont pas encore inventé une machine à reculer ou avancer dans le temps.

Dans ces années-là, il y avait dans La Patrie, une bande dessiné qui s’appelait Jacques le matamore qui se déplaçait dans le temps avec sa toupie du temps Que j’aimerais l’utiliser pour prendre des photos de cette époque, où les glaciers fondaient joyeusement et sans pour cela affecter notre humeur. Mais que veux-tu, même l’aviation était encore à des balbutiements. Comme nous le savons tous les deux, chaque médaille a deux côtés. C’est à nous de les regarder.

Si cette oligarchie comme tu dis, très très riche, hé bien de quoi penses-tu ont-ils tirés tant de richesses? L’OCDE nous informe que le monde occidental n’a jamais été aussi riche et en santé. Les hommes n’ont jamais vécu aussi vieux, 82 ans pour les femmes et 79 ans pour les hommes. Des records de tous les temps. Si l’OCDE peut faire des rapports semblables, c’est que chacun en général bénéficie de la richesse engendrée par l’abondance du pétrole, qui identifie notre civilisation et dont nous profitons tous. Que ferons-nous quand ce pétrole disparaitra de nos vies, à cause de sa déplétion? Je crois que ce moment est à nos portes, vers 2017.

Je crois qu’à ce moment, ce ne sera pas la pollution ou le réchauffement global (sic), mais bien le manque de pétrole. Gros problème en perspective. Que sera dans dix ans le problème le plus dramatique? Les GES, le réchauffement climatique ou le manque chronique de pétrole?

Amicalement

Yves Vinet
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glevesque
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 Message Posté le: Ven 19 Oct 2007 12:17 am    Sujet du message:
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Salut

Citation:
Que sera dans dix ans le problème le plus dramatique? Les GES, le réchauffement climatique ou le manque chronique de pétrole?
Effectivement nous ferons face a plusieurs dilème en même temps, alors pourquoi se focaliser uniquement sur l'un d'entre eux !

PS : Si tout va bien en occident, et bien ce n'est pas la même chose pour les autres pays pauvres d'afrique ou d'ailleur, n'oublit pas que nous somme dans la cours de ses princes et si ça irais mal pour nous et bien sa fait longtemps qu'il y aurait eu une sorte de rebellions ! Mais plus de nos jours, car étant trop diviser par des intérets divergents, en fait on est acheter et on se vend, alors !!!!!!! Mais n'oublit pas que la démographie croit plus rapidement dans les pays pauvres, et quand ils seront fatiguer de souffrir ils nous le ferons savoir, et cela fera mal !

Mais entre temps, pourquoi ne pas faire en sorte de diminuer les conséquence future relié au choc que le rchauffement climatique favorisera entre méler avec tout le reste. Sommes-nous si égoisme que cela et aveugle volontère pour garder nos acquis encore quelque temps seulement !

Il existe des solution, même si celles-ci font appelle a l'Utopie !

Exemple : décentraliser les productions de masse et les rendre plus écologique et respucteusse de l'environnement, apporter une aide véritable et un plus grand suppurt aux pays pauvres en émergence, mais une véritable aide sens retoure de prévillège en retoure (ce que l'homme d'états et d'entreprise privée ne sais pas faire), fournir les médicament et les technologie pour les aider dans leurs réformes sociale et environementale ! Tout cela on ^peut le faire des maintenent, mais on le fera pas ! Alors de quoi pourions nous pleindre dans une 50 années d'ici, car nous en seront les plus grands responssables de tout ceci, n'ayant pas tout fait ce qu'il était possible de faire !

PS : Tu ne défant pas les intérets humain, mais ceux de l'entreprise privés, qui sur le plan objectif ne suit que la logique du profit et non celle de la raison et des évidences, qu'elles (les très grandes et méga entreprise ou fortune privé ) cherches toujours a caché et camouflé !!!!!

Gilles
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glevesque
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 Message Posté le: Ven 19 Oct 2007 12:56 am    Sujet du message:
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Salut

La fonte des sols gelés de Sibérie s'accélère et renforce l'effet de serre

Gilles
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vinety
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 Message Posté le: Ven 19 Oct 2007 3:55 am    Sujet du message: climat
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[quote="glevesque"]Salut

Gilles a écrit:


PS : Tu ne défant pas les intérets humain, mais ceux de l'entreprise privés, qui sur le plan objectif ne suit que la logique du profit et non celle de la raison et des évidences, qu'elles (les très grandes et méga entreprise ou fortune privé ) cherches toujours a caché et camouflé !!!!!

Gilles


Salut Gilles

Je ne défends aucun intérêt en particulier. Je ne suis pas un justicier, et si je voulais je n’en aurais pas les moyens. Je ne suis aucunement responsable des trafics de tous genres que les humains pratiquent à travers le monde. Quelques soit les bêtises que les uns ou les autres peuvent faire, hé bien, il m’est impossible de corriger des situations qui durent depuis des siècles. Je ne suis pas le messie incarné, et loin de là. J’essaie tant bien que mal de rectifier quelques manipulations évidentes des masses. Je ne prends part pour aucun parti en particulier. Tous les articles du monde que nous pourrions produire n’y changeraient pas grand-chose, car ce mélimélo médiatique est entre les mains des puissants et réellement nous avons peu de pouvoirs pour changer la donne.

Que pouvons-nous faire pour soulager la misère humaine et corriger les injustices flagrantes de ce bas monde avec nos petits moyens, quand des organisations mondiales collées aux super puissances ne peuvent faire bouger rapidement les choses. Je suis aussi conscient que toi, de toutes ces injustices, mais que pouvons faire pour changer les choses, qu’en dénoncer les abus. Si tu crois qu’Al Gore est un champion de la moralité publique, et se soucie vraiment des conséquences du réchauffement climatique? Hé bien, je crois qu’il fait partie du problème lui aussi.

Si effectivement, il y a réchauffement climatique anthropogénique, compte tenu de la vie du CO2 dans l’atmosphère, qu’ont dit durer 100 ans, hé bien si tu es d’accord avec cela, nous allons réellement en souffrir pour longtemps et nous devons immédiatement prendre des mesures pour contrer les effets les plus nocifs. Cependant, si c’est un cycle normal de la température, nous devrons aussi en contrer les effets et réagir intelligemment en nous y adaptant le plus rapidement possible. D’une façon comme de l’autre, si nous sommes piégés avec un phénomène anthropique ou pas, nous devrons faire avec.

Ce n’est pas en faisant une chasse aux sorcières carabinées que nous allons finalement régler le problème. C’est un problème géopolitique et devra être réglé par tous les politiciens de ce monde, et nous, nous ne sommes que des gérants d’estrade qui peuvent s’amuser à critiquer les décisions des arbitres, mais là, s’arrêtent nos pouvoirs.

Personnellement, je crois que notre civilisation est à son apogée, et le pire est à venir, changements climatiques anthropiques ou pas. Nous nous précipitons vers un précipice, et personne ne semble réellement s’en soucier. Qu’en penses-tu?

Amicalement

Yves Vinet
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glevesque
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 Message Posté le: Ven 19 Oct 2007 7:05 am    Sujet du message:
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Salut Yves

Je suis tout a faire d'accord avec toi !

Moi le problème qui m'agace, c'est le cycles solaire dont tu fait référence et que je n'arrive pas a retrouver la trace pour voir le sujet de ton angle d'annalyse !

Et sans la population nos politique et notre économie ne changera pas, il faut donc données le plus d'informations possible, mais l'information juste et honnète ! Et pour l'instant bien que nous sommes au tout début d'un cycle astronomique relié a une période de refroidissement pour les prochain millinèaire (voir le cycles des précessions des équinoxe et autre plus haut) et bien le climat poursuit son réchauffement, et en plus nous nous retrouvons dans un maximum allant en décroissence du cycle solaire de Suess (de 200 ans) et à travers une hause du cycle solaire de Gleissberg (de 90 ans) et qui seront en résonnance maxima vers 2030, l'années 2008 sera marquer par la reprise du maximum du cyles de 11 ans du soleil et surtout d'une reprise de El-Nino pour au moins 5 ans. Tout ces différents cycles ont déjà eu lieu par le passer et dans différentes combinaisson d'association et d'entrecroisement de cycles, et aucun depuis 600 000 ans n'a été marquer par l'empleur de la crise actuelle qui a débuté avec les années 1860 et se rapportant a la corrélation de la hausse de 1 degré des température d'avec la hauses de CO2 passant de 260 ppm a 380 ppm. Il y a donc une relation étroite (dont le C13 confirme l'origine fossile et donc du pétrole rafiné). Et ceci par la hausse du CO2 qui viens en même temps de la hause d'insolation (mais en diminution par le cycle des précession). L'avenir va donc être encore pire, car nous entrons dans des nouveau cycle de maxima solaire et de El-Nino.

Pour 1940, j'attend toujour la preuve comme quoi le climat au pole était plus dout qu'actuellement, bien qu'il a bien eu a cette époque un adoucissement marquer d'une dizaines d'années !!!! Mais depuis 1998 que nous batons des record par dessus record (9 ans donc) et ceci tout autour de la planète, ce qui n'était pas le cas en 1940 qui était plus délimité au pole nord !

Il est vrai que le CO2 n'est pas tout seul dans tout ça (polluant, effet parapluit, albédo et autre), et il est vrai que la question n'est pas de trouvers le coupable, mais de bien comprendre le phénomène qui est relié au réchauffement climatique et les enjeux qui lui sont étroitement associé. Car comme tu là si bien mentionner, d'ici quelque années nous serons confronté a bien plus que le réchauffement climatique (démographie galoppante a travers les pays pauvre, conflit et guerre de l'eau, perte de ressources naturelle comme le pétroles et bien d'autre dont le réveille de l'Orient !).

Mais l'homme peut surmonté tout ces défit s'il finit par en comprendre les sources et les causes réelle et surtout s'il désir vraiment tout au fond de lui de tout faire pour en minimiser les conséquence a plus ou moins long terme et de changer ses comportement irréfléchit de faire sens tenir compte de ses actions et sens rechercher a en comprendre les réelle porté et impactes sur la nature et face a lui-même pour des question uniquement de profit et de rentabilité, il en va de la survie de nos petit-petit enfants et les génération future ! C'est tout de même un très grand risque que nous prenon là !

Là-dessus nous sommes complètement d'accord, mais moi je veut connaitre ce cycle solaire a laquel tu faisait références un peut plutot et ceci pour mieu le comprendre et surtout l'annalyser !

Gilles
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Dernière édition par glevesque le Ven 19 Oct 2007 3:24 pm; édité 1 fois
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vinety
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 Message Posté le: Ven 19 Oct 2007 11:13 am    Sujet du message: climat
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glevesque a écrit:
Salut Yves

Je suis tout a faire d'accord avec toi !

Moi le problème qui m'agace, c'est le cycles solaire dont tu fait référence et que je n'arrive pas a retrouver la trace pour voir le sujet de ton angle d'annalyse !


Salut Gilles

Je crois que je me suis mal exprimé ou j'ai été mal lu, car il s'agit bien de cycles climatiques. De mémoire d'homme, pour les grands cycles de réchauffement climatiques, on a qu'à se référer à celui des années 0 et plus, aux années 1100 et au présent cycle de réchauffement. Les trois cycles nous ont apporté les mêmes effets soient la fonte des glaciers et une période très douce de quelques centaines d'années, qui a permis que les Vikings et les Anglais puissent cultiver la vigne aux Groenland (terres vertes) et en Grande-Bretagne.

Je ne crois pas que l’on puisse expliquer ces cycles autres que par des hypothèses impossibles à prouver, mais qui nous semblent rationnelles. Ces périodes de réchauffement ont réellement existé et les effets étaient les mêmes, mais il n’y avait personne pour prendre des photos, qu’ils auraient laissées en héritage à la postérité. La seule chose que je comprenne de ce battage médiatique, est de s’assurer que la population croit réellement que ces changements sont la cause de l’émission de CO2 ou autres GES et qu’elles réagissent favorablement aux décisions qui devront être prises pour se préparer au pic pétrolier que tous les experts en la matière connaissent et qui est prévu d’arriver entre 2014 et 2021, d’où la moyenne de 2017.

Voyons maintenant ce que les experts de tous domaines (25) prévoient comme année du pic pétrolier mondial.

Citation:

Synthèse des dates prévisionnelles du pic pétrolier, d'après le World Oil Production & Peaking Outlook. Notez que ce document situe lui même le pic entre 2012 (en l'absence de crise) et 2017 (si une crise réduit la demande en pétrole).



J’ai vérifié et chiffré patiemment toutes ces données et j’en suis venu à la même conclusion.

Conclusion : En l’absence de crise 2012, réactions violentes 2016,
Si crise, donc hausse des prix qui réduira la consommation, prévue pour 2017, réaction très violente vers 2021.

55% du pétrole pompé sert de carburants pour alimenter la motorisation des véhicules divers. C’est cette utilisation du pétrole qui va nous causer des problèmes.

Al Gore prévoit une crise majeure dans 10 ans (2017) reliés aux GES et le pic pétrolier entre 2016 et 2021. Les deux périodes coïncident pour des raisons différentes? Quelles seront les conséquences sur notre mode de vie. Cette crise explique déjà en grande partie la géopolitique actuelle?

Amicalement

Yves Vinet
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glevesque
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 Message Posté le: Ven 19 Oct 2007 3:10 pm    Sujet du message:
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Salut

2017, ça nous laisse pas grand temps pour trouver et surtout appliquer les énergies alternative. Dans dix ans que ferons-nous !

Pourtant ils existent aucun forum de discution de citoyans, aucune implication majeur de nos gouvernement et industrielle !

Vois-tu si cela est vrai, et bien il est permis de pensée que certains ce prépar déjà a ce protèger de cette crise et cela explique le pourquoi du laisser faire du Darfours Soudanais et la politique étrangère américainnes sur l'Irak et les pays produsteur de pétrole, dont l'Iran fait partie ! 10 ans c'est peut et cela entrainera des conflit majeurs !!!!!!!!

Au habrit tous !!!!!!!! C'est situation est Apocalyptique !

Les Olygarches sont les principales manipulateur de se laisser aller (nos politiciens étant de simple pions a leurs solde), car en fait les solution devrait-être drastique et on ne fait absolument rien !

Et moi qui croyait au pics de 2050 avec l'espoir de tous faire pour au moins nous donner une simple petite chance, je rève ou quoi !!!!!!

PS : Depuis l'an 0, seul l'empleur est différentes et emplifier !
Voir le graphique suivant :
http://img.rock-hosting.com/img/ipccwg9lez.gif

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 Message Posté le: Ven 19 Oct 2007 5:04 pm    Sujet du message: fonte des glaciers
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Salut Gilles

Un autre texte pour parler de le font des glaciers depuis les 10,000 dernières années.

Par Guy Clavel

La plupart des glaciers sont en mauvaise santé, une situation qui met en danger des millions de personnes dans le monde dont l'approvisionnement en eau est menacé à terme, préviennent deux experts en glaciologie, dont le livre Les glaciers à l'épreuve du climat sort en France.

«Au cours de ces 10 000 dernières années, les glaciers ont beaucoup fluctué, avec une alternance d'avancées et de reculs», a rappelé Bernard Francou, directeur de recherche à l'Institut de recherche pour le développement (IRD) en présentant cet ouvrage.

Le constat est sans appel : «même si elle n'est pas homogène, la récession des glaciers dans le monde est générale» à l'exception notoire de ceux d'Europe du Nord, a affirmé le coauteur du livre, Christian Vincent, ingénieur au Laboratoire de glaciologie et géophysique de l'environnement (LGGE) à Grenoble (sud-est).

Or, soulignent les deux experts, «environ 1/6 de la population mondiale dépend de la fonte de neige ou de glace pour son approvisionnement en eau potable, pour l'irrigation ou l'hydroélectricité».

Mais d'autres conséquences catastrophiques sont prévisibles, avec d'abord la formation de très nombreux lacs naturels de retenue dans l'Himalaya ou les Andes. Si la pression de l'eau devient trop forte, ces poches crèvent, provoquant d'énormes vagues emportant tout sur leur passage, et des inondations.

Par ailleurs, l'augmentation de la température conduit à la formation d'une couche d'eau entre les glaciers et la moraine (matériel transporté par le glacier), entraînant une augmentation de la vitesse des glaces et la chute brutale des séracs (amas chaotiques de glace).

De très nombreuses populations dépendent également pour l'irrigation de leurs champs de la fonte annuelle des glaciers. Leur disparition aura ainsi des conséquences sur le débit des rivières dans des zones aux longues saisons sèches (Pérou, Bolivie, etc.).

Le constat, affirment les deux auteurs, est sévère. Dans les Alpes, les glaciers diminuent depuis le milieu du XIXe siècle. En Suisse, «ils ne représentent plus que 60% de la surface occupée en 1850».

En Afrique, les surfaces glaciaires au sommet du Kilimandjaro ne correspondent plus qu'à 20% de celles présentes au début du XXe siècle.

Les Campos de Hielos (Champs de glaces) de Patagonie, en Amérique latine, «auraient perdu de 3 à 13 km3 de volume de glace par an depuis les années 1970», ont-ils encore précisé. Pour Christian Vincent, si les températures continuent à augmenter, «les petits glaciers des Andes tropicales sont voués à disparaître d'ici à quelques années ou décennies».

Par ailleurs, ont ajouté les chercheurs, 80% des glaciers arctiques, dont ceux du Groenland, «affichent une santé précaire», «le recul de ceux du Népal, dans l'Himalaya, semble s'accélérer depuis une vingtaine d'années» et au Tibet, «le nombre de glaciers en récession s'est récemment multiplié».

Ce recul général aurait pu s'expliquer par des fluctuations naturelles : du temps des Romains, les glaciers étaient aussi réduits qu'actuellement.

Mais aujourd'hui, «la nature de l'atmosphère a changé» avec les gaz à effet de serre, constate Bernard Francou. «Il n'y a pas de raisons que cela s'arrête, et cela ne nous invite pas à l'optimisme», s'alarme-t-il

J’ai seulement mis en rouge les passages qui me semblent important à souligner.
Pour le reste, je n’ai pas touché un iota du texte.

Amicalement

Vinety
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vinety
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 Message Posté le: Dim 21 Oct 2007 2:10 pm    Sujet du message: climat
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Salut Gilles

Je bizoune sur différents forums pour glaner des informations et j’ai trouvé ceci et cela

Il est de bonne guerre de t’informer de mes sources pour qu'on puissent mieux communiquer sur ce sujet tant controversé et donner à tous les intéressés des sites de références appropriés.

Pour faire suite, sur un autre forum, j’ai trouvé une réponse à ce premier site et je te fais partager la partie qui me concerne le plus, soit la déplétion du pétrole.

Une réponse d’un pseudo de ce forum. Note j’ai retenue la partie qui m’intéresse.

Citation:
De toute façon, l’énergie facile (pétrole, gaz, charbon) qui porte la croissance depuis 2 siècles vient à épuisement. De toute façon, il va falloir trouver des sources de développement économique sans puiser dans les ressources épuisables et bientôt épuisées. GIEC ou pas GIEC. Et il y a évidemment un modèle de croissance Kyoto, et même super-Kyoto, puisque Kyoto n’est qu’une demi-mesure totalement insuffisante. Nucléaire, solaire, hydrogène, et même les ventilos des écolos, pour leur faire plaisir, feront partie de ce modèle ; comme une urbanisation différente, une limitation des transports, manger moins de viande et moins de melons chiliens en France et français au Chili.


Amicalement

Yves Vinet
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glevesque
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 Message Posté le: Dim 21 Oct 2007 2:38 pm    Sujet du message:
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Salut

Je suis d'accord !

Et j'ajoute qu'il faudra tenir en compte la décentralisation, un retoure vers les campagnes et des valeurs plus humaines et surtout vers des principes d'auto-suffisance sur tout les plans. Le tout encadrer par des politique inter-régionnale de coopération, d'entraide et de solodarité !

Et tout comme un fractale, appliquer le principe vers le provincial, le nationnale et l'internationnale ! On a pas le choix si nous voulons nous en sortir, il faut abandonner le mythe de néolibéralisme et de la finance internationnal qui ne vise que compétition et isolement entre les peuples et leurs cultures sur le plan socio-économique et à travers la non redistribution équitable des richesses et des ressources planétaire (qui appartient a tous de droit, mais que l'on s'appropris pour des question de profitabilité et de rentanbilité sans tenir compte de nos réelle impacte sociale sur leur exploitation et gestion) ! Il faut démontrer un réelle esprit de coopération et d'entraide internationnal, il faut que l'homme s'unissent dans se défit planétaire de survit.

Il faudra bien développer quelque choses de vrai qui puissent réunirent les hommes à travers des but commun pouvant abolire les barrière des isolations culturelle sur le plan des religions et des philosophie a saveur dominante ! Car cette fois-ci faire une quète militaire pour s'approprié ses dernière ressource, sera tout simplement catastrophique et apocalyptique.

Le capitalisme sauvage ne fait que d'accroite l'esprit de compétition, qui a son tours nous isolent les uns des autres à travers des but et des défit commun. Nous mélangons tous en disant que le vent donner et exporter la démocrasie, quand en fait nous ne faisont qu'exporter leurs valeurs absurde de ce capitalisme sauvage à travers le néolibéralisme financier internationnale qui ne sert qu'a exploiter part le mensonges et l'optention d'intérets et de prévilège des maitre de ce monde. Nous favorison ainsi les sentiment de frustation !

A travers cela, nous en voyons une image trompeuse de la réelle volonté et intension de partage des peuple de l'occident, qui se laisse mentire et berné à eux-même à travers ce laisser faire !

Cette image est percus par le reste du monde comme une tromperies qui favorise l'intégrisme de toutes sortes a cause de se sentiments de tromperies et du senblant d'ipocrésie que cela dégage et percus par le reste du monde pauvres de la planète.

Il faut donc trouver le moyen de dévoiler les réelles intensions de notre coeur occidentale, de démontrer une réelle volonté d'agire sur le partage ,l'entraide et la solodarité, car sinon nous ne ferions que renforcer ces sentiments de haine qui favorise le sentiment d'exploitation de ces peuple et qui par feelback favorise l'intégration des rangs des intégrismes de toute sortes !

Mère théresa était respecter de partout sur la planéte, car elle dévoilait ses réelle intension sans partie prit et sans intension cacher et béliqueuse, voilà notre exemple intensionnelle qu'il faut démontrer a tout pris ! Nous ne sommes pas percus comme peuple pacificateur, mais bien comme peuple hypocrite voulant exploité a travers ce néolibéralisme.

Gilles
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vinety
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 Message Posté le: Dim 21 Oct 2007 4:52 pm    Sujet du message: changements climatiques et déplétion du pétrole
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Salut Gilles

Je suis d’accord sur les principes que tu as élaboré. Moi aussi, je vois un monde axé sur une autosuffisance locale et rayonnant vers les limites des continents, comme cela existait avant les campagnes de colonisation et des conquêtes préoccidentales.

Cela sera possible, que si la civilisation présente s’effondre au niveau de l’âge de pierre. Pourquoi. Parce que si la déplétion ou le réchauffement climatique cause un effroyable chaos universel et met à mal la civilisation actuelle, hé bien alors nous n’aurons d’autres choix, que de vivre comme vivait nos ancêtres, de troc, d’entraide, de recyclage éclairé de tous les produits de la terre dans le respect de l’environnement, ce que préconisent tous les écolos sincères.

Un mal nécessaire si nous voulons que l’humanité continue d’exister, pour peut-être recommencer dans plusieurs millénaires, quand une nouvelle mythologie prendra place, basé sur le monde merveilleux qui a existé avant, ce qui nous semblera alors, comme un paradis perdu.

Je ne crois pas que le genre humain tel que nous le connaissons changera suite à un éventuel retour à l’âge de pierre (sic), à moins d’une évolution génétique, qui a peu de chance d’arriver.
Serons-nous plus sages? J’en doute et l’homme continuera de mettre en œuvre son altruisme et sa violence, pour le meilleur et pour le pire, et peut-être qu’une autre civilisation verra le jour?

En attendant de voir les résultats de nos insouciances et de nos excès, peut-être vivrons-nous suffisant vieux pour en connaitre l’issue?

Amicalement


Dernière édition par vinety le Lun 22 Oct 2007 12:19 am; édité 1 fois
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glevesque
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 Message Posté le: Dim 21 Oct 2007 7:12 pm    Sujet du message:
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Salut

Et héllas, j'ai bien peur que tu as parfaitement raison ! Car sans témoins null changement nous poussera a changé nos comportement dominé par nos instinct !

Mais dominer c'est aussi être dominer, et l'harmonie domine dans l'harmonie, espérons que cette lecon nous poussera a changé notre dogme de ce coté là !

Je crois qu'un mythe a ce pouvoir de formater et de conditionner les valeurs des esprits, mais ce mythe doit trouver écos sur les prémisses même de la nature vers un sens réalisme des comportements ! Notre mythe actuelle n'étant axées que sur l'esprit de dominance et de compétition, on ne peut que subire les conséquences de ces archétypes d'action et de rétoaction ! Espérons que l'humanité le comprendera un jours !!!!!!

Et le capitalisme cache cela dans son saint intérieur, visant l'exploitation de l'homme par l'homme et en dictant que sais cela la démocrasie par législation, ce qui a la base est faux ! Car elle engendre l'indivudualisme et l'indifférence tout autour d'elle, possèdant un pouvoir destructeur relié a la sur-consomation qui ne vise que le d'ésiquilibre de l'ensemble et l'aveuglement volontaire pour cause de compétition sur les profits quel apporte et donne l'illusion d'être réelle parmis les hommes et que l'on ne peut en faire autrement (ce qui est faux) ! La capitalisme n'est que la décentralisation du pouvoir que détenaient les princes d'autefois des anciens régime de roi féodalisés. Le capitalisme donne l'illusion acceptable des innégalité de castes, de par les droit accordés de l'exploitation de l'homme par l'homme a travers des esprit de compétition et non de coopération quel oublit de manière volontaire, car non rentable sur le plan des profits et des rentabilité pouvant donner et renforcer prestige et prévillèges distinguant tous et chacun du fruit des innégalité en partage et à travers un système normaliser de caste par dessus caste et servant a la redestribussion innégales des richesses et des distinction entre les hommes. lle engandre a la longue, que favoritisme et trafique d'influence dont seul les pôt-de-vin de toutes sortes en deviennent les véritable représentant de sa démocratie devenut carriérisme et fait aux yeux et au dépend de toute sa population, car elle deviens loi et règle toujours vers le despotique aveugle et sanglant pour ceux qui en sont exclut par nature et par culture différentes, et un jours c'est ça propre population qui en subit directement les conséquences par l'illusion des réformes qu'on lui affliges volontairement, afin de satisfaire la néo-évolution libérale de celle-ci !

Ce Néolibéralisme en est sa fin, car la planète ne peut suivre ses propre caprice de ce jeu de dominance a outrance ! Si l'homme ne voie pas sa propre terre dépérire, et bien celle-ci changera sa propre nature d"être, car n'ayant plus les capacité de se regénérer d'elle-seul et parmis les hommes, elle changera et ne s'occupera plus de nous et recherchera de nouvelles équilibre face a elle-même et pour elle-même uniquement !

Et pourtant null ne veut changé et null ne veut raisonner, sauf les null qui eux-même son exclut de l'ensemble et pris pour les maitre des fous qui les exclut eux-même de leurs club normaliser en fou inclusif par exclusion !

Poésie d'un soir !!!!!!

Gilles
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vinety
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 Message Posté le: Lun 22 Oct 2007 3:25 pm    Sujet du message: changements climatique
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Salut Gilles

Maintenant que chacun de nous avons philosophé sur ce sujet tant controversé, (le réchauffement climatique) j’aimerais reproduire ici, une très belle analyse faîte par trois personnes qui discutent du même problème sur un autre site que je nommerai pas (forum Zététique). Les trois signataires de cet article au bas de la page.

Citation:
Réchauffement climatique : délires et des faits

Le sujet est d’actualité, même au sortir de l’été le plus frisquet du siècle naissant. Reprenons les assertions écologistes pour tenter de démonter le bien fondé de la chasse impitoyable au C02 telle qu’elle est en préparation par les autorités dans le cadre du Grenelle de l’environnement. Dans un chapitre ultérieur nous mettrons en évidence les contradictions du plan de réduction qui est envisagé et les effets nocifs prévisibles d’un tel scénario.

Alors une modeste contribution étayée par les informations disponibles sur le net* pour tenter d’y voir un peu plus clair dans un domaine où il y a peu de certitudes, beaucoup d’approximations et un flot de contre-vérités au service d’une idéologie: l’écologie salvatrice. - deep ecology - chère aux ayatollahs verts.

La certitude :

La température moyenne de la planète s’est réchauffée en un siècle de 0,7 degré. Pas de quoi faire une flambée.


Les approximations :

Les projections pour le siècle à venir font état d’une augmentation de la température comprise entre 2 et 6 degrés.

Les contre-vérités :

La Terre est en danger de mort du fait de ce réchauffement : disparition d’espèces, désertification, fonte des glaces et hausse métrique du niveau des mers et océans...

Le rejet massif de CO2 est le grand responsable par l’amplification de l’effet de serre, de cette élévation. L’homme fabrique du C02 pour la moindre de ses activités, y compris quand il expire. Donc l’homme est coupable du réchauffement d’un globe qui serait tellement plus accueillant, si le Terrien ne l’avait pas colonisé, et l’homme blanc plus particulièrement.

La morale de cette fable écolo, dispensée comme parole d’Evangile par tous les média, les Hulot, les Borloo et leurs petits perroquets, c’est que le Français doit changer son mode de vie pour combattre la mort programmée de sa planète. C’est une obligation faute de quoi, punition, contravention, enfer et damnation pour les prochaines générations...

Produire moins de C02, c’est consommer moins d’énergie, ce qui veut dire en langage quotidien et avec quelques exemples non exhaustifs, troquer sa voiture pour le vélo et les transports en commun, se chauffer moins et se passer d’air conditionné, voir son paysage pollué par des éoliennes, réduire sa vitesse sur les autoroutes c’est-à-dire augmenter la durée du temps de transport, dépenser beaucoup pour les frais d’ « écologisation » de son habitat, fréquenter les plages de côte d’Opale de préférence à celles des Seychelles... et in fine payer les taxes écolo qui sont entrain de mûrir au soleil de Grenelle.


Rétablissement des faits :

Des voix discrètes instantanément qualifiées de négationnistes s’élèvent ici ou là, et tentent de mettre un peu d’ordre dans ce fatras d’approximations et de contre-vérités. Avant de « remonter dans l’arbre », but ultime de l’écologie salvatrice qui souhaite nous inciter à retrouver notre milieu naturel, il est intéressant de mettre en face de cette litanie culpabilisatrice les faits qui sont avérés.

Le concept de température du globe, a-t-il une signification ? Par construction, c’est une moyenne. Les disparités qu’elle recouvre ont-elles été étudiées ? Difficilement, on s’en doute puisque les prélèvements sont extraits des zones où règne en permanence une température inférieure à 0. Quant à la température moyenne entre la calotte arctique et le Mozambique, elle est dénuée de sens. Pourtant, c’est sur ce type de raisonnement qu’est bâti l’écologiquement correct que l’on nous impose.

La focalisation sur le réchauffement de la planète et sur ses conséquences néfastes fait pointer le spectre d’une température « normale » ou optimale. Qu’elle est-elle ? Celle qui baignait le globe lors de la soupe primitive, celle d’il y a 10 000 ans qui se situait à 7 degrés en dessous de ce que nous connaissons aujourd’hui, celle du climat tempéré à l’avènement de Jésus-Christ, ou celle plutôt glaciale au temps de nos aïeux du Moyen Âge. Qui est habilité à décider de cet optimum, le voyagiste, le climatologue ou le frigoriste ?

Les fluctuations de la température atmosphérique sont régies par des paramètres nombreux dont la connaissance exhaustive n’est pas assurée et dont les effets combinés compliquent à l’extrême leur modélisation - la théorie du chaos infirme même cette possibilité. N’en déplaise aux fans du Giec, aucun test de régression n’a permis à ce jour de valider un modèle et de prévoir... le passé. Les variations décelées par les carottes glaciaires ont été, dans les temps reculés comme récents (an 1000 et période précédant la révolution), d’une amplitude supérieure et d’une soudaineté identique à ce que nous connaissons depuis dix ans. Souvenons-nous qu’il y a tout juste quarante ans les climatologues parlaient d’un refroidissement général affectant nos contrées : c’était juste avant Mai-68 !

Au rang des facteurs qui contribuent à déterminer la température de notre environnement, hors effet de serre :

L’ensoleillement, lui-même dépendant du taux de vapeur d’eau, fonction de la température.

La dissipation par effet Joule de l’énergie sismique. La tectonique des plaques a un effet incommensurable (stricto sensu) sur la température terrestre par l’énergie colossale qui s’y déploie.

Le volcanisme par le volume d’émission de gaz et de particules affectant l’ensoleillement.

L’activité solaire qui varie en intensité selon des périodicités mal connues, mais aux effets brutaux.

Les aérosols qui agissent selon l’effet parasol et contribuent à refroidir le système terre-atmosphère.

Les cycles de Milankovitch expliquent les variations des trois paramètres réglant la rotation de la terre, c’est-à-dire l’angle d’attaque de l’atmosphère par les rayons solaires et donc leur effet sur la température.

.Quant à l’effet de serre, il pilote la biodiversité. Or il est notoire que l’élévation de température accompagnée d’une augmentation du pourcentage de C02 a un effet multiplicateur sur le développement de la végétation et donc de l’absorption du CO2, de l’expansion des espèces animales dont la nourriture est plus abondante. Et s’il y a moins de bébés phoques et il y a plus de caïmans, c’est la loi qui régit l’évolution de la biodiversité depuis bientôt 4 milliards d’années, avec le succès que l’on sait.

Le dioxyde de carbone CO2 dont la notoriété est sortie des classes de chimie par la magie des propagandistes du « tous coupables » est l’un des gaz qui contribue à l’effet de serre. Ce n’est pas le plus important. La vapeur d’eau H20, et le méthane CH4 issu de la fermentation des matières organiques contribuent davantage à la rétention du rayonnement infrarouge. L’un et l’autre ne sont pas dans des quantités significatives affectés par l’activité humaine, du moins chez les gens civilisés. Le CO2 est produit par la fermentation naturelle en milieu aérobie de matières organiques et par l’activité humaine - combustion des matières fossiles, charbon, pétrole... Le paramètre critique pour déterminer l’impact de ces gaz sur l’effet de serre est le stock de gaz en circulation dans l’atmosphère et non pas le solde émission-absorption.

Pour enfoncer le clou, les plantes, la surface des océans absorbent le dioxyde de carbone, l’homme le rejette. Le flux annuel d’accroissement du C02 représente environ 30 milliards de tonnes pour un stock de 3 000 milliards soit environ 1 %. Ce sont ces 3 000 milliards plus ou moins 30 qui affectent le climat et non pas les seuls 30 comme on voudrait nous le faire croire! Imaginez l’incidence d’une réduction de 10 % de ces 30 milliards soit 0,1 % : imperceptible !

Les études climatologiques ont mis en évidence la corrélation entre température et densité de C02. Mais pas dans le sens suspecté. Depuis l’origine des temps, la hausse des températures a précédé d’environ 800 ans l’augmentation du taux de C02. Perturbant pour nos écolos qui préfèrent dès lors n’en point parler.

A ce stade nécessairement elliptique de notre démarche on remarque qu’il n’existe pas de certitudes sur la chaîne de causalité du réchauffement. Pas plus qu’il n’existe un consensus sur la température optimale du globe. En revanche que d’idéologie ! Idéologie qui se résume en une croyance : depuis les Evangiles, l’homme est responsable de tout. Il est donc coupable du dérèglement climatique et il doit payer...

En vérité UNE seule certitude : la hausse modérée 0,7 degré en un siècle de la température atmosphérique autour d’une moyenne qui se situe aux environs de 15° et une augmentation sporadique des désordres climatiques, cyclones, sécheresses, inondations qui laisse bien des climatologues sceptiques...

Et une interrogation : l’homme doit-il s’adapter aux modifications du climat ou prétendre le modifier ?

* et inspiré par Claude Allègre, Christian Gerondeau, Marcel Leroux, Jean de Kervasdoué

"La dissipation par effet Joule de l’énergie sismique. La tectonique des plaques a un effet incommensurable (stricto sensu) sur la température terrestre par l’énergie colossale qui s’y déploie."


Amicalement

Vinety
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 Message Posté le: Lun 22 Oct 2007 5:22 pm    Sujet du message:
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Salut

Je suis pleinnement d'accord !

Citation:
Les études climatologiques ont mis en évidence la corrélation entre température et densité de C02. Mais pas dans le sens suspecté. Depuis l’origine des temps, la hausse des températures a précédé d’environ 800 ans l’augmentation du taux de C02. Perturbant pour nos écolos qui préfèrent dès lors n’en point parler.
Pourtant cela aurait dut lui metre la puce a l'oreil, car c'est exactement le phénomène qui caractérise la différences du cycle climatique actuelle et qui renforce l'apport anthropique qui emplifie les composantes naturelle.

Donc :

Citation:
A ce stade nécessairement elliptique de notre démarche on remarque qu’il n’existe pas de certitudes sur la chaîne de causalité du réchauffement.
Ceci est faux, il en existe de plus en plus (via le C13 par exemple)

Citation:
Pas plus qu’il n’existe un consensus sur la température optimale du globe. En revanche que d’idéologie ! Idéologie qui se résume en une croyance : depuis les Evangiles, l’homme est responsable de tout. Il est donc coupable du dérèglement climatique et il doit payer...
Et ceux qui disent le contraire, sont également dans un cycle de croyance et pour preuve !!!!

Gilles
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 Message Posté le: Ven 26 Oct 2007 6:08 pm    Sujet du message:
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Salut

Qui peut me retrouver l'animation sur le dégèle de la banquise arctique présentant des images satellites couvrant 2005 à 2007 et qui a passer au nouvelle de radio cadna ! (nouvelle vers le 20 octobre 2007)

Car ici il n'est plus question de 2050 mais bien d'avant 2020 (exponentiel) !

Merci

Gilles
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vinety
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 Message Posté le: Sam 27 Oct 2007 4:50 pm    Sujet du message: climat
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glevesque a écrit:
Salut

Je suis pleinnement d'accord !

Citation:
Les études climatologiques ont mis en évidence la corrélation entre température et densité de C02. Mais pas dans le sens suspecté. Depuis l’origine des temps, la hausse des températures a précédé d’environ 800 ans l’augmentation du taux de C02. Perturbant pour nos écolos qui préfèrent dès lors n’en point parler.
Pourtant cela aurait dut lui metre la puce a l'oreil, car c'est exactement le phénomène qui caractérise la différences du cycle climatique actuelle et qui renforce l'apport anthropique qui emplifie les composantes naturelle.

Donc :

Citation:
A ce stade nécessairement elliptique de notre démarche on remarque qu’il n’existe pas de certitudes sur la chaîne de causalité du réchauffement.
Ceci est faux, il en existe de plus en plus (via le C13 par exemple)

Citation:
Pas plus qu’il n’existe un consensus sur la température optimale du globe. En revanche que d’idéologie ! Idéologie qui se résume en une croyance : depuis les Evangiles, l’homme est responsable de tout. Il est donc coupable du dérèglement climatique et il doit payer...
Et ceux qui disent le contraire, sont également dans un cycle de croyance et pour preuve !!!!

Gilles


Salut Gilles

Concernant le C-13 j’ai trouvé ces informations sur le net.

Citation:

Méthode carbone 13

Le carbone 13 (13C) est l’un des trois isotopes du carbone. Contrairement au 14C, il s’agit d’un isotope stable. Dans l’atmosphère, les molécules 13CO2 coexistent avec les molécules 12CO2, à hauteur d’environ 1,1 % du total du CO2. Les plantes utilisent les deux types de carbone lors de la photosynthèse, mais le 13C, un peu plus plus lourd, est un peu moins absorbé que le 12C. De plus, on observe de légères différences, liées au type de photosynthèse. Les plantes à cycle en C4 (essentiellement des Graminées et Cypéracées tropicales de milieux ouverts) absorbent plus de 13C que les plantes en C3 (pratiquement toutes les autres plantes, dont toutes les essences forestières). Cette discrimination est faible : on l’exprime en unités , qui représente, schématiquement, la différence relative avec un standard, exprimé en ‰. L’information 13C de la végétation se transmet, sans grand changement, aux matières organiques des sols.

A titre d’exemple ; le 13C des matières organiques des sols de forêts ombrophiles congolaises (composées exclusivement de plantes C3) varie de -26 à -28 ‰
celui des savanes (composées essentiellement de graminées C4) varie, selon le pourcentage d’arbustes, de -12 à -18 ‰.

En condition de végétation stable, il n’y a pas de valeurs intermédiaires entre ces deux pôles. On dispose ainsi d’un excellent marquage : les valeurs intermédiaires caractérisent systématiquement les changements de végétation. On peut ainsi mettre en évidence le remplacement d’une forêt par une savane, ou l’inverse, à des échelles de temps qui sont fonction de la vitesse de renouvellement des matières organiques dans les sols. Cette vitesse dépend elle-même de la profondeur et du type de sol analysé (matière organique humifiée des sols ferrallitiques, tourbe, humus enfoui de paléosol, accumulation organique des podzols...).


Contact :
André Mariotti
Laboratoire Biogéochimie des Isotopes Stables
Université P. et M. Curie, 4 place Jussieu
75005 Paris


Je te comprends sur les preuves d'un côté comme de l'autre. Cependant, je préfère un débat ouvert à tous qu'une pensée unique axée sur l'information médiatique qui est très proche de la propagande? et qui sert-elle? Si on a les deux, surtout de scientifiques reconnues, hé bien, je me dis qu'il y a anguilles sous roches et que je dois à ce moment analyser les deux versions avant de me prononcer sur une version ou une autre.

Personnellement je penche sur un changement climatique naturel, pourquoi? Les paramètres gouvernants le climat est tellement complexe et évanescent qu'il est à peu près impossible que la technologie humaine soit capable de prévoir le changement à long terme, tel que prédit par les promoteurs du réchauffement climatique global actuel.

Lee problèmes d'ordre polluants sont réels et on doit faire tout en notre pouvoir pour les régler un par un. Cela est du ressort de la technologie et profondément humain.

Quant aux arguments des écolos, que le CO2 en sus de la normalité atmosphérique, qui est moins de 1 %, puisse affecter à ce point les échanges gazeux entre les plantes et la masse existante qui est plus de 800 fois supérieures à l'émission anthropique et en plus affecter le climat à ce point? Hé bien, il y a quelques choses de croche dans leur raisonnement qui est la cause des controverses entre scientifiques.

Amicalement

Yves Vinet
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 Message Posté le: Dim 28 Oct 2007 7:06 pm    Sujet du message:
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Salut

A surveiller :




Les experts sont unanimes sur les prévisions du prochain cycle solaire, qui culminera en 2010-2011 : il sera d’une intensité exceptionnelle. « Le cycle 24 semble parti pour être un des cycles les plus intenses depuis que ceux-ci sont observés, c’est-à-dire bientôt 400 ans » confirme le physicien solaire David Hathaway du centre spatial Marshall. Chose inquiétante, les 4 des 5 cycles solaires les plus intenses se sont produits au cours des 50 dernières années ! Il faudra donc s’attendre au cours de l’année 2010 à de terribles orages magnétiques, engendrant de grosses pannes de courants et le dérèglement des boussoles…

Source

Gilles
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 Message Posté le: Dim 28 Oct 2007 7:39 pm    Sujet du message:
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Salut

Maintenent il resterait a trouver la cause de cette particularité de ce cycle, qui semble sortir de null part !

Qui a d'autre informations sur le sujet concernant ce cycle solaire particulié !


PS : Pour Yves
Citation:
Quant aux arguments des écolos, que le CO2 en sus de la normalité atmosphérique, qui est moins de 1 %, puisse affecter à ce point les échanges gazeux entre les plantes et la masse existante qui est plus de 800 fois supérieures à l'émission anthropique et en plus affecter le climat à ce point? Hé bien, il y a quelques choses de croche dans leur raisonnement qui est la cause des controverses entre scientifiques.
Tu oublit que la très grande partie viens du phytoplancton (qui forme les réserve de carbonate que les pluit acide on le pouvoir de dissoudre) et que le processus viens d'un équilibre. Le 1% en rapport avec le CO2 et d'origine anthropique, est hors de l'équilibre, ce qui entraine le dérèglement et non le CO2 qu'absorbe les plantes et le planctons océaniques et ceci sans compter l'équibre de la dissolution/émission du CO2 par les océans !!!!!

Gilles
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 Message Posté le: Dim 28 Oct 2007 9:01 pm    Sujet du message: bicarbonate
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glevesque a écrit:
Salut

Maintenent il resterait a trouver la cause de cette particularité de ce cycle, qui semble sortir de null part !

Qui a d'autre informations sur le sujet concernant ce cycle solaire particulié !


PS : Pour Yves
Citation:
Quant aux arguments des écolos, que le CO2 en sus de la normalité atmosphérique, qui est moins de 1 %, puisse affecter à ce point les échanges gazeux entre les plantes et la masse existante qui est plus de 800 fois supérieures à l'émission anthropique et en plus affecter le climat à ce point? Hé bien, il y a quelques choses de croche dans leur raisonnement qui est la cause des controverses entre scientifiques.
Tu oublit que la très grande partie viens du phytoplancton (qui forme les réserve de carbonate que les pluit acide on le pouvoir de dissoudre) et que le processus viens d'un équilibre. Le 1% en rapport avec le CO2 et d'origine anthropique, est hors de l'équilibre, ce qui entraine le dérèglement et non le CO2 qu'absorbe les plantes et le planctons océaniques et ceci sans compter l'équibre de la dissolution/émission du CO2 par les océans !!!!!

Gilles


Salut Gilles

Je t'ai promi dans un post antérieur une traduction de l'anglais sur les calthrates.

Voici le texte, il est lourd. Auras-tu la patience de le lire en entier?

Citation:

Les calthrates par Todd Sowers.

Les hydrates de méthane et le réchauffement global.

Il une quantité énorme de méthane (CH4) sur la terre sous forme de glace appelée (hydrate de méthane). Les hydrates peuvent se former avec à peu près tous les types de gaz, et consistent en un type de cage de molécules d’eau qui entourent le gaz. (Le terme « clathrate » généralement solide, est des gaz piégés dans une cage quelconque), et le terme hydrate est le vrai terme pour ceux piégés dans une cage de molécules d’eau.) Il y a des hydrates de CO2 sur Mars, mais sur la Terre, les hydrates sont remplis de méthanes. La plupart de ces méthanes sont piégés dans les sédiments des océans, et certains sont associés avec le pergélisol.

Les hydrates de méthane peuvent intuitivement sembler être des éléments très instables. Les hydrates de méthane fondent si elles deviennent trop chaudes et flottent sur l’eau. Le méthane est un gaz à effet de serre très puissant et se dégradent en CO2, un autre gaz à effet de serre, qui s’accumule dans l’atmosphère, pareil au CO2 des carburants fossiles. Et il y en a possiblement plus, que les dépôts traditionnels de pétrole. Il est concevable que les changements climatiques puissent affecter ces dépôts. Que savons-nous des scénarios-catastrophes sur le potentiel des hydrates de méthane ?

Les hydrates océaniques. La plupart des hydrates de méthane sont dans les sédiments océaniques. De ces sédiments, la plupart peuvent être identifiés à des dépôts du type stratigraphiques. Le carbone de source organique issu du plancton est enfoui depuis des millions d’années. Des centaines de mètres sous le plancher de l’océan, des bactéries produisent du méthane avec la digestion du plancton mort. Si le méthane est produit suffisamment rapidement, une partie va se congeler sous la forme d’hydrate de méthane.

Ce type de dépôt contient des milliards de tonnes de carbone sous forme de méthane.
[Buffet et Archer, 2004 ; Milkow, 2004] Pour comparaison, le type le plus abondant des carburants fossiles est le charbon, à qui on alloue 5000 milliards de tonnes de carbone. [Rogner, 1997]

De temps en temps, le méthane se déplace autour du globe, et à certaines places, il se dépose, formant des dépôts appelés des hydrates structuraux. Par exemple, le golfe du Mexique est une nappe de pétrole qui fuit. [MacDonald et al, 2005] Une implication des gaz se mouvant et formant des dépôts semblables est que la concentration de ces hydrates peut être très haut, au point de former des tas massifs d’hydrates presque purs. La deuxième conclusion est que ces hydrates peuvent se trouver très proches du plancher marin, et aussi sur le plancher marin.

Les hydrates fondent s’ils se réchauffent trop. L’océan est suffisamment froid dans les profondeurs de plus de 500 mètres (200 mètres dans l’Arctique). Sous le plancher marin, la température monte avec la profondeur, selon le gradient géothermique. À certaines profondeurs, la température est trop élevée pour les hydrates, ils fondent s’ils sont enfouis plus profondément que cette profondeur. Il y a souvent une couche de bulles hydratées sous la zone de stabilité des hydrates. Les bulles reflètent les ondes sismiques sonores et montrent clairement leurs existences lors des études sismiques faites autour du monde.[Buffett,2000]. Les monts et vallées des couches de bulles suivent les monts et vallées du plancher marin, de telle façon que cette couche est appelée un réflecteur simulant le fond du plancher marin. (Bottom-simulating reflector) [BSR]

Maintenant, réchauffons l’eau au dessus de la colonne sédimenté. Ultimement, le nouveau profil de température va s’ajuster à la même courbe que celle de la géothermie, mentionnée précédemment. La zone stable des hydrates va s’amincir proportionnellement à l’augmentation de la température de la colonne du sédiment. La chose la plus importante à noter est l’amincissement de la couche qui se fait à partir du dessous et non du dessus. L’hydrate à la base de la zone stable commence à fondre en premier.

Si la zone stable continue d’exister, elle sera plus profonde dans la colonne de sédiment, que les bulles nouvellement formées de gaz de méthane, et pourraient créer une couche plus froide, qui empêchera les gaz de méthane de s’échapper. Cependant, les études sismiques, souvent, nous montrent des zones complètement dépourvues de méthane, où ce réflecteur du plancher marin est absent et toute la couche structurale au dessus de la colonne sédimentaire disparait. Le réflecteur du plancher marin nous fait découvrir un fond sans aspérités.

Nous pensons que ces aires sont des endroits où les gaz sont passés à travers la structure de sédiments et se sont échappés dans l’océan [Wood et al, 2002]. Une théorie est que la migration des fluides vers le haut emporte avec lui la chaleur, et empêche le méthane de se congeler lors de son voyage à travers la zone nominale très stable. La surface des sédiments dans le monde océanique a des trous que l’on nomme des marques de petite vérole. [Hill et al, 2004], qui interprètent ces marques ressemblant à des explosions de gaz vu de la surface.

Et il y a une possibilité de glissement de terrain. Quand les hydrates fondent et produisent des bulles, il y un accroissement de volume. L’idée est que ces bulles pourraient soulever des grains de sédiments, déstabilisant ainsi la colonne de sédiment. Le plus gros glissement de terrain sous-marin connu, est hors des cotes de la Norvège, appelé Storegga [Bryn et al, 2005 ; Mienert et al, 2005] Le glissement à déterré sur le dessus de la moyenne de profondeur, 250 mètres de sédiments sur une aire de plusieurs centaines de kilomètres de large, s’étirant à mi-chemin entre la Norvège et le Groenland. Il a eu des glissements comparables sur les limites de la Norvège, à approximativement tous les 100.000 ans, coïncidant avec les cycles glaciaires. [Solheim et al, 2005]. Le dernier glissement s’est manifesté il y quelques milliers d’années, quand la zone stable s’est amincie à cause de hausse de la température de l’eau, il y a 8150 ans.

Les glissements ont débuté à une profondeur de quelque cent mètres tout près de la pente continentale, où Mienert a calculé le changement maximum du HSZ. Le site du glissement « Storegga » contient aujourd’hui des dépôts de méthane (clathrate), tel qu’indiqué par les lectures sismiques, correspondant à la base HSR, de 200 à 300 mètres et l’on observe les marques de petite vérole, qui indiquent l’expulsion des gaz des sédiments.

Cependant, il y a une autre hypothèse apparemment plausible de Storegga, qui n’implique pas du tout les hydrates. Ce serait l’accumulation rapide de sédiments glaciaires issus de la couverture glaciaire du Fennoscadian [Bryn et al, 2005]. La sédimentation rapide piège des molécules d’eau dans la colonne de sédimentation plus rapidement qu’elle peut les expulser par le poids de la sédimentation. Dans certains cas, la colonne flotte, à cause de la densité de sa colonne près de l’eau. Ce mécanisme à la capacité d’expliquer pourquoi la frange continentale norvégienne, contrairement aux autres endroits du monde, peut avoir des glissements de terrain synchronisés avec les changements climatiques.


Les glissements du Storegga ont généré des tsunamis sur ce qui est aujourd’hui la Grande-Bretagne, mais ne semble pas avoir aucune corrélation avec les changements climatiques.
Ce n’était pas une perte énorme de méthane. Le volume des sédiments déterrés était de 2500 Km3. En extrapolant que le méthane contenu dans le sédiment était de 1%, on obtient un relâchement de méthane d’environ 0.8 Gtonnes de carbone.

Même si tous les méthanes avaient rejoint l’atmosphère, il aurait eu un impact climatique plus petit qu’une éruption volcanique. Ici, j’ai calculé l’impact du budget radiatif du méthane. Actuellement, soyons honnête et disons la vérité, le glissement Storegga, est apparue soudainement près de la période chronologique du climat d’il y a 8200 ans, mais ne semble pas avoir aucune corrélation avec ce changement climatique.

Cette période de changement climatique a été un long intervalle d’une centaine d’années, qui est probablement une réponse d’un relâchement rapide d’eau douce du lac glaciaire Aggasiz vers l’Atlantique Nord et coïncidant avec la baisse subite de 75 ppbv de méthane, non une augmentation.

Le méthane peut sortir du sédiment sous trois formes possibles : dissouts, en bulles et en hydrate. Le méthane dissout est chimiquement instable dans la colonne océanique très oxydante, et il a une vie de dégradation d’à peu près dix ans (et plus rapide dans un environnement perturbé, où ça brasse) [valentine et al, 2001], ainsi, si le méthane est relâché dans une partie de l’océan peu profond, il a une meilleure chance de rejoindre l’atmosphère, sinon il sera dégradé rapidement.

Les bulles de méthane sont typiquement les seuls à remonter de quelques centaines de mètres avant de se dissoudre. Les hydrates flottent sur l’eau comme la glace le fait, et les méthanes se diffusent plus facilement dans l’atmosphère que les bulles.[Brewers et al, 2002]
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Pour la plus grande partie de l’océan, la fonte des hydrates est un procédé très long. Cela prend des décades et des centaines d’années pour réchauffer l’eau des océans à des profondeurs de plus d’un klm, et plusieurs centenaires de plus pour diffuser la température dans les dépôts sédimentaires des méthanes où est la base de la zone stable. L’océan Arctique peut être un cas spécial, à cause de la zone stable des sédiments de méthanes plus près de la surface, à cause de l’eau plus froide et qu’à cette haute latitude, le réchauffement est plus puissant.

Le pergélisol. Vous avez surement tous lu quelques choses récemment dans les médias, sur le pergélisol. Le pergélisol est perçu comme un sol qui demeure gelé à longueur d'année, (actuellement, la définition technique pour le pergélisol, est un sol qui est gelé pendant au moins deux ans).

Il y a quelquefois, une zone près de la surface du sédiment, qui dégèle durant l’été. Dans la littérature sur le pergélisol, cette zone est appelée la zone active et on a observé que ces zones s’agrandissent avec le temps [Sazonova et al, 2004]. Le dégel des sols est une des raisons de penser que les sols des hautes latitudes font partie des terres de surfaces, qui répondent dramatiquement aux changements climatiques [Bal et al, 2005].

Une autre raison est que le changement de température est plus dramatique dans les hautes latitudes que la moyenne globale, surtout dans les hautes latitudes nordiques. Il y a eu une multitude d’anecdotes sur des rapports des effets du dégel du pergélisol du sol Arctique, des maisons qui penchent, des « forêts saoules » (toute croches) près de Fairbank, exemple [Pearce,2005 ;Stockstad, 2004]. La majorité des pipelines en Alaska sont encrés dans le pergélisol ?

Les hydrates sont parfois associés aux dépôts de pergélisol, mais pas trop près de la surface du sol., à cause des besoins de hautes pressions pour sa formation. Un autre facteur qui détermine si vous allez trouver des hydrates est la perméabilité du sol. Quelques fois le gel, le déplacement de l’eau de surface, crée une couche imperméable dans le sol, qui peut élever la pression sur les pores sous-jacents. Des Hydrates dans un cœur de pergélisol [Dallimore and Collett,1995] ont été observés dans une couche sous la strate imperméabilisée par une couche de glace. On a rapporté que certains lacs se sont vidés à cause de la fonte de la couche de glace sous-jacente à la surface du fond du lac.

Le grand père d’une couche sous-jacente de glace isolant une très large structure existe en Sibérie et qu’on a appellé, un complexe glaciaire [Hubberten and Romanovskii. 2001]. Le moyen le plus important pour miner un complexe glaciaire est littéralement, un phénomène fonte-érosion appelé (thermokarst) érosion de zones périglaciaires [Gavrilov et al, 2003].

La couche glaciaire est exposée aux eaux plus chaudes de l’océan. Quand la glace fond, le sol s’effondre en exposant plus de glace. Les cotes nordiques de la Sibérie s’érodent depuis des milliers d’années, et le rythme s’accélère. Plusieurs iles ont historiquement complètement disparu. [Romankevich, 1984].

La concentration de méthane dissout sur la plaque sibérienne est 25 fois plus grande que la saturation atmosphérique, indiquant l’échappement de méthane de l’érosion côtière dans l’atmosphère. [Shakhova et al, 2005]. Le montant total des hydrates de méthane dans le pergélisol est pratiquement inconnu, avec des estimations se rangeant entre 7.5 et 400 Gtonnes de carbone (estimée compilés par [Gornitz et Fung, 1994]).

Le futur. Le meilleur scénario d’un scénario-catastrophe, serait un relâchement de suffisamment de méthane pour significativement changer la concentration atmosphérique dans une échelle de temps plus rapide que la longueur de vie du méthane.
Cela génèrerait un pic de la concentration de méthane. Pour une idée du montant du méthane requis, il faudrait une quantité de méthane équivalent pour égaler le forçage radiatif du CO2. Il devrait être approximativement dix fois la concentration actuelle du méthane. Ce serait réellement du cinéma-désastre. La différence entre le pire scénario étudié par l’IPPC et un meilleur scénario alternatif pour 2050, est seulement 1 W/M² de la moyenne de l’énergie radiative pour déséquilibrer le système.

Un forçage radiatif de cette importance pour le méthane serait impossible de se maintenir à un niveau inférieur au niveau dangereux de 2 degrés au dessus du niveau pré-industriel. J’ai calculé, qu’il faudrait à peu près 6ppm de méthane pour obtenir un W/m² au dessus d’aujourd’hui. Une concentration de méthane de cette envergure serait un désastre réel.


L’atmosphère contient couramment à peu près 3.5 Gtonnes de méthane. Un relâchement instantané de 10 Gtonnes augmenterait instantanément le contenu à 6 ppm. Ceci est probablement un ordre de magnitude beaucoup plus grand que toutes les catastrophes prévues que quelques-uns ont proposé. Un glissement océanique peut relâcher probablement un Gtonnes de méthane et les marques de petites véroles beaucoup moins. Le pergélisol fond, mais personne ne croit qu’il explosera tout en même temps.

Il y a un évènement documenté dans les sédiments qui est arrivé il y a 55 millions d’années appelées le Maximum Thermique du Paléocène Éocène, et durant cet évènement (on dit) plusieurs milliers de Gtonnes de méthane ont été relâchés dans l’atmosphère et dans l’océan, augmentant de plus de 5 degrés la température de la profondeur intermédiaire de l’océan. Il n’est pas facile de saisir la rapidité avec laquelle les choses se sont passées il y a si longtemps, mais la meilleure hypothèse, est que le méthane a été relâché sur une période probable de mille ans, pas si catastrophique ensoi.[Zachos et al,2001 ; Schmidt et Shindell, 2003].

L’autre possibilité pour notre futur est un accroissement année après année d’un rythme chronique d’émission de méthane dans l’atmosphère. Le relâchement continu de méthane accroit et détermine la concentration additionnelle de méthane dans l’atmosphère. Doublez la source et vous allez doubler plus ou moins la concentration. (Actuellement, un peu plus, car la vie du méthane s’allonge. Le Méthane est oxydé en CO2, un autre gaz à effet de serre qui s’accumule pour des centaines de milliers d’années, comme le carburant fossile le fait. Des modèles d’émissions chroniques de relâchement de méthane montrent souvent que l’accumulation de CO2 contribue autant au réchauffement climatique que la concentration transitoire de méthane.

Les sources de méthane anthropiques, telles que les champs de riz, le carburant fossile industriel, les animaux d’élevage ont plus que doublés la concentration de méthane dans l’atmosphère depuis l’ère pré industrielle. Le niveau courant de concentration de méthane semble stable, mais les raisons de ce phénomène récent ne sont pas encore bien comprises. Le montant des hydrates de méthane du pergélisol n’est pas très connu, mais il ne faudrait pas trop de méthane, disons 60 Gtonnes de carbone relâché sur une période de 100 ans, pour doubler encore la concentration de méthane dans l’atmosphère. Les dépôts de tourbes peuvent être comparés à la fonte des hydrates provenant du pergélisol.

Quand les tourbières qui ont été congelées pour des milliers d’années fondent, ils contiennent toujours une population active de bactéries méthanogéniques [Rivkina et al, 2004] qui commencent à convertir la tourbe en CO2 et en CH4. Il n’est pas difficile d’imaginer 60 Gtonnes de carbone sur une période de 100 ans, issus des tourbières qui fondent. Le changement dans la production de méthane dans les marécages et les sols inondés existants, causé par les averses et la température, peut être aussi important. La prédiction de la fonte des hydrates des océans est prévue comme lente [Harvey et Huang, 1995]. Les secteurs à surveiller sont l’Arctique et le Golf du Mexique.


Ainsi, à la fin, pas tellement un complot de cinéma-désastre, mais une régénération d’informations positives qui peuvent faire la différence entre le succès et l’échec dans le processus d’éviter de dangereux changements climatiques générés par les actions anthropogéniques. C’est quand même assez alarmant.

J’ai soumis un texte plus détaillé sur les hydrates et les changements climatiques à mes pairs, pour une revue et une publication ultérieure.


Traduit de l’anglais par Yves Vinet

Amicalement

Yves
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glevesque
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 Message Posté le: Lun 29 Oct 2007 5:30 pm    Sujet du message:
Répondre en citant

Salut

Citation:
Voici le texte, il est lourd. Auras-tu la patience de le lire en entier?
Oui et merci, car ce texte est formidable !

Encore une fois merci pour la traduction !

PS : Pour Albert Einstein, ton opignon sur le sujet a t'elle changé ?
donne moi ton feeling klà-dessus !

Gilles
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glevesque
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 Message Posté le: Lun 29 Oct 2007 5:52 pm    Sujet du message:
Répondre en citant

Salut

J'apport un peut plus de précision sur ce terme :
vinety a écrit:
glevesque a écrit:
Salut

Je suis pleinnement d'accord !

Citation:
Les études climatologiques ont mis en évidence la corrélation entre température et densité de C02. Mais pas dans le sens suspecté. Depuis l’origine des temps, la hausse des températures a précédé d’environ 800 ans l’augmentation du taux de C02. Perturbant pour nos écolos qui préfèrent dès lors n’en point parler.
Pourtant cela aurait dut lui metre la puce a l'oreil, car c'est exactement le phénomène qui caractérise la différences du cycle climatique actuelle et qui renforce l'apport anthropique qui emplifie les composantes naturelle.
Le principale mécanisme de forcage de part le passer était effectivement le renforcement de l'insolation (odre de grandeurs : la dérive des continents, cycle astronomique, et cycle solaire) qui fesait augmenter les températures moyenne globale, et qui était corrélé par la suite par l'augmentation du CO2, à travers un interval de temps de près de 800 ans, qui a son toure participait à la hausse des température.

L'insolation précéde donc la hause du CO2 pour expliquer les variations de température et leurs cause. Il y a donc combinaison et coexistance étroite entre ces deux mécanismes de renforcage (externe pour l'insolation et interne pour le CO2) pour expliquer les mécanisme d'origine de l'effet de serre sur terre.

Par contre, la situation actuelle est pour la premiére fois renverser (sauf dans le cas géologique relié à la dérive des continents), car le CO2 viens avant le déterminisme d'insolation. La hause (faramineuse et non lente comme par le passer) du CO2 et des températures suivre des courbes étroitement corrélé ! Voilà la principale différence d'avec les autres cycles (astronomique ou solaire) du passer et qui distingue la crise actuelle de cause et d'origine anthropomorphique.

Gilles
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Dernière édition par glevesque le Lun 29 Oct 2007 6:18 pm; édité 1 fois
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